Batik N° 15 Octobre 2000
mardi 31 octobre 2000
Bulletin d’Analyse sur les Technologies de l’Information et de la Communication
Lettre d’information électronique mensuelle publiée par OSIRIS
l’Observatoire sur les Systèmes d’Information, les Réseaux et les Inforoutes au Sénégal
n° 15 octobre 2000
Sommaire
Editorial
Assainir sereinement le secteur des télécommunications
Actualités
Du nouveau sur notre site web
Le Parti pour le Progrès et la Citoyenneté bientôt sur Internet
Forte croissance des résultats financiers de la Sonatel
Les journalistes sportifs se forment à Internet
Inauguration du Campus numérique francophone de Dakar
Politique
L’Etat retire la licence d’exploitation du GSM accordée à Sentel
La Sonatel dans le collimateur des autorités
Le Gouvernement réaffirme sa volonté de développer la téléphonie rurale
Infrastructures et services
Forte progression du marché de la téléphonie mobile
Les cartes prépayées arrivent au Sénégal
Projets
Un « cyberpark » annoncé sur le site du Technopole
Les ministres à l’école d’Internet
Mise en place de cybercafés dans les universités et les écoles nationales
Youssou Ndour lance le projet « Joko »
Rendez-vous
Programme de formation de l’ESMT
Rencontre AFRILINUX 2000
Nouvelles technologies et le développement économique
Editorial
Assainir sereinement le secteur des télécommunications
L’annonce du retrait définitif de la licence de téléphonie mobile accordée à Sentel et du réexamen du contrat portant autorisation du réseau Alizé de la Sonatel ont sonné comme de bruyants coups de tonnerre dans le ciel relativement calme du secteur des télécommunications. En effet jusque là, en dehors des récriminations contre les tarifs élevés pratiqués par la Sonatel tant pour la location des liaisons spécialisées que pour les communications locales, la dénonciation du monopole accordé à cette même Sonatel sur la téléphonie fixe jusqu’en 2004, la revendication d’une augmentation significative de la bande passante et le développement de la téléphonie rurale, tout semblait aller pour le mieux dans le secteur des télécommunications. L’affaire Sentel a le mérite de mettre en évidence les « anomalies » qui ont entaché le processus de privatisation de la Sonatel et l’octroi des licences pour la téléphonie mobile. S’agissant de la Sonatel, non seulement le dossier d’appel d’offres a été communiqué aux investisseurs intéressés sans avoir été préalablement validé par le comité en charge de l’ouverture du capital de ladite société mais de surcroît il est évident que la valeur globale de la société a été largement sous-estimée quant on sait que les 70 milliards de Francs Cfa payés par France Télécom pour l’acquisition du tiers des actions ont été amortis en moins de trois ans. A cela s’ajoute le principe de l’octroi, « sans concourir », d’une licence d’exploitation pour l’ensemble des services soumis au régime de la concurrence réglementée et cerise sur le gâteau le monopole pour la téléphonie fixe jusqu’en 2003. Pour ce qui est de Sentel, l’octroi de la licence d’exploitation du GSM s’est faite sur la base d’un simple appel d’offre international sans qu’il y ait paiement du moindre « ticket d’entrée » pour un marché qui dépassera d’ici peu, en nombre d’abonnés, celui de la téléphonie fixe. Dans le processus de libéralisation du secteur des télécommunications l’Etat du Sénégal a été doublement perdant en encaissant un prix de cession relativement faible pour les actions de la Sonatel au regard de sa marge bénéficiaire et en abandonnant les ressources qui auraient dû découler de la vente des licences d’exploitation pour la téléphonie mobile. Last but not least, du fait du monopole accordé à la Sonatel sur la téléphonie fixe, les usagers supportent des coûts de communications locales élevés, les fournisseurs de services Internet payent le prix fort pour des liaisons spécialisées aux capacités limitées, les utilisateurs d’Internet pâtissent d’une bande passant internationale insuffisante et globalement le développement du secteur des téléservices s’en trouve freiné. Un tel diagnostic prouve s’il en était encore besoin qu’il est grand temps que le Gouvernement assainisse la situation qui prévaut dans le secteur des télécommunications. Il faut mettre fin au monopole des uns et aux situations de rente des autres qui ne profitent qu’à une minorité de personnes et à des intérêts étrangers. Mieux, il faut créer dans les meilleurs délais une autorité de régulation indépendante, composée d’hommes et de femmes honnêtes, crédibles, compétents, venant de divers horizons et n’ayant jamais été directement impliquées dans les processus de privatisation ou d’attribution de licences. Le développement des téléservices, en particulier et l’utilisation des technologies de l’information et de la communication pour le développement social en général ne prendront de l’ampleur que si une telle réforme est rapidement conduite à son terme. Cependant, cet assainissement nécessaire du secteur des télécommunications doit s’effectuer dans le cadre d’une renégociation sereine des engagements pris par les anciennes autorités de manière à ne pas mettre en péril l’emploi de dizaines de travailleurs, assurer la continuité du service pour les utilisateurs et garantir un climat de confiance pour les investisseurs étrangers
Amadou Top
Président d’OSIRIS
Actualités
Le site web d’OSIRIS s’est enrichi de deux nouvelles rubriques. La première, intitulée « Indicateurs télécoms », présente toute une série de chiffres sur le secteur des télécommunications au Sénégal, allant des tarifs des liaisons spécialisées à ceux des fournisseurs de services Internet en passant par les données sur la téléphonie fixe ou mobile, le nombre d’internautes ou encore le montant de la fiscalité et des droits de douane sur les produits et services intéressant le secteur. La seconde, dénommée « Points d’accès à Internet », recense l’essentiel des points d’accès publics à Internet, classés par région, qu’ils aient un caractère commercial ou communautaire. Si vous possédez des données plus actuelles ou plus précises que les nôtres, n’hésitez pas à nous les communiquer.
Indicateurs Télécoms : cliquez ici
Points d’accès à Internet :
Le Parti pour le Progrès et la Citoyenneté bientôt sur Internet
Le Parti pour le Progrès et la Citoyenneté (PPC), un des derniers-nés des cinquante-sept partis que compte le Sénégal, a inauguré son siège le 6 octobre 2000. A cette occasion les responsables du PPC ont annoncé que leur parti allait se doter d’un site web et ont fait des démonstrations sur le fichier informatisé de leurs militants. Après le PS, AJ-PADS, le PDS, l’AFP et le PIT, le PPC est le sixième parti à se doter d’un site web.
AFP : http://www.afp-senegal.org/
AJ-PADS : http://www.ajpads.org
PIT : http://www.pit-senegal.com
PS : http://www.telecomplus.sn/ps
Idrissa Seck : http://www.idrissa.com
Forte croissance des résultats financiers de la Sonatel
Au premier semestre 2000, les résultats financiers de la Sonatel sont en progression de 31% par rapport à ceux du premier semestre 1999. Au 30 juin 2000, le chiffre d’affaires s’élevait à 64 milliards 344 millions de Franc CFA. Parallèlement, les activités ordinaires ont progressé de 16% pour s’élever à 31 milliards 385 millions de Fcfa.
Sonatel : http://www.sonatel.sn/
Brvm : http://www.brvm.org/
Les journalistes sportifs se forment à Internet
Le 20 octobre 2000, le Campus numérique de Dakar a abrité un séminaire de formation destiné aux journalistes sportifs sur le thème « Sports et nouveaux médias : l’utilisation d’Internet comme outil de recherche documentaire dans le domaine du sports ». Organisée à l’initiative de l’Association nationale de la presse sportive (ANPS), cette formation a porté essentiellement sur la recherche d’information à travers les sites web consacrés au sport et l’utilisation de la messagerie électronique et des forums de discussion.
Inauguration du Campus numérique francophone de Dakar
Le Campus numérique francophone de Dakar a été inauguré le 24 octobre 2000 en présence de M. Madior DIOUF, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, de M. Mamadou Diop Decroix, Ministre de la Culture et de la Communication et de Mme Michèle GENDREAU-MASSALOUX, Recteur de l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF). Ce projet, à l’origine appelé université virtuelle francophone, a pris le nom de « Campus numérique francophone » pour bien en marquer l’originalité. En effet, il ne s’agit pas d’une université de substitution, mais d’un plateau technique numérique dans lequel apprenants et enseignants travaillent ensemble pour améliorer leurs actes pédagogiques. Le Campus de Dakar qui a ouvert ses portes en avril 2000 est constitué d’un ensemble architectural de 800 m2 composé notamment d’un auditorium de 60 places équipé d’un dispositif de visio-conférence, d’un infothèque (salle d’accès à l’information scientifique et technique), de 4 salles de formation et d’auto-formation équipées à terme de 120 stations de travail, d’un centre de ressources pour les formations de techniciens supérieurs équipé essentiellement par l’entreprise CISCO et d’un centre d’appui réservé aux jeunes entreprises innovantes équipé et géré avec l’appui de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Sénégal. A terme, le Campus sera équipé de 200 stations de travail réservées aux apprenants et aux formateurs et mis à la disposition des universités et autres structures du Sénégal et d’Afrique de l’Ouest.
AUF : http://www.auf.org/
Campus numérique : http://www.refer.sn/
Politique
L’Etat retire la licence d’exploitation du GSM accordée à Sentel
A l’issue du Conseil des ministres du 2 octobre 2000, il a été annoncé le retrait définitif, à compter du 29 septembre 2000, de la licence d’exploitation du GSM accordée à Sentel en avril 1999. D’après les autorités, Sentel ne se serait pas conformé aux obligation stipulées dans la Convention la liant à l’Etat dans le délais d’un mois imparti dans la lettre de mise en demeure qui lui avait été adressée le 17 juillet dernier. Il est notamment reproché à Sentel le non respect de ses engagements en matière de volume d’investissements, des défaillances en termes de qualité et de couverture radioélectrique de son réseau, l’absence d’information relative à la gestion financière et technique de sa licence et une dette de 579 millions de Francs CFA au titre des redevances dues à l’Etat. D’après les termes de la convention qui lie Sentel à l’Etat, celle-ci doit s’acquitter d’une redevance annuelle de 50 millions de Francs CFA au titre des frais des gestion de l’autorisation, d’une redevance annuelle de 10 millions de Francs CFA par canal duplex utilisé au prorata de la durée d’utilisation et contribuer aux missions de recherche et développement, de formation et de normalisation en matière de télécommunications à hauteur de 2% du montant hors taxes de ses investissements pour l’activité du réseau mobile de l’année précédente. Dans deux communiqués publiés les 18 et 20 octobre 2000, la Direction générale de Sentel GSM a récusé tous les reproches qui lui ont été adressés déclarant avoir « satisfait à toutes ses obligations conformément à la licence », affirmant que « toutes les preuves ont été transmises à temps aux autorités sénégalaises contrairement aux déclarations faites » par celles-ci et concluant qu’elle « s’est acquittée correctement des montants dus ». La licence de téléphonie mobile en question devrait être prochainement mise aux enchères et Sentel sera autorisée à soumissionner si elle le désire.
Sentel : http://www.sentelnet.com/
La Sonatel dans le collimateur des autorités
La Sonatel, qui a obtenu sa licence de téléphonie mobile pour zéro Franc pour les uns, au franc symbolique pour les autres alors que pour d’autres encore le prix de la licence a été inclus dans le prix de vente lors de la privatisation, est également dans le collimateur des autorités qui sont en train de réexaminer le contrat d’Alizé. A titre de comparaison, en Mauritanie la licence de téléphonie mobile récemment accordée à Mattel l’a été pour un prix de 21 milliards de Francs CFA avec l’engagement d’investir au moins 35 milliards de Francs CFA.
Sonatel : http://www.sonatel.sn/
Le Gouvernement réaffirme sa volonté de développer la téléphonie rurale
A l’occasion d’une journée d’information sur la téléphonie rurale organisée à l’Ecole Supérieure Multinationale des Télécommunications (ESMT), le Ministre de la Culture et de la Communication a réaffirmé la volonté du Gouvernement de développer la téléphonie rurale. A l’heure actuelle, il existe 13.500 villages à raccorder au téléphone mais le rythme de raccordement n’est que de 100 villages par an. La difficulté découle principalement du fait qu’en zone rurale l’habitat est souvent dispersé et que près de 4700 villages ont une population inférieure ou égale à 50 habitants. De ce fait, en utilisant les solutions traditionnelles, le coût d’un abonné en zone rurale est deux fois plus élevé que celui d’un abonné vivant en milieu urbain. Un certain nombre d’opérateurs, tels Globalstar et Deltaphone, proposeront bientôt des solutions satellitaires mais leurs coûts semblent encore trop élevés pour de nombreux observateurs.
Infrastructures et services
Forte progression du marché de la téléphonie mobile
Le marché de la téléphonie mobile au Sénégal a connu ces derniers temps une forte progression. Alizé, la filiale de la Sonatel, a vu son chiffre d’affaires multiplié par plus de 1,5 passant de 14 à 22 milliards de Francs CFA. A l’heure actuelle, les 150.000 abonnés d’Alizé, ajoutés aux 45.000 de Sentel font qu’il y a pratiquement autant, si ce n’est plus, de lignes téléphoniques mobiles que de lignes téléphoniques fixes. En 2001, Alizé prévoie d’ailleurs que le nombre de ses abonnés dépassera le nombre de ligne téléphoniques fixes et pense enregistrer 600.000 abonnés à l’horizon 2004.
Sonatel : http://www.sonatel.sn/
Sentel : http://www.sentelnet.com/
Les cartes prépayées arrivent au Sénégal
La société West Télécom vient de lancer des cartes prépayées utilisables sur le réseau téléphonique fixe de la Sonatel. Appelée « Nopalé », cette nouvelle formule permet d’appeler n’importe où sans faire payer les coûts de communications à l’abonné avec des cartes de 1.000, 2.500, 5.000 et 10.000 Francs CFA. Les cartes « Nopalé » sont actuellement vendues par un réseau de distributeurs agréés.
Projets
Un « cyberpark » annoncé sur le site du Technopole
Le responsable du technopole, le Professeur Hamet Seydi, a annoncé la construction prochaine sur le site du technopole d’un « Cyberpark » d’un coût d’investissements de 90 milliards de Francs CFA d’ici 2004. Initié par l’entreprise américaine, African Free Zones Initiative, cet incubateur d’entreprises devrait, dans un premier temps, voir la création d’un « E-center » dédié au commerce électronique d’une valeur de 15 milliards de Fcfa. Sur cette somme près de 350 millions de Fcfa devrait être consacrés à la formation d’ingénieurs informaticiens. Cette structure devrait être opérationnelle en 2002.
Les ministres à l’école d’Internet
Le ministère de la Fonction publique, du Travail et de l’Emploi a été chargé d’organiser des cours d’informatique et de familiarisation à Internet pour tous les ministres du Gouvernement.
Gouvernement du Sénégal : http://www.gouv.sn/
Mise en place de cybercafés dans les universités et les écoles nationales
Salta Services, une entreprise privée sénégalaise ayant des partenaires étrangers a signé une convention avec l’Etat pour la création de cybercafés sur les campus universitaires et dans les écoles nationales. L’Université Cheikh Anta Diop de Dakar devrait en avoir un équipé de 100 postes et l’Université Gaston Berger de Saint Louis un autre disposant entre 40 et 50 machines. Gérés par les étudiants, ces cybercafés seront accessibles aux étudiants et aux enseignants en contrepartie d’un droit d’utilisation annuel de 2500 Francs CFA pour les premiers et de 5000 Francs Cfa pour les seconds auquel viendront s’ajouter les frais de navigation. Dans le cadre de ce projet, les pavillons universitaires devraient être dotées du téléphone, des serveurs vocaux installées et les formulaires d’inscription disponibles en ligne. D’un coût de 3 milliards de Francs CFA, ce projet devrait être matérialisé dans un délai de 14 à 15 mois.
Youssou Ndour lance le projet « Joko »
Le chanteur sénégalais Youssou Ndour a lancé un projet pilote, dénommé « Joko » (« rencontre » en wolof) pour contribuer à la lutte contre la fracture numérique. Il s’agit de former des jeunes à l’utilisation des technologie de l’information et de la communication pour qu’ils puissent être compétitifs sur le marché de l’emploi. D’abord lancé à Dakar, le projet, qui s’appuiera sur des centres d’accès à Internet, s’étendra ensuite à d’autres pays africains. La première année, il est prévu de donner une formation professionnelle à plus d’une soixantaine de jeunes.
Rendez-vous
Programme de formation de l’ESMT
En collaboration avec l’Union Internationale des Télécommunications (UIT), l’Ecole Supérieure Multinationale des Télécommunications (ESMT) organise une série de séminaires portant sur les thèmes suivants :
– 1)Panorama général des télécommunications et du GSM avec pour objectifs de donner une vue d’ensemble de la technologie des télécommunications, du système numérique de communication par radio (NSS, BSS, OSS) et des technologies nécessaires pour une bonne compréhension du GSM du 16 au 20 octobre 2000 à l’ESMT de Dakar (Sénégal) ;
– 2) Aspects politiques et réglementaires des télécommunications avec pour objectifs de donner une vue d’ensemble des enjeux de la déréglementation (attribution de licences, service universel, interconnexion, services à valeur ajoutée, régulation économique des télécommunications, etc.) avec pour illustration le cas du Maroc du 30 octobre au 3 novembre 2000 à l’INPT de Rabat (Maroc) ;
– 3)Les enjeux d’une gestion moderne du spectre avec pour objectifs l’accompagner des pays émergents en général, des pays africains en particulier, dans le processus de mise en place d’une gestion moderne du spectre au niveau des agences nationales de régulation du 27 novembre au 1 décembre 2000 à Abidjan (Côte d’Ivoire) ;
– 4) Utilisation des modèles financiers pour l’aide à la décision avec pour objectifs la présentation des méthodes permettant d’évaluer les scénarii d’évolution des revenus et des charges financières, et d’analyser l’impact des nouvelles technologies sur les performances financières de l’entreprise du 11 au 15 décembre 2000 à Dakar (Sénégal).
ESMT : http://www.esmt.sn/
UIT : http://www.itu.org/
La Rencontre AFRILINUX 2000, associant jeunes entrepreneurs sociaux et informaticiens du logiciel libre se déroulera à Dakar du 11 au 19 novembre 2000. Cette rencontre sera organisée par le collectif AFRILINUX, Ynternet.org et le Programme de Mobilité des Jeunes (PMJ) avec le soutien de divers partenaires locaux et internationaux. Si vous souhaitez y participer inscrivez vous auprès de Ababcar Seck (ababacar@arc.sn) ou de Sany Joseph (Sany@ynternet.sn), téléphonez au (221) 823 42 35 ou envoyez un fax au (221) 822 63 44.
Nouvelles technologies et le développement économique
Les 24 et 25 novembre 2000 se tiendra à Marseille (France) un colloque intitulé « Nouvelles technologies et développement économique : Quelles stratégie de coopération pour l’Afrique ? ». Organisé par Africum-Vitae, Centre de Ressources et de Compétences Interculturelles, sous le parrainage du Haut Conseil de la Coopération Internationale (HCCI), ce colloque qui s’inscrit dans la dynamique de Bamako 2000 abordera des questions telles :
– L’accès aux nouvelles technologies dans les pays en voie de développement,
– L’Université face aux nouvelles technologies,
– Internet au service du développement,
– Pour une nouvelle coopération euro-africaine,
– La coopération décentralisée,
– Le co-développement.
Africum-Vitae : http://www.aix-asso.org/africum-vitae/africum-vitae.html
E-mail : africum-vitae@aix.asso.org
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