OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2017 > Janvier 2017 > Le Sénégal va lancer un parc technologique sur les centres d’excellence (…)

Le Sénégal va lancer un parc technologique sur les centres d’excellence africains

mardi 31 janvier 2017

TIC pour l’éducation

Les Pôles d’excellence africains vont au bout d’un temps s’étendre au niveau mondial. C’est dans ce sens, indique Mary Teuw Niane, que le Sénégal a trois pôles en Santé, en mathématiques informatique et Tic, puis en agriculture. Les deux premiers étant retenus, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a procédé au lancement, hier, du Centre d’Excellence SAMEF (Santé de la mère et de l’enfant) qui est logé au niveau de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

Ces centres d’excellence africains, souligne le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane, sont du niveau national. Il y a un partenariat avec toutes les universités, les institutions de recherche, de formation, avec des partenaires privés, internationaux et régionaux.

Les Pôles d’excellence africains vont au bout d’un temps s’étendre au niveau mondial. C’est dans ce sens, indique Mary Teuw Niane, que le Sénégal a trois pôles en Santé, en mathématiques informatique et Tic, puis en agriculture. Les deux premiers étant retenus, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a procédé au lancement, hier, du Centre d’Excellence SAMEF (Santé de la mère et de l’enfant) qui est logé au niveau de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

Ces centres d’excellence africains, souligne le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane, sont du niveau national. Il y a un partenariat avec toutes les universités, les institutions de recherche, de formation, avec des partenaires privés, internationaux et régionaux.

“La qualité du travail présenté ici, constate le ministre, montre que ces centres sont en train de progresser. “Nous en sommes à la deuxième année et les résultats sont très positifs. Ils ont un impact très attendu sur les questions de santé publique pour le CEA- SAMEF et surtout le volet du Plan Sénégal Emergent qui concerne le numérique pour lequel notre pays souhaite assumer un leadership au niveau africain.”

Avec une enveloppe de seize millions de dollars US, la Banque mondiale appuie le fonctionnement des centres d’excellence africains pour la santé de la mère et de l’enfant à l’UCAD et les mathématiques, l’innovation et les technologies de l’information et de la communication à l’UGB.

En ce qui concerne le MITIC, le ministre a fait savoir que le Sénégal va d’ailleurs développer au niveau du nouveau Pôle urbain de Diamniadio, « un Parc technologique qui s’appuie évidemment sur les mathématiques, l’informatique et les technologies de l’information et de la communication (tic) ».

L’arrivée récente d’une entreprise internationale comme Atos qui a déjà recruté plus de 300 ingénieurs au niveau de leurs structures de développement le montre bien, souligne M. Niane.

oujours pour le CEA-MITIC, Mary Teuw Niane trouve qu’il y a un partenariat extrêmement important à travers la convention signée par ce centre d’excellence avec la République de Gambie pour la formation de 67 gambiens en master et doctorat en mathématiques, informatique et Tics.

Le professeur Aminata Sall Diallo représentante nationale du comité de pilotage des CEA a soutenu que ces centres d’excellence sont très importants tant pour le volet formation, que pour l’innovation. Elle a aussi évoqué l’accroissement nécessaire pour que ces ressources puissent évidemment progresser et être pérennes.

Ainsi, précise Mme Diallo, chaque centre reçoit de la Banque mondiale 8 millions de dollars, l’équivalent de 4 milliards de franc Cfa.

« Ce sont des financements au résultat, c’est-à-dire qu’il y a un projet, il y a des engagements qui, quand ils sont atteints, le décaissement suit. Cela veut dire que si vous n’avez pas de résultats, vous n’avez pas d’argent », a-t-elle expliqué. Il s’agit, ajoute-t-elle, d’un financement innovant qui progresse.

Ch. Seck Ndong

(Source : Social Net Link, 31 janvier 2017)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 4334/5118 Régulation des télécoms
  • 348/5118 Télécentres/Cybercentres
  • 3527/5118 Economie numérique
  • 1854/5118 Politique nationale
  • 5118/5118 Fintech
  • 514/5118 Noms de domaine
  • 1748/5118 Produits et services
  • 1450/5118 Faits divers/Contentieux
  • 739/5118 Nouveau site web
  • 4868/5118 Infrastructures
  • 1646/5118 TIC pour l’éducation
  • 187/5118 Recherche
  • 243/5118 Projet
  • 3240/5118 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1760/5118 Sonatel/Orange
  • 1621/5118 Licences de télécommunications
  • 272/5118 Sudatel/Expresso
  • 1049/5118 Régulation des médias
  • 1373/5118 Applications
  • 1112/5118 Mouvements sociaux
  • 1666/5118 Données personnelles
  • 127/5118 Big Data/Données ouvertes
  • 649/5118 Mouvement consumériste
  • 359/5118 Médias
  • 643/5118 Appels internationaux entrants
  • 1575/5118 Formation
  • 93/5118 Logiciel libre
  • 2067/5118 Politiques africaines
  • 1127/5118 Fiscalité
  • 167/5118 Art et culture
  • 577/5118 Genre
  • 1641/5118 Point de vue
  • 1091/5118 Commerce électronique
  • 1454/5118 Manifestation
  • 316/5118 Presse en ligne
  • 127/5118 Piratage
  • 206/5118 Téléservices
  • 880/5118 Biométrie/Identité numérique
  • 307/5118 Environnement/Santé
  • 451/5118 Législation/Réglementation
  • 340/5118 Gouvernance
  • 1831/5118 Portrait/Entretien
  • 146/5118 Radio
  • 786/5118 TIC pour la santé
  • 356/5118 Propriété intellectuelle
  • 60/5118 Langues/Localisation
  • 1034/5118 Médias/Réseaux sociaux
  • 2032/5118 Téléphonie
  • 192/5118 Désengagement de l’Etat
  • 1157/5118 Internet
  • 114/5118 Collectivités locales
  • 397/5118 Dédouanement électronique
  • 1069/5118 Usages et comportements
  • 1029/5118 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 557/5118 Audiovisuel
  • 3363/5118 Transformation digitale
  • 382/5118 Affaire Global Voice
  • 161/5118 Géomatique/Géolocalisation
  • 311/5118 Service universel
  • 660/5118 Sentel/Tigo
  • 174/5118 Vie politique
  • 1630/5118 Distinction/Nomination
  • 34/5118 Handicapés
  • 684/5118 Enseignement à distance
  • 683/5118 Contenus numériques
  • 584/5118 Gestion de l’ARTP
  • 180/5118 Radios communautaires
  • 1739/5118 Qualité de service
  • 424/5118 Privatisation/Libéralisation
  • 132/5118 SMSI
  • 467/5118 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 2810/5118 Innovation/Entreprenariat
  • 1324/5118 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 46/5118 Internet des objets
  • 171/5118 Free Sénégal
  • 540/5118 Intelligence artificielle
  • 198/5118 Editorial
  • 24/5118 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous