OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2006 > Avril > Semaine française à Dakar : La borne et le point santé suscitent la (…)

Semaine française à Dakar : La borne et le point santé suscitent la curiosité des visiteurs

mercredi 26 avril 2006

Manifestation

Au deuxième jour de la ’Semaine française’, les visiteurs ne se bousculent pas dans la quarantaine de stands aménagés pour les besoins de ce Salon. C’est à peine que l’on observe quelques rares visiteurs. Leur curiosité est surtout attirée par la borne contact physique, une technologie qui permet de rapprocher l’administration locale aux administrés. C’est-à-dire un outil qui est développé dans le cadre des collectivités locales pour apporter dans les villages reculés l’administration qui n’y existent pas.

Ingénieur en recherche et développement à France Telecom, Jean Claude qui en est l’exposant, explique aux visiteurs de quoi il s’agit exactement. ’Je présente, dans le cadre de cette ’Semaine française’, la borne physique contact. C’est une borne qui est en général installée dans des endroits reculés, c’est-à-dire dans des lieux où les gens n’ont pas accès aux services administratifs. Au lieu de se déplacer, de dépenser de l’argent et de perdre du temps, ils ont en fait leur bureau à proximité de chez eux à travers cette borne qui est reliée à l’Internet. Elle permet donc de réduire les distances entre l’administration et les usagers. Les gens peuvent ainsi parler, dialoguer et regarder leur interlocuteur’, leur dit-il.

Avec cette technologie, Jean Claude leur a fait comprendre qu’ils peuvent se connecter à une quelconque mairie par exemple pour avoir des informations relatives aux actes d’état civil. Démonstration à l’appui, l’ingénieur en recherche et développement se met à l’exercice de simulation. Le procédé est simple. Il se place devant la borne. En face de lui, il a au fond du petit écran une opératrice qu’il voit en vidéo conférence. Comme un internaut devant sa machine, il clique sur une touche du clavier qui lui donne la possibilité d’avoir plusieurs services. Et parmi les multiples exemples qui s’offrent à lui, il porte sa préférence sur celui de la mairie de Dakar. Se connectant sur cette institution municipale, il se trouve brusquement sur la personne qui a le service qu’il cherche. Le jeu des questions-réponses commencent. ’Bonjour, madame’, lui dit-il.

’Bonjour monsieur’, rétorque la dame. ’Je voudrais avoir une fiche d’état civil. Est-ce que vous pouvez me l’envoyer ? Est-ce que vous pouvez me remplir le document ?’, lui demande t-il. ’Oui. Veuillez décliner votre identité, adresse...’, répond l’opératrice. C’est elle qui fait tout, qui manipule tout à distance.

D’après Jean Claude, la borne permet aussi de pouvoir scanner directement des documents. Elle peut aussi imprimer l’acte d’état civil demandé. Elle est accessible à tout le monde. Et tout ceci se fait à travers l’Internet. Mais ce ne sont pas tous les papiers administratifs qu’on peut avoir sur place. Les passeports, par exemple, ne sont pas reçus automatiquement. Les demandeurs peuvent l’avoir par courrier. Ils peuvent cependant avoir toutes les formalités y afférentes. De création récente, cette technologie est en phase de promotion. C’est tout le sens de la présence de son exposant qui cherche à sensibiliser l’administration sur l’importance de cet outil.

Mais il n’y a pas que la borne qui suscite la curiosité des visiteurs. Le point santé, une autre technologie qui permet de mesurer le poids, la taille, la pression artériels et pouls, l’indice de masse graisseuse, etc. est aussi objet d’attraction de ces derniers. L’exposant de cet appareil électronique de mesures aux instructions audiovisuelles et vocales n’a d’ailleurs pas chômé comme nous avons dû le constater dans les autres stands. Aux différents visiteurs qui se sont défilés autour de l’appareil complètement automatique, il leur a expliqué chacun en ce qui le concerne les résultats obtenus après le contrôle.

Disponible depuis trois ans dans quelques officines et hôpitaux du pays, cet appareil continue de faire sa promotion pour conquérir de nouveaux marchés.

Ndakhté M. GAYE

(Source : Wal Fadjri, 26 avril 2006)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 4415/5148 Régulation des télécoms
  • 366/5148 Télécentres/Cybercentres
  • 3479/5148 Economie numérique
  • 2022/5148 Politique nationale
  • 5148/5148 Fintech
  • 534/5148 Noms de domaine
  • 1787/5148 Produits et services
  • 1537/5148 Faits divers/Contentieux
  • 754/5148 Nouveau site web
  • 4873/5148 Infrastructures
  • 1813/5148 TIC pour l’éducation
  • 228/5148 Recherche
  • 262/5148 Projet
  • 3651/5148 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1868/5148 Sonatel/Orange
  • 1635/5148 Licences de télécommunications
  • 272/5148 Sudatel/Expresso
  • 968/5148 Régulation des médias
  • 1306/5148 Applications
  • 1054/5148 Mouvements sociaux
  • 1654/5148 Données personnelles
  • 127/5148 Big Data/Données ouvertes
  • 614/5148 Mouvement consumériste
  • 370/5148 Médias
  • 675/5148 Appels internationaux entrants
  • 1679/5148 Formation
  • 98/5148 Logiciel libre
  • 2126/5148 Politiques africaines
  • 962/5148 Fiscalité
  • 177/5148 Art et culture
  • 593/5148 Genre
  • 1626/5148 Point de vue
  • 1054/5148 Commerce électronique
  • 1513/5148 Manifestation
  • 341/5148 Presse en ligne
  • 136/5148 Piratage
  • 212/5148 Téléservices
  • 924/5148 Biométrie/Identité numérique
  • 316/5148 Environnement/Santé
  • 335/5148 Législation/Réglementation
  • 349/5148 Gouvernance
  • 1806/5148 Portrait/Entretien
  • 151/5148 Radio
  • 807/5148 TIC pour la santé
  • 297/5148 Propriété intellectuelle
  • 66/5148 Langues/Localisation
  • 1063/5148 Médias/Réseaux sociaux
  • 1981/5148 Téléphonie
  • 194/5148 Désengagement de l’Etat
  • 1090/5148 Internet
  • 119/5148 Collectivités locales
  • 451/5148 Dédouanement électronique
  • 1099/5148 Usages et comportements
  • 1058/5148 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 587/5148 Audiovisuel
  • 3246/5148 Transformation digitale
  • 386/5148 Affaire Global Voice
  • 155/5148 Géomatique/Géolocalisation
  • 324/5148 Service universel
  • 678/5148 Sentel/Tigo
  • 183/5148 Vie politique
  • 1549/5148 Distinction/Nomination
  • 35/5148 Handicapés
  • 788/5148 Enseignement à distance
  • 902/5148 Contenus numériques
  • 592/5148 Gestion de l’ARTP
  • 181/5148 Radios communautaires
  • 1752/5148 Qualité de service
  • 455/5148 Privatisation/Libéralisation
  • 141/5148 SMSI
  • 519/5148 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 2890/5148 Innovation/Entreprenariat
  • 1380/5148 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 49/5148 Internet des objets
  • 172/5148 Free Sénégal
  • 586/5148 Intelligence artificielle
  • 210/5148 Editorial
  • 37/5148 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous