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Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2017 > Septembre 2017 > Digitalisation : comment relever les défis du passage au cloud

Digitalisation : comment relever les défis du passage au cloud

mardi 12 septembre 2017

Innovation/Entreprenariat

En 2017, les entreprises projettent de consacrer 75% de leurs dépenses en infrastructure et en logiciels à l’acquisition de solutions cloud. Cela n’est pas sans risque, pour elles, de se voir confrontées à des difficultés pour gérer ce cloud. Des solutions existent pour faire du passage au cloud un levier de croissance et d’innovation pour les entreprises. Zoom.

Dans le monde des entreprises, le changement arrive plus vite qu’on ne le pense. Les stratégies de commercialisation changent et de nouveaux acteurs inattendus apparaissent sur les marchés à un rythme inhabituellement effréné. Même la concurrence change de dimension. Et les entreprises doivent, en plus de garder un œil sur ses concurrents directs, augmenter la vigilance par rapport aux opérateurs de secteurs connexes qui se transforment en concurrents directs. Avec le recours croissant aux technologies de types intelligence artificielle, analytique prédictive, cloud et Internet des Objets, des disruptions surviennent et peuvent tout redéfinir, du modèle économique de l’entreprise jusqu’aux méthodes de travail de ses équipes.

Ruée vers le cloud

Dans ce contexte, il est essentiel d’être plus rapide, plus agile et plus innovant. Pour répondre à ces impératifs, l’entreprise pense donc naturellement, quand ce n’est pas déjà le cas, à faire migrer ses applications métier vers le cloud. Et c’est une tendance qui se confirme de plus en plus.

A en croire les chiffres du fournisseur mondial de données sur les marchés des technologies de l’information, IDC, 75% des dépenses des entreprises en infrastructure et en logiciels porteront sur des offres cloud en 2017. Cela dit, la simple migration vers le cloud ne va pas permettre à l’entreprise de remplir ses objectifs de rapidité, d’agilité et d’innovation.

Bien au contraire, il peut arriver que l’entreprise rencontre quelques difficultés. Si elle opte pour un centre de données sur site par exemple, il se peut qu’elle ne dispose pas de ressources, ni de l’expertise suffisante en interne pour optimiser la performance de ce centre et véritablement créer de la valeur. Et si elle opte pour une offre d’infrastructure-as-a-service (IaaS), l’entreprise prend le risque de n’agir que sur la couche infrastructure de la pile de sa solution. Sans une gestion véritablement dédiée et experte du système, les difficultés risquent de se transformer en problèmes empêchant ainsi la valorisation de l’entreprise.

Une solution hybride avantageuse

Heureusement, il existe une troisième option pour les entreprises qui désirent réellement investir dans le cloud tout en relevant les défis qu’il présente : le cloud privé géré. En d’autres termes, l’entreprise dispose de son propre cloud, privé, mais dont la gestion est déléguée à des acteurs spécialisés. Cette solution permet à l’entreprise de prendre en compte son organisation interne et les moyens dont elle dispose pour définir son approche et ses objectifs dans ce domaine.

A titre d’illustration, les startups ne disposant pas de centres de données, ni de l’expertise requise, d’un point de vue technique ou en matière de gestion applicative, souhaitent généralement une solution complète, rapide et simple à mettre en œuvre, pour commencer rapidement à générer de la valeur à travers leurs applications. D’autres structures, plus matures, souhaiteraient plutôt pouvoir donner une nouvelle dimension à leur informatique et davantage l’exploiter, pour innover et véritablement créer de la valeur. Tandis qu’une troisième catégorie d’entreprises pense aller encore plus loin en transformant leurs processus de métier, afin de mieux répondre aux exigences du paysage actuel.

Pour chacune de ces catégories, il existe une offre de cloud privé géré. Et pour atteindre les objectifs assignés à cette transformation digitale, l’entreprise doit opter pour la solution qui prend en charge tous les détails et toute la complexité propres à son déploiement. C’est alors seulement qu’elle pourra obtenir la rapidité, l’évolutivité, la personnalisation, la sécurité et le contrôle dont elle a besoin.

SAP s’est justement positionné sur ce segment en faisant de l’approche SAP HANA Enterprise Cloud son cheval de bataille. Selon Gartner (leader mondial du conseil et de recherche dans les technologies avancées), SAP HANA Enterprise Cloud est le standard des clouds privés gérés pour la plate-forme informatique In-Memory SAP HANA. La question qui s’impose est de savoir quelle proposition de valeur offre SAP HANA Enterprise Cloud aux entreprises et quels enseignements peut-on en tirer.

Pour qu’une entreprise puisse valoriser son cloud privé géré, le facteur essentiel est la coordination et la gestion de trois composantes de l’environnement de sa solution : infrastructure, systèmes/aspects techniques et applications, notamment les applications et extensions propres à son secteur et à ses processus métier. Sans cela, l’entreprise ne parviendra pas à se libérer assez pour innover pleinement.

SAP HANA Enterprise Cloud met à la disposition des entreprises tous les éléments clés qui leur permettront de tirer pleinement parti de SAP HANA :

SAP Hana cloud

Cette approche complète, de bout en bout, élimine les complexités liées aux opérations dans le cloud. Pour prospérer dans le futur numérique, les organisations, quelles qu’elles soient, devront être rapides, agiles et se concentrer, sans relâche, sur la création de valeur métier. En se chargeant des aspects techniques liés au fonctionnement de SAP HANA dans le cloud, de l’infrastructure aux applications, SAP HANA Enterprise Cloud libère l’entreprise et lui permet, mieux que jamais, de répondre à ses besoins opérationnels et de faire face à ses nombreux défis. Ainsi, les équipes peuvent se concentrer sur l’accélération de l’innovation et de la croissance, tout en réduisant les risques et en pilotant la transformation métier et informatique.

(Source : La Tribune Afrique, 12 septembre 2017)

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