Le groupe Sonatel qui a ouvert, mercredi à Dakar, sa première école de décodage appelée « Sonatel Academy » réaffirme son « engagement majeur » dans l’écosystème numérique des pays dans lesquels il est présent a indiqué son directeur général, Alioune Ndiaye.
« A travers la création de cette école, le groupe Sonatel, avec l’appui de Orange, réaffirme son engagement majeur dans l’écosystème numérique des pays dans lesquels il est présent », a dit Alioune Ndiaye.
Le directeur général de la Sonatel qui procédait à la coupure du ruban a rappelé que la mission principale de « Sonatel Academy » est « d’améliorer l’employabilité des jeunes et de leur permettre de maîtriser les +e-compétences+ ».
M. Ndiaye a également fait noter que la nouvelle école va former des jeunes demandeurs d’emplois et profils sous-représentés (femmes notamment) aux métiers du numérique.
Il s’agira de leur permettre, à travers cette formation professionnalisante, de s’intégrer au marché du travail ou de créer leur propre activité afin de compléter le dispositif ministériel existant par des parcours dits « métiers du numérique ».
Alioune Ndiaye a en outre réitéré l’ambition de son institution de « faire émerger au Sénégal et au-delà de ses frontières, des PME Tic pour favoriser la création d’emplois et de valeurs, porteurs de développement ».
« Le groupe Orange entend être le partenaire numérique de l’Etat et des parties prenantes, dans la transformation digital » a, pour sa part, dit son président directeur général, Stéphane Richard.
M. Richard a relevé que son groupe va « encourager et soutenir les acteurs clefs de la filière sénégalaise dédiée à la promotion des compétences, numérique et des talents ».
Il a rappelé que « le groupe Orange est présent dans le domaine de l’éducation digitale, en particulier avec le programme Ecoles Numériques, bien développé au Sénégal ».
« Avec Sonatel Academy, nous allons encore plus loin, en décidant de former gratuitement au Sénégal, des jeunes à la programmation informatique et de pouvoir ainsi les lancer vers une activité professionnelle très porteuse » a souligné Stéphane Richard.
(Source : APS, 22 novembre 2017)