OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2017 > Novembre 2017 > Angola Cables collabore avec Microsoft pour piloter la transformation (…)

Angola Cables collabore avec Microsoft pour piloter la transformation numérique en Afrique

jeudi 2 novembre 2017

Economie numérique

Angola Cables a annoncé hier être devenu partenaire de Microsoft ExpressRoute pour répondre aux besoins des organisations situées en Afrique et migrant leurs applications commerciales et leurs infrastructures informatiques vers le Cloud, et accélérant la transformation numérique sur le continent. Tirant parti de la plateforme Cloud Microsoft Azure, Angola Cables a créé ACloud Connect afin de fournir des connexions dédiées de haute qualité à un réseau mondial de 42 régions Azur offert par Microsoft, et une connectivité à Angonap, le centre de données d’Angola Cables situé à Luanda.

Des performances prévisibles

En tant qu’une des plateformes informatiques Cloud les plus dignes de confiance du monde, à la souplesse de niveau entreprise, Azure permet aux organisations d’étendre leurs réseaux locaux sur le Cloud grâce à une connexion privée. Comme les connexions ExpressRoute ne transitent pas par l’Internet public, les clients profitent d’une connectivité fiable, rapide et plus prévisible que les connexions conventionnelles.

Proposant des liens Ethernet dédiés entre les infrastructures de la clientèle et les centres de données Azure, en plus d’exploiter l’une des structures IP / MPLS les plus avancées au monde, Angola Cables ACloud Connect interconnectera l’Afrique et le reste du monde. Le service doit être disponible à partir de novembre 2017, et Angola Cables se concentrera initialement sur le service des organisations basées en Angola et en Afrique du Sud avec ACloud Connect.

« Nous considérons ACloud Connect comme une extension naturelle des propres infrastructures informatiques des clients », déclafre Antonio Nunes, PDG d’Angola Cables. « En plus de bénéficier de la taille et de l’économie de Microsoft Azure, les clients basés en Afrique peuvent aussi espérer des services à faible latence ».

La plateforme Cloud Azure, complétant NAPAfrica en Afrique du Sud, proposant l’appairage à travers l’Afrique subsaharienne, aidera à protéger les actifs en ligne des organisations, alors qu’elles cherchent à se développer mondialement, tout en conservant « la résidence des données » sur le continent africain.

« L’expérience et l’approche de la société Microsoft envers le Cloud répond aux besoins des clients de façon différentiée. Notre approche unique du Cloud couvre trois zones qui, combinées, donnent à la clientèle plus de choix et de souplesse au niveau du Cloud : les capacités de l’entreprise, l’infrastructure globale et les solutions hybrides complètes », explique Laurence Janssens, Responsable de pays pour Microsoft Afrique du Sud.

« Grâce au partenariat avec Microsoft, Angola Cables semble prendre toutes les bonnes décisions pour devenir un catalyseur clé de l’adoption du Cloud sur le continent », déclare Lehlohhonolo Mokenela, Analyste sectoriel des pratiques de transformation numérique chez Frost & Sullivan Afrique. « L’impact sur la latence et le coût de la bande passante fera du Cloud une option encore plus viable pour les entreprises en Afrique. Nous verrons aussi une plus grande demande de part des petites et moyennes entreprises (PME), un segment du marché qui a l’habitude d’emmener l’adoption du Cloud dans certains des pays plus développés. SACS doit démarrer en 2018, et l’Angola est bien positionné pour devenir un important centre technologique de la région ».

Mokenela précise aussi que les économies possédant une adoption relativement plus mûre de la technologie, telles que celles de l’Afrique du Sud, du Kenya et du Nigeria, connaissent déjà une transition croissante vers le Cloud. « Ces types de partenariats, ainsi que l’arrivée prochaine de nouveaux câbles tels que SACS, peuvent permettre à la plateforme d’être aussi plus largement adoptée sur le reste du continent ».

(Source : Angola Cables, 2 novembre 2017)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 4934/5363 Régulation des télécoms
  • 380/5363 Télécentres/Cybercentres
  • 3616/5363 Economie numérique
  • 1857/5363 Politique nationale
  • 5268/5363 Fintech
  • 598/5363 Noms de domaine
  • 1962/5363 Produits et services
  • 1567/5363 Faits divers/Contentieux
  • 928/5363 Nouveau site web
  • 5363/5363 Infrastructures
  • 2056/5363 TIC pour l’éducation
  • 201/5363 Recherche
  • 267/5363 Projet
  • 3539/5363 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 2137/5363 Sonatel/Orange
  • 1745/5363 Licences de télécommunications
  • 295/5363 Sudatel/Expresso
  • 1144/5363 Régulation des médias
  • 1411/5363 Applications
  • 1072/5363 Mouvements sociaux
  • 1828/5363 Données personnelles
  • 173/5363 Big Data/Données ouvertes
  • 805/5363 Mouvement consumériste
  • 401/5363 Médias
  • 800/5363 Appels internationaux entrants
  • 1849/5363 Formation
  • 98/5363 Logiciel libre
  • 2104/5363 Politiques africaines
  • 1083/5363 Fiscalité
  • 179/5363 Art et culture
  • 626/5363 Genre
  • 1828/5363 Point de vue
  • 1091/5363 Commerce électronique
  • 1651/5363 Manifestation
  • 364/5363 Presse en ligne
  • 127/5363 Piratage
  • 210/5363 Téléservices
  • 955/5363 Biométrie/Identité numérique
  • 370/5363 Environnement/Santé
  • 345/5363 Législation/Réglementation
  • 411/5363 Gouvernance
  • 1956/5363 Portrait/Entretien
  • 191/5363 Radio
  • 920/5363 TIC pour la santé
  • 270/5363 Propriété intellectuelle
  • 60/5363 Langues/Localisation
  • 1189/5363 Médias/Réseaux sociaux
  • 2364/5363 Téléphonie
  • 190/5363 Désengagement de l’Etat
  • 1133/5363 Internet
  • 115/5363 Collectivités locales
  • 511/5363 Dédouanement électronique
  • 1161/5363 Usages et comportements
  • 1172/5363 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 616/5363 Audiovisuel
  • 3316/5363 Transformation digitale
  • 400/5363 Affaire Global Voice
  • 158/5363 Géomatique/Géolocalisation
  • 394/5363 Service universel
  • 676/5363 Sentel/Tigo
  • 250/5363 Vie politique
  • 1741/5363 Distinction/Nomination
  • 38/5363 Handicapés
  • 772/5363 Enseignement à distance
  • 845/5363 Contenus numériques
  • 738/5363 Gestion de l’ARTP
  • 181/5363 Radios communautaires
  • 1903/5363 Qualité de service
  • 469/5363 Privatisation/Libéralisation
  • 178/5363 SMSI
  • 507/5363 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 2929/5363 Innovation/Entreprenariat
  • 1428/5363 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 46/5363 Internet des objets
  • 179/5363 Free Sénégal
  • 384/5363 Intelligence artificielle
  • 402/5363 Editorial
  • 22/5363 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous