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Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2005 > Janvier > Systèmes de dédouanement Gaindé et Orbus en vitesse de croisière : Une (…)

Systèmes de dédouanement Gaindé et Orbus en vitesse de croisière : Une alliance fructueuse avec le secteur privé

samedi 29 janvier 2005

Dédouanement électronique

« La douane ne peut aller sans les transitaires et les transitaires ne sauraient exister sans la douane » estime M. Madior Bouna Niang, Président de l’union sénégalaise des entreprises de transit et de transport agréés, par ailleurs président de la fédération des associations des commissionnaires en douanes agréés de l’espace Cedeao. « Nous nous sommes dit, depuis longtemps, que c’est un outil qu’il faut préserver dans la mesure où il nous facilite notre travail.

Quand l’un se porte très bien et quand l’autre ne se porte pas bien, il y a dysfonctionnement il faut que les choses aillent ensemble, affirme M. Niang. Avec le « Gaindé », le système manuel est devenu archaïque. La création de Gaindé suppose aussi la modernisation de l’ensemble de l’administration des douanes parce qu’il fallait que l’administration s’accommode à la nouvelle technologie, aux nouvelles règles, au nouveau système. Ce faisant, c’est un bouleversement des mentalités : autant nous avons subi ce bouleversement en tant que professionnels, en tant que transitaires, autant ce système devait avoir un impact positif sut l’organisation des douanes. Nous l’avons compris et nous nous sommes donné la main en faisant le pari de l’encadrer, le couver parce qu’il venait de naître avec ses imperfections ses aléas, etc. C’était risqué, car il constituait le premier outil informatique qu’on avait créé avec tout ce que cela comporte d’incertitudes quant aux résultats et à ce que nous attendons », explique Madior Bouna Niang. Petit à petit, ce sentiment a soudé l’administration des douanes et le secteur privé.

L’apport du Trade Point a été d’une grande utilité à la réussite du projet

Ce n’est qu’en 1997 que le privé a sollicité et obtenu un accord favorable de l’administration des douanes pour une implication dans la gestion du système. « Je crois que là aussi, il faut expliquer que la Pid est une taxe qu’on perçoit sur chaque importation-exportation de 5000 FCfa pour couvrir les frais de gestion de l’outil informatique. Donc, c’est autour de cettetaxe que nous avons créé le comité et l’administration a pris un arrêté pour le formaliser en y incluant toutes les différentes composantes de l’administration et le secteur privé », explique M. Niang. Et puisque l’appétit vient en mangeant, l’informatique se développant, les transitaires se sont accommodés à l’évolution du système informatique avec
surtout l’appui des techniciens de la douane.

« En créant le Gie, notre idée était de prendre les ressources celui était au Trade point Sénégal », révèle Madior Bouna Niang. Et ce dernier de poursuivre : « on ne pouvait pas laisser Orbus mourir de sa belle mort. L’Etat ayant investi des milliards pour mettre sur pied le Tps qui ne répondait pas ou avait dévié de sa mission originelle, nous nous sommes dit qu’il fallait chercher des ressources et du matériels », souligne M. Niang. Depuis 10 ans, nous avons mis un système de concertation avec la douane et il n’y a plus de cachotterie, les gens se parlent en hommes responsables et de ce dialogue est né la complicité qu’on appelle partenariat douane-secteur privé. Nous avons établi ce partenariat », reconnaît M. Niang. C’est pourquoi le choix du Kenya sur les systèmes Gaindé et Orbus est une fierté pour le privé. J’avoue que pour moi, c’est une fierté. Pour avoir été parmi les géniteurs du Gaindé et d’Orbus, cela a été mon rêve, Je rêvais d’un Gaindé performant d’un Gaindé qui réponde à nos attentes.

Dossier réalisé par Adama Mbodj et Félix Nankase

(Source : Le Soleil, 29-30 janvier 2005)

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