OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2018 > Juin 2018 > Trois questions à… Adrien Schwarz (Ambassade de France au Sénégal) : « (…)

Trois questions à… Adrien Schwarz (Ambassade de France au Sénégal) : « Teranga Tech a bien conscience de la difficulté d’accès au financement pour les starups »

dimanche 1er juillet 2018

Economie numérique

Attaché de coopération en charge de l’innovation et l’économie numérique à l’ambassade de France au Sénégal, initiatrice du projet, Adrien Schwarz, partage, dans cet entretien, les espoirs de Teranga Tech, la communauté franco-sénégalaise, lancée le 21 juin 2018, à Dakar, et qui regroupe de grandes structures locales et internationales de l’écosystème numérique.

Comment est né la communauté Teranga Tech ?

Teranga Tech, la communauté Tech franco-sénégalaise est née des différentes rencontres que j’ai eues avec quasiment tout l’écosystème numérique du Sénégal. Je voudrai insister sur : « tout l’écosystème », c’est à dire qu’il ne s’agit pas seulement des startups, mais également des associations, des structures de recherche, des incubateurs, des bailleurs, etc.

Il est souvent revenu la problématique de la structuration, la visibilité nationale et internationale, et de la lisibilité de l’ensemble de l’écosystème Tech du pays. Donc, il y avait de prime abord quelque chose à faire, pour avoir une compréhension plus rapide et plus simple de l’écosystème (ses interactions, les bailleurs, etc.). Il fallait effectuer une cartographie de l’environnement Tech sénégalais. C’était cela le premier grand point de ce projet de la communauté. Le deuxième, il est évidemment proche d’autres types de communauté, c’est d’épauler et de faire en sorte que les jeunes porteurs de projets puissent avancer, aboutir, structurer leurs projets. Et là-dessus, toute la communauté s’engage à pouvoir s’aider les uns et autres avec leurs ressources humaines, des financements, des mises en réseau, etc.

Qu’est-ce qui a motivé la mise en place de la plateforme Teranga Tech ?

L’idée c’est de pouvoir proposer à toutes les structures Tech d’y adhérer pour avoir d’abord une visibilité, et ensuite d’être référencée sur une cartographie qui donne une meilleure compréhension de la situation et des acteurs. La seconde, c’est de créer un réseau d’échanges entre les différentes structures qui s’y trouvent, la troisième c’est de donner une visibilité également a l’international. Dans les projets d’évolution de cette plateforme, l’idée est d’avoir également des outils en ligne à destination des startups, à la fois pour structurer leurs projets pour comprendre ce que font les bailleurs qu’elles peuvent rencontrer, et comment elles peuvent être aidées d’une manière ou d’une autre pour avancer.

L’accès au financement constitue un défi majeur pour les startups. Quelles solutions Teranga Tech envisage-t-elle d’apporter ?

Vous aurez remarqué que de grands groupes sont membres de la communauté Teranga Tech ; et qu’ils sont en train de dérouler des programmes de financement pour les startups. Le fonds d’amorçage Afric’Innov, par exemple, est dans sa phase active. Des startups sélectionnées dans le cadre de concours ou d’appels à projets bénéficient déjà de prêts à taux zéro, compris entre cinq mille et cinquante mille euros. C’est un programme avec lequel l’ambassade de France coopère. Des financements publics sont également proposés par des organismes tels que l’Agence française de développement (Afd), AyadaLab, etc. Donc, le financement peut aussi se décliner sous la forme d’un programme d’accompagnement sur la durée. Il y a également, dans l’évolution du programme Digital Africa, qui est pour le moment un concours avec un accompagnement à la clef, l’idée d’organiser des concours avec des financements qui seraient proposés à la clé. Maintenant, la mise en réseau avec la communauté doit faire en sorte qu’on puisse également proposer des sources de financement même minimales pour que ces porteurs de projets puissent avancer. Donc, nous avons bien conscience de cette difficulté-là.

Propos recueillis par Amadou Ba

(Source : Innovafrica, 30 juin 2018)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 4445/4983 Régulation des télécoms
  • 352/4983 Télécentres/Cybercentres
  • 3344/4983 Economie numérique
  • 2048/4983 Politique nationale
  • 4879/4983 Fintech
  • 518/4983 Noms de domaine
  • 1722/4983 Produits et services
  • 1488/4983 Faits divers/Contentieux
  • 804/4983 Nouveau site web
  • 4983/4983 Infrastructures
  • 1726/4983 TIC pour l’éducation
  • 193/4983 Recherche
  • 259/4983 Projet
  • 3536/4983 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1803/4983 Sonatel/Orange
  • 1692/4983 Licences de télécommunications
  • 292/4983 Sudatel/Expresso
  • 989/4983 Régulation des médias
  • 1310/4983 Applications
  • 1047/4983 Mouvements sociaux
  • 1642/4983 Données personnelles
  • 186/4983 Big Data/Données ouvertes
  • 635/4983 Mouvement consumériste
  • 375/4983 Médias
  • 665/4983 Appels internationaux entrants
  • 1641/4983 Formation
  • 109/4983 Logiciel libre
  • 2268/4983 Politiques africaines
  • 991/4983 Fiscalité
  • 175/4983 Art et culture
  • 641/4983 Genre
  • 1673/4983 Point de vue
  • 1042/4983 Commerce électronique
  • 1692/4983 Manifestation
  • 328/4983 Presse en ligne
  • 128/4983 Piratage
  • 212/4983 Téléservices
  • 952/4983 Biométrie/Identité numérique
  • 310/4983 Environnement/Santé
  • 366/4983 Législation/Réglementation
  • 343/4983 Gouvernance
  • 2029/4983 Portrait/Entretien
  • 149/4983 Radio
  • 812/4983 TIC pour la santé
  • 274/4983 Propriété intellectuelle
  • 66/4983 Langues/Localisation
  • 1199/4983 Médias/Réseaux sociaux
  • 2051/4983 Téléphonie
  • 195/4983 Désengagement de l’Etat
  • 1169/4983 Internet
  • 118/4983 Collectivités locales
  • 471/4983 Dédouanement électronique
  • 1220/4983 Usages et comportements
  • 1060/4983 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 574/4983 Audiovisuel
  • 3156/4983 Transformation digitale
  • 401/4983 Affaire Global Voice
  • 153/4983 Géomatique/Géolocalisation
  • 336/4983 Service universel
  • 684/4983 Sentel/Tigo
  • 197/4983 Vie politique
  • 1858/4983 Distinction/Nomination
  • 37/4983 Handicapés
  • 691/4983 Enseignement à distance
  • 701/4983 Contenus numériques
  • 615/4983 Gestion de l’ARTP
  • 198/4983 Radios communautaires
  • 1847/4983 Qualité de service
  • 445/4983 Privatisation/Libéralisation
  • 144/4983 SMSI
  • 545/4983 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 2794/4983 Innovation/Entreprenariat
  • 1363/4983 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 47/4983 Internet des objets
  • 171/4983 Free Sénégal
  • 715/4983 Intelligence artificielle
  • 275/4983 Editorial
  • 24/4983 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous