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Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2013 > Octobre 2013 > Sept tablettes et smartphones africains qui viennent chatouiller les géants (…)

Sept tablettes et smartphones africains qui viennent chatouiller les géants mondiaux

vendredi 25 octobre 2013

Produits et services

Samsung Galaxy S4, iPhone 5, iPad 2, Nokia Lumia 920, BlackBerry Z10, HTC One ou encore Sony Experia 1, tous sont présents sur le continent, mais sont onéreux. Des Africains proposent quelques alternatives. Revue de quelques unes d’entre elles.

Selon une étude du cabinet Pyramid Research publiée en 2012, l’Afrique et le Moyen-Orient occuperont la première place des ventes de smartphones à l’horizon 2017. « Le nombre de smartphones vendus en Afrique et au Moyen-Orient devrait être multiplié par près de quatre d’ici à 2017, pour atteindre 124,6 millions d’unités, contre 29,7 millions d’unités en 2011 », estime cette étude intitulée Smartphone Forecast.
L’Afrique constitue donc un marché florissant pour les smartphones et tablettes, distribués à la majorité dans le continent par des grands fabricants comme Apple ou Samsung. A coté de ces géants, petit à petit, des Africains conçoivent, fabriquent ou assemblent en Afrique des smartphones et tablettes tout aussi intéressants, écoulés à coûts plus ou moins réduits et s’adaptant davantage aux besoins des Africains. Tous ces smartphones et tablettes conçus par des Africains ne bénéficient pas de la même publicité. Certains estimant qu’ils sont de pâles copies des produits fabriqués en Chine. Ils ne sont pas distribués dans tous les pays africains comme leurs concurrents occidentaux et ne sont pas non plus fabriqués en quantité industrielle.

Toutefois, ils font la fierté de nombreux Africains et donnent l’espoir et le rêve d’une Afrique technologique forte. Forte pour pouvoir séduire le milliard d’abonnés mobiles qu’il y aura en Afrique à l’horizon 2015, selon les prévisions de nombreux experts, dont ceux de la GSMA, l’association mondiale des opérateurs de télécommunications. Déjà, dans son rapport 2011 sur l’Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique, GSMA prévoyait 735 millions d’abonnés avant la fin de l’année 2012. Pour cette association, l’Afrique constitue maintenant le second plus important marché mobile au monde en termes de liaisons après l’Asie.
Plus encore, d’après un rapport de Deloite publié en mai 2013 et intitulé « The rise and rise of the African middle class » (L’augmentation constante de la classe moyenne en Afrique), la classe moyenne africaine en croissance permanente atteindra 1,1 milliard de personnes (soit 42% de la population totale du continent) d’ici 2060. Et ces personnes auront tendance à remplacer les PC par des appareils mobiles comme outil d’accès à Internet. L’on estime que 60% de l’ensemble de la croissance du secteur du matériel informatique viendra des tablettes et smartphones cette année 2013. Ces Africains ne veulent pas laisser ce vaste marché aux seuls Samsung Galaxy S4, iPhone 5 d’Apple, Nokia Lumia 920, BlackBerry Z10 ou Q10, HTC One ou encore le Sony Experia 1, déjà présents et en compétition en Afrique, mais avec des coûts onéreux et non accessibles aux Africains de la classe moyenne. Pour faire face à ce début d’invasion, des Africains ont décidé de produire des tablettes et smartphones plus ou moins onéreux et dotés d’applications locales. D’autres, comme rLg Communications au Ghana se sont alliés à Huawei pour assembler les smarthopnes dans le pays.

La Way-C

Elle est présentée comme la première tablette africaine conçue en Afrique. Son initiateur est le Congolais Vérone Mankou. Sa société VMK l’a mise sur le marché en octobre 2011. Le lancement de cette tablette a fait les choux gras de la presse nationale et internationale. Pendant que certains médias saluaient l’initiative, d’autres relevaient que la tablette fabriquée en Chine n’avait rien d’africain. Soit. Son concepteur s’en est toujours défendu. « Tout est assemblé en Chine. Est-ce qu’elle est conçue en Chine ? C’est ça la vraie question », expliquait-il à TIC Mag. « La particularité de cette tablette c’est qu’elle met en vue les applications africaines. Surtout, et c’est le plus essentiel à mon avis, l’accessibilité. Les tablettes qui ont été créées par les majors sont davantage destinées au marché occidental où les gens ont un fort pourvoir d’achat. Combien de personnes ont des iPad et tablettes en Afrique ? C’est parce qu’ils coûtent chers. Nous sommes partis sur la logique selon laquelle nous voulons rendre notre tablette accessible au marché africain à travers son bas coût et à travers son accessibilité », avait-il ajouté. Dotée du système Android Gingerbread et d’un microprocesseur de 1,2 GHz, la Way-C coûtait à son lancement 150 000 FCFA. Elle est aujourd’hui vendue au Congo Brazza à 100 000 FCFA. La tablette est également disponible dans de nombreux autres pays africains. Pour sa concrétisation, le projet aura coûté 88 millions FCFA, selon son promoteur.

La Limitless Min Tab 3G et Re-act

Contrairement à la Way-C congolaise assemblée en Chine, la Limitless Re-act est assemblée au Cameroun. C’est ce qu’affirme son concepteur, d’origine camerounaise, Tony Smith. « A l’heure actuelle, une bonne partie de notre production est faite en Chine. Mais la particularité de cette tablette, c’est qu’elle a été assemblée dans une usine hybride que nous avons déployée au Cameroun. Nous avons une capacité de production de 1000 équipements par mois. Une usine hybride n’est pas gigantesque et fonctionne avec un personnel réduit dans un espace réduit. Elle est concentrée dans les tâches où on n’a pas besoin d’une ingénierie importante », explique son concepteur. « Dans cette usine, ajoute-t-il, il y a une chaîne d’assemblage, une chaîne de test et une chaîne de programmation ». « C’est aussi cette usine qui nous permet aujourd’hui de personnaliser l’équipement. On ne peut pas personnaliser l’équipement si on la prend directement en Chine, où on produit 10 000 exemplaires. Dans cette usine on a la possibilité de fabriquer l’échantillon à la pièce ou à la commande », indique Tony Smith sur son site web. La tablette sera vendue à 249 dollars, environ 199 euros (124 000 FCFA). « Nous allons garder ce prix uniforme pour tous les pays. La seule différence sera au niveau des taxes locales de chaque pays », nuance-t-il. Mais seulement, Tony Smith, juriste de formation, ne veut pas considérer la Limitless Re-act comme une tablette africaine pour les Africains. Elle a une ambition globale et ne veut pas seulement conquérir l’Afrique. La tablette est conçue par son entreprise Limitless Corporation, basée à Seattle aux Etats-Unis, fabriquée en Chine et produite au Cameroun. Cette tablette sept pouces est configurable à l’achat. L’utilisateur aura le choix entre les systèmes Ubuntu et Android. Ce modèle est le tout dernier lancé en janvier 2013 car avant la Re-act, il y avait la Limitless Mind Tab 3G lancée en 2011 et vendue au Cameroun. Pour Tony Smith, « aucune tablette sur le marché africain n’a les mêmes spécificités techniques que la Limitless Mind Tab 3G ».

Inye

Au Nigeria, Inye (« Numéro un » en Igala, un dialecte au Nigeria) se présente comme la première tablette tactile du pays, conçue par l’entreprise Encipher Group en avril 2010. Sa seconde version est déjà sur le marché et dispose d’une batterie d’une durée de six heures. Selon ses concepteurs, Inye 2, la seconde version de Inye, est un dispositif informatique mobile très avancé qui intervient sur le marché nigérian « après des mois d’étude des besoins et de la rétroaction de la Inye originale. Le design élégant, robuste et le puissant système d’exploitation Android promet d’offrir aux utilisateurs une toute nouvelle expérience ». Il est vendu depuis septembre 2012 au Nigeria à 340 dollars US (environ 170 000 FCFA). Présentant sa tablette au magazine Forbes en 2011, son co-fondateur, le Nigérian Saheed Adepoju expliquait qu’à l’origine Encipher était une startup basée au Royaume-Uni et spécialisée dans le développement des logiciels et des applications, leur spécialité. C’était en 2008. L’avènement de l’iPad d’Apple va convaincre Adepoju et son ami Anibe Agamah de concevoir une tablette. « La véritable source d’inspiration de l’Inye d’Encipher est l’iPad d’Apple. Avec la nature de son système d’exploitation et sa portabilité, nous avons senti que nous avions là une occasion d’entrer sur le marché nigérian avec une tablette », explique-t-il. Pour lui, le système d’exploitation Android leur permettait de créer une tablette adaptée au marché nigérian avec des applications locales. Ils ont estimé qu’ils devaient également par là inciter les développeurs nigérians à créer plus d’applications. Deux ans plus tard, en avril 2010, la jeune startup dévoile sa première tablette.

Vantium M1

Toujours au Nigeria, la société Websoft, l’un des leaders de la conception des sites web et de la fourniture des noms de domaine du pays a mis sur le marché nigérian en avril 2012 une tablette baptisée Vantium M1. En fait, la version revue du premier modèle lancé en janvier 2012. La tablette, conçue au Nigeria et assemblée en Chine, fonctionne sous Android 4.0. Elle dispose d’une mémoire RAM de 512 Mo (RAM) et d’un processeur de 1,5 GHz. Elle a une capacité de stockage de 8 giga extensible à 32 giga. Vantium M1 est vendue à 59 000 nairas, soit environ 180 000 FCFA (275 euros). En ce qui concerne la qualité du produit, Johnson Dunmoye, spécialiste des applications web, cofondateur de la tablette et directeur général de Websoft, se veut intransigeant. « Nous ne faisons pas de compromis sur la qualité, car nous savons que nous serons toujours comparés avec les meilleurs. Notamment avec l’iPad et Samsung tête à tête. Vous constaterez que notre tablette n’est pas inférieure en tout cas. Sur certains points d’ailleurs, nous sommes encore mieux comparés à ces géants. L’écran utilise la même technologie que l’iPad avec un toucher très lisse. La mémoire de Vantium V1 par exemple est de 1 Go, ce qui est le double de la mémoire de l’iPad 2. Il peut lire les vidéos HD à cause de la forte puissance du processeur utilisé », explique-t-il à BizTech Africa. Pour le moment, le produit est écoulé au Nigeria où Websoft maîtrise mieux le marché.

La Wise Touch Tablet 10’’

Les Sud-africains peuvent se procurer une tablette sud-africaine depuis mars 2012. Date à laquelle la société Wise Tablets basée à Pretoria a mis sur le marché la Wise Touch annoncée depuis novembre 2011. Comme les autres, elle est conçue en Afrique du Sud et assemblée en Chine. Aujourd’hui, la société écoule sur le marché trois modèles de tablette sous Android dont la Wise Touch Tablet 10’’ Wifi et la Wise Touch Tablet 10’’ 3G. Le directeur général de Wise Tablets, Gian Shipton, explique que l’objectif de sa société est de donner aux Sud-africains une tablette avec des applications locales qui leur permettront par exemple de faire du shopping en ligne et qui fera en sorte que les entreprises migrent également vers les contenus sur tablettes.
Pour lui, « plusieurs entreprises sud-africaines ont une bonne présence sur le web, mais n’ont pas encore migré sur les tablettes. A présent, Wise Touch leur donne la possibilité d’être actives sur les tablettes ». Quid des prix ? Dans le communiqué officiel d’annonce des tablettes, Gian Shipton mentionne que « la tablette Wise Touch de neuf pouces sera en vente à moins de 3500 rands sud-africains (260 euros, 170 000 FCFA, ndlr) ; celle de sept pouces 3G, la version la plus populaire, sera vendue à moins de 2500 rands (185 euros, 122 000 FCFA, ndlr) et celle de sept pouces Wifi à moins de 1500 rands (110 euros, 73 000 FCFA, ndlr). Des offres très compétitives en ce sens que toutes les applications locales sont préinstallées gratuitement ». En effet, l’entreprise spécialisée dans les télécoms et les TIC a également fabriqué et préinstallé sur la tablette des applications qu’elle classe en trois catégories : Wise Shopping all, Wise Business Park et Wise Education Centre.

La Bamboo D300 Tablet PC

Première tablette du monde exclusivement dédiée aux hommes. C’est ainsi que se positionne la Bamboo D300 Tablet PC, tablette conçue au Nigeria par Debonair, une société spécialisée dans la vente en ligne des livres. « Les hommes vont tomber amoureux de cette tablette, parce qu’elle est simple, facile à transporter et facile pour faire ce que les hommes aiment – affaires, sport, films, lecture des livres et magazines, musiques, applications, jeux, consultation des mails, surf sur le web sur un écran tactile simple. Il est idéal pour les hommes de tous âges et fournit une grande expérience intuitive, même pour les hommes qui ne savent pas comment utiliser un ordinateur », explique le PDG de Debonair, Adebola Omololu. Lancée en mars 2012, la Bamboo D300 Tablet PC est la troisième version de Bamboo D180 et Bamboo D280 lancées en juin 2011. Elle fonctionne sous Android 4.0 (Ice-cream Sandwich). Au moment de son lancement, la Bamboo D300 coûtait 75 000 nairas nigérians (348 euros). Soit environ 226 000 FCFA. Debonair revendique d’avoir la tablette la plus rapide sur le marché africain avec un processeur dual-core. Adebola Omololu se présente comme le PDG, fondateur de www.debonairbookstore.com, la première librairie en ligne du Nigeria, fondée en 2005. Au sein du groupe Debonair, il dirige plusieurs entreprises dont Debonair Publishing Limited, Debonair Digital Limited ou encore sa société de conseil AO & C Afrique.

Elikia

« Espoir » en langue Lingala, Elikia est le nom de baptême choisi par le Congolais Vérone Mankou pour désigner le premier smartphone de sa société VMK (Vumuka, « réveillez-vous » en Kituba, deuxième langue nationale). Smartphone qu’il considère d’ailleurs comme le premier jamais conçu en Afrique. « C’est un smartphone que nous avons nous-mêmes conçu ici au Congo. En Afrique, il n’y a aucune entreprise qui l’a fait avant nous », a déclaré le concepteur lors de son lancement au Congo en décembre 2012. Vendu à 85 000 FCFA auprès des boutiques des opérateurs Airtel Congo et Warid Congo, Elikia est conçu au Congo et assemblé en Chine. Pour le moment, il est distribué exclusivement au Congo, mais VMK envisage de le mettre sur de nombreux marchés africains. Le projet de ce smartphone a coûté 60 millions FCFA, selon Vérone Mankou. VMK, sa société créée en 2009 et spécialisée dans les technologies mobiles, dont la tablette Way-C, envisage d’écouler 50 000 smartphones en 2013. Le smartphone Elikia dispose d’un écran tactile de 3,5 pouces, d’une mémoire RAM de 512 Mo et d’un processeur de 650 Mhz. Sa mémoire interne est de 256 Mo, extensible jusqu’à 32 Go. Son appareil photo a une capacité de cinq méga pixels. Il est également doté d’une radio Fm, d’un gyroscope, d’une géolocalisation GPS et d’une connectivité sans limite par son système Wifi et Bluetooth.

Dossier réalisé par Beaugas-Orain Djoyum, pour le magazine Réseau Télécom n° 64.

(Source : Agence Ecofin, 25 octobre 2013)

Documents joints

  • Comparatif de quelques tablettes africaines (PDF - 32 kio)

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