Batik N° 72 Juillet 2005
dimanche 31 juillet 2005
Bulletin d’Analyse sur les Technologies de l’Information et de la Communication
Lettre d’information électronique mensuelle publiée par OSIRIS
l’Observatoire sur les Systèmes d’Information, les Réseaux et les Inforoutes au Sénégal
n° 72 juillet 2005
Sommaire
Éditorial
Exigence de qualité de service dans le secteur de la téléphonie mobile
Actualités
L’EBAD organise des soutenances de mémoires à l’aide la visioconférence
Lancement d’un ouvrage sur la fracture numérique de genre en Afrique francophone
Réseau associatif des journalistes pour les télécoms et les nouvelles technologies
Atelier de la E-Africa Commission sur les infrastructures en Afrique de l’Ouest
Malick F. Guèye entendu à quatre reprises par la police sur sa gestion de l’ART
Rénovation du site Web de l’Ambassade de France
Création d’un observatoire audiovisuel sur les libertés
Affaire Karim Wade/Le Quotidien : un mois de prison avec sursis pour Madiambal Diagne
Forum africain des collectivités locales sur la Société de l’Information
Les TIC dans la communication politique
Politique
Lancement de l’opération « un enseignant, un ordinateur »
Infrastructures et services
L’ART se penche sur la qualité des services de téléphonie mobile
Projets
Consultation publique en ligne sur l’environnement juridique des TIC
La RTS bientôt diffusée par satellite en Europe et en Afrique subsaharienne
Projet de création d’une chaîne de télévision parlementaire
Rendez-vous
Femmes et TIC : Défis et opportunités (3-5 août 2005, Johannesburg, Afrique du Sud)
Informatique et libertés, quel cadre juridique pour le Sénégal ? (29-30 août 2005 Dakar)
Atelier AfriNIC sur la gestion d’un registre Internet local (3-5 septembre 2005, Dakar)
Réunion des ministres africains en charge des TIC (5-7 septembre 2005, Dakar)br>
Editorial
Exigence de qualité de service dans le secteur de la téléphonie mobile
A la demande de l’Agence de régulation des télécommunications (ART), une enquête sur la qualité de service des réseaux de téléphonie mobile a été réalisée sur l’ensemble du territoire sénégalais du 20 mai au 9 juin 2005. Les résultats, qui ont été restitués lors d’un atelier tenu le 25 juillet 2005, sont loin d’être brillants et ce pour la filiale de l’opérateur historique, Sonatel Mobiles, comme pour son concurrent Sentel. Pourtant, ces deux sociétés se targuent régulièrement d’être pour l’une « Le premier réseau » et pour l’autre « Le meilleur réseau ». Malheureusement, l’étude menée par une société privée française spécialisée en la matière montre que l’on est bien loin de ces images idylliques : couverture insuffisante de nombreuses localités comme des axes routiers, problèmes d’interconnexion entre les deux opérateurs ainsi qu’entre le réseau fixe et les réseaux de téléphonie mobile, taux d’échec élevés des communications, nombreuses coupures, etc. sont les principaux maux constatés sur les deux réseaux à des degrés divers. Il est vrai que ces résultats ne sont pas véritablement une surprise puisque, de manière empirique, les clients de ces deux sociétés les constatent et les endurent depuis de nombreuses années. Les Sénégalais ont d’ailleurs encore en mémoire la saturation du réseau Alizé observé à la fin de l’année 2004 suite à une campagne de promotion aux conséquences non maîtrisées ou encore celle occasionnée lors du Magal de Touba sans parler des problèmes rencontrés au quotidien dans l’utilisation des services de téléphonie mobile. D’un coté comme de l’autre, il apparaît que l’accent a été mis sur la « chasse » aux abonnés sans pour autant faire les investissements nécessaires pour assurer une couverture adéquate du territoire national, un écoulement fluide du trafic et une interconnexion sans faille du fixe au mobile et de mobile à mobile. Autant il faut se réjouir de l’enquête commanditée par l’ART autant il faut regretter son caractère tardif (la téléphonie mobile est opérationnelle au Sénégal depuis 1996) et surtout déplorer l’absence de sanctions de quelques nature que ce soit à l’encontre des opérateurs pris en flagrant délit de non respect du contrat les liant à leurs abonnés. Pourtant, ces derniers paient le prix fort pour bénéficier des services de téléphonie puisqu’il leur en coûte cinq à six fois plus cher que lorsqu’ils utilisent la téléphonique fixe. Comment expliquer dans ces conditions qu’ils doivent se contenter d’un service d’aussi piètre qualité et qui plus est ne répondant pas aux standards internationaux voire même aux indications commerciales des opérateurs. C’est donc l’occasion d’appeler les autorités gouvernementales, d’une manière générale, et l’ART, en particulier, à se soucier un peu plus de la qualité des services de téléphonie en introduisant dans les cahiers des charges des opérateurs des obligations strictes en la matière assorties de lourdes pénalités financières en cas de non respect en lieu et place des simples invitations à mieux faire. Il est en effet totalement inadmissible, dans un état de droit, qu’un fournisseur de service ne respecte pas ses engagements envers ses clients et se permette de dire haut et fort qu’il n’envisage pas de les dédommager comme cela a été entendu en janvier 2005 et ce sans qu’aucune autorité n’intervienne pour le rappeler à l’ordre. Au-delà du niveau de qualité dû aux particuliers, il faut également souligner qu’une aussi mauvaise qualité de service ne peut continuer à être tolérée dans le contexte où le gouvernement met en œuvre une stratégie de croissance accélérée dont l’un des piliers est précisément l’utilisation des technologies de l’information et de la communications. En effet la qualité des services de télécommunications est un élément déterminant de la compétitivité des entreprises et d’attractivité pour les investisseurs étrangers. Il est donc grand temps que le respect des normes de qualité devienne une obligation dans ce secteur particulièrement rentable et non un objectif dont l’atteinte serait laissée au bon vouloir des opérateurs.
Amadou Top
Président d’OSIRIS
Actualités
L’EBAD organise des soutenances de mémoires à l’aide la visioconférence
Dans le cadre de l’enseignement à distance qu’elle organise pour l’obtention du Diplôme supérieur en sciences de l’information documentaire (DSSID), l’Ecole de Bibliothécaires, Archivistes et Documentalistes (EBAD) de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) a eu recours à la visioconférence afin d’organiser la soutenance des mémoires des étudiants regroupés au sein de la classe Océan Indien dont la gestion est assurée en partenariat avec le Centre d’Information et de Documentation Scientifique et Technique (CIDST) situé à Antananarivo (Madagascar). Ces soutenances qui ont concerné quatre étudiants se sont déroulées, le 29 juillet 2005, dans les locaux du Campus numérique Francophone de Dakar de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF).
EBAD : http://www.ebad.ucad.sn/
CNFD : http://www.refer.sn/
Lancement d’un ouvrage sur la fracture numérique de genre en Afrique francophone
Le Réseau Genre et TIC, initié conjointement par Environnement et développement du Tiers-Monde (ENDA), l’Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal (OSIRIS) et l’Agence de Régulation des Télécommunications (ART), a procédé, le 28 juillet 2005, au lancement du livre intitulé « Fracture numérique de genre en Afrique francophone une inquiétante réalité ». Publié par Enda, cet ouvrage présente les résultats d’une recherche menée dans six pays francophones (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Mali, Mauritanie et Sénégal) avec l’appui du Centre de Recherches pour le Développement International (CRDI). L’ouvrage mesure les disparités entre hommes et femmes dans le secteur des TIC et indique des pistes prioritaires d’action pour remédier à cette situation qui fait que les femmes ont globalement un tiers de chance en moins que les hommes de bénéficier des avantages de la société de l’Information. L’ouvrage est consultable en ligne à l’adresse suivante : http://www.famafrique.org/.
Enda : http://www.enda.sn/
OSIRIS : http://www.osiris.sn/
ART : http://www.art-telecom-senegal.org/
Réseau associatif des journalistes pour les télécoms et les nouvelles technologies
L’assemblée générale constitutive du Réseau associatif des journalistes pour les télécoms et les nouvelles technologies (RAJOUT) qui regroupe une quarantaine de membres évoluant au sein de différents organes de presse s’est déroulée le 23 juillet 2005. A cette occasion, Issa Sall, Directeur de publication de l’hebdomadaire Nouvel Horizon a été élu Président du réseau. Le bureau du RAJOUT comporte également un Vice-président, Madior Fall (Sud Quotidien), un Trésorier général, Jean Meïssa Diop (Wal Fadjri) et un Secrétaire général, Mamadou Biaye (Le Quotidien).
Atelier de la E-Africa Commission sur les infrastructures en Afrique de l’Ouest
Après des ateliers similaires organisés en Afrique australe et orientale, la E-Africa Commission du NEPAD a organisé un atelier sur le développement et la rationalisation des infrastructures terrestres en matière de télécommunications en Afrique de l’Ouest, du Centre et du Nord du 20 au 22 juillet 2005 à Dakar (Sénégal). Un des objectifs de l’atelier était de parvenir à un accord portant sur la création d’un réseau large bande interconnectant les pays entre eux de manière à pouvoir supporter des applications liées aux TIC ainsi que sur l’utilisation du câble sous-marin SAT-3 WASC/SAFE. Les discussions ont porté sur des sujets comme la régulation, le besoin des usagers, la nécessité et les caractéristiques d’une infrastructure à haut débit à l’échelle régionale et continentale, etc.
E-Africa Commission : http://www.eafricacommission.org/
Malick F. Guèye entendu à quatre reprises par la police sur sa gestion de l’ART
Suite à un rapport de l’Inspection générale d’Etat (IGE), Malick F. Guèye, ancien Directeur général de l’Agence de régulation des télécommunications (ART) de mai 2003 à juin 2005 a été entendu à quatre reprises par la Brigade des affaires générales (BAG) de la Division des investigations criminelles (DIC) dans le courant du mois de juillet 2005.
ART : http://www.art-telecom-senegal.org/
Rénovation du site Web de l’Ambassade de France
L’Ambassade de France au Sénégal a entièrement rénové le site Web qu’elle avait mis en ligne depuis janvier 2005. Le site en question offre à la fois des informations sur les services consulaires, la présence française au Sénégal ou encore sur les relations entre la France et le Sénégal. Des documents à télécharger sont disponibles notamment pour les demandes de visas. A noter que le site en question a été réalisé avec le logiciel SPIP.
Ambassade France au Sénégal : http://www.ambafrance-sn.org/
Création d’un observatoire audiovisuel sur les libertés
Créer par le cinéaste Joe Ramaka Gaï, l’Observatoire audiovisuel sur les libertés se veut un espace pluriel d’une réflexion filmique sur les disfonctionnements de la démocratie sénégalaise. Militant pour l’élargissement et l’approfondissement de la liberté de la presse écrite et parlée au secteur du cinéma et de la télévision, cet observatoire revendique pour les citoyens la possibilité d’un libre accès à des images critiques diffusées par des télévisions indépendantes et service public de l’audiovisuel digne de ce nom. Il est ouvert à la diffusion de tout élément filmique, photographique, musical ou radiophonique permettant de mettre en œuvre les liens ontologiques qu’entretiennent la création artistique, la liberté d’expression et la démocratie.
Observatoire sur les libertés : http://www.liberte1.org/
Affaire Karim Wade/Le Quotidien : un mois de prison avec sursis pour Madiambal Diagne
Dans l’affaire qui opposait Karim Wade au journal Le Quotidien, Madiambal Diagne et de Soro Diop ont été condamnés à une peine d’un mois de prison avec sursis ainsi qu’au paiement du franc symbolique. De plus, le jugement devra être publié dans Le Quotidien et le journal marocain, Le Matin du Sahara. Cependant, le Directeur de publication du Quotidien a fait part de sa volonté d’interjeter appel précisant qu’il était dans « une logique de conciliation » et que le Parquet avait demandé une dispense de peine.
Forum africain des collectivités locales sur la Société de l’Information
Le Forum africain des collectivités locales sur la Société de l’Information s’est tenu du 13 au 15 juillet 2005 à Dakar (Sénégal) dans le cadre de la préparation de la préparation du deuxième Sommet Mondial des Villes et des Pouvoirs Locaux sur la Société de l’Information qui se déroulera du 9 au 11 Novembre 2005 à Bilbao (Espagne). Il a adopté une déclaration rencontre dite de Dakar dans laquelle il recommande notamment la création d’un Réseau Africain des Collectivités Locales pour la Solidarité Numérique.
Déclaration de Dakar : http://www.osiris.sn/article1937.html
Les TIC dans la communication politique
Depuis quelques temps, les technologies de l’information et de la communication sont particulièrement sollicitées en matière de communication politique. Tandis que des jeunes favorables à la réélection du Président Abdoulaye Wade ont lancé le site Web « Mouvement Xaleyi Andd Woteel Gorgui », de leurs côtés, les partisans de l’ancien Premier ministre Idrissa Seck ont mis en ligne un site Web intitulé « Initiative de la Diaspora pour Idrissa Seck » (IDI) et son ancien conseiller en communication, le journaliste Souleymane Jules Diop, a créé un blogue sans parler bien entendu du cédérom enregistré par Idrissa Seck et diffusé auprès des stations de radios alors qu’il était en garde à vue.
Mouvement Xaleyi Andd Woteel Gorgui : http://woteelgorgui.site.voila.fr/
Initiative de la Diaspora pour Idrissa Seck : http://www.idiforsenegal.com/
Blogue de Souleymane Jules Diop : http://blogs.nouvelobs.com/Jules_Diop/
Politique
Lancement de l’opération « un enseignant, un ordinateur »
Le Ministre de l’Education, Moustapha Sourang, a officiellement lancé le programme « Un enseignant, un ordinateur » le 7 juillet 2005. Ce projet a été rendu possible grâce à un partenariat tripartite entre Ce matériel a été acquis grâce à une collaboration tripartite entre le ministère de l’éducation, la Banque Internationale pour le Commerce et l’Industrie du Sénégal (BICIS) et la Société Consortium.
Ministère de l’éducation : http://www.education.gouv.sn/
BICIS : http://www.bicis.sn/
Infrastructures et services
L’ART se penche sur la qualité des services de téléphonie mobile
L’Agence de régulation des télécommunications (ART) a organisé, le 25 juillet 2005, un atelier de restitution d’un audit sur la qualité des services de téléphonie mobile opéré par la société française Directique. L’étude, réalisée du 20 mai au 9 juin 2005, a porté sur la qualité de service « Voix » d’une part et « SMS » d’autre part des réseaux Alizé et Sentel à Dakar, dans toutes les capitales régionales dans une quinzaine d’autres villes ainsi que sur les axes reliant ses villes. Pour ce qui est de la voix, les résultats ne sont bons ni pour l’un ni pour l’autres des opérateurs de téléphonie mobile puisque le niveau de qualité est de 70% au Sénégal alors que le standard international est de 90%. Le principal problème se situe au niveau de l’interconnexion entre les deux réseaux ainsi qu’entre les réseaux de téléphonie mobile et le réseau de téléphonie fixe. Ainsi le taux de qualité parfaite (TQP) d’Alizé vers Sentel n’est que de 62% et tombe à 55% de Sentel vers Alizé. De même, en matière d’interconnexion entre le mobile et le fixe, le TQP 42% d’Alizé vers le fixe et de celui de Sentel vers le fixe est de 28%. Pour ce qui est de la couverture, les résultats ne sont pas très brillants non plus. Ainsi sur les routes nationales, le TQS n’est que de 36% pour Alizé et de 17 % pour Sentel. Au Sénégal, la téléphonie mobile totalisait 1.423.903 abonnés au 30 juin 2005.
ART : http://www.art-telecom-senegal.org/
Directique : http://www.directique.com/
Projets
Consultation publique en ligne sur l’environnement juridique des TIC
L’Agence De l’Informatique de l’Etat (ADIE), dans le cadre de la mise en place de normes, mécanismes et procédures susceptibles de créer un environnement juridique incitatif au développement des TIC au Sénégal, souhaite recueillir les avis et suggestions de tous les acteurs publics, privés ou associatifs. Les différents thèmes peuvent être consultés sur le site de l’Agence à l’adresse suivante : http://www.adie.sn/forum. A l’issue de cette consultation en ligne, l’Agence De l’Informatique de l’Etat publiera un rapport de synthèse sur son site Web.
ADIE : http://www.adie.sn/
La RTS bientôt diffusée par satellite en Europe et en Afrique subsaharienne
Suite à la signature d’un accord entre Eutelsat et la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS), la télévision sénégalaise devrait être diffusée par satellite en Europe et Afrique subsaharienne à partir du 1er septembre 2005.
Eutelsat : http://www.eutelsat.com/
RTS : http://www.rts.sn/
Projet de création d’une chaîne de télévision parlementaire
Le ministre de l’information, Bacar Dia et le Directeur Général de la RTS, Daouda Ndiaye ont eu des contacts avec Richard Michel, Président directeur général de La Chaîne Parlementaire (LCP) de l’Assemblée nationale française qui pourraient déboucher sur la création d’une chaîne de ce type au Sénégal. En France, la LCP remplit une mission de service public, d’information et de formation des citoyens à la vie publique, par des programmes parlementaires, éducatifs et civiques.
LCP : http://www.lcpan.fr/
Rendez-vous
Femmes et TIC : Défis et opportunités (3-5 août 2005, Johannesburg, Afrique du Sud)
Une conférence panafricaine intitulée « Femmes et TIC : Défis et opportunités » se déroulera du 3 au 5 août 2005 à Johannesburg (Afrique du Sud).
Informatique et libertés, quel cadre juridique pour le Sénégal ? (29-30 août 2005 Dakar)
L’Agence De l’Informatique de l’Etat (ADIE) organisera un séminaire sur le cadre juridique des TIC au Sénégal à l’Hôtel Méridien Président de Dakar les 29 et 30 août 2005. S’adressant aux professionnels de la justice (magistrats, avocats, etc.) et portant sur le thème « Informatique et libertés, quel cadre juridique pour le Sénégal ? Etude comparée des expériences africaines, européennes et françaises », il aura pour objectifs de :
– permettre aux professionnels de la justice de mieux comprendre les dimensions juridiques et citoyennes de l’usage des TIC
– fournir des éléments de réflexion et de compréhension sur les enjeux de
l’environnement juridique.
ADIE : http://www.adie.sn/
Atelier AfriNIC sur la gestion d’un registre Internet local (3-5 septembre 2005, Dakar)
En collaboration avec AfriINIC, Isoc-Sénégal, le chapitre sénégalais d’Internet Society (ISOC) organisera un atelier de formation à la gestion d’un registre Internet local qui se déroulera du 3 au septembre 2005 à Dakar (Sénégal).
Isoc-Sénégal : http://www.isoc.sn/
AfriNIC : http://www.afrinic.net/
Réunion des ministres africains en charge des TIC (5-7 septembre 2005, Dakar)
Dans le cadre de la Prepcom III, prévue du 19 au 30 septembre 2005 à Genève (Suisse), les ministres africains en charge des technologies de l’information et de la communication tiendront une réunion les 5 , 6 et 7 septembre 2005, à Dakar (Sénégal). Cette réunion ministérielle aura pour objectif d’harmoniser la position du continent africain sur la gouvernance d’Internet et le plan d’action à proposer lors de la deuxième phase du Sommet mondial sur la Société de l’information (SMSI) qui se déroulera du 16 au 18 novembre à Tunis (Tunisie).
Envoyez-nous vos informations : cliquez ici
Abonnement : cliquez ici
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons. (Osiris, Juillet 2005)
xmlns:rdf="http://www.w3.org/1999/02/22-rdf-syntax-ns#">