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Accueil > Articles de presse > Année 2025 > Février 2025 > Révolution IA : le plan secret du Sénégal pour prendre le lead en Afrique !

Révolution IA : le plan secret du Sénégal pour prendre le lead en Afrique !

mercredi 26 février 2025

Intelligence artificielle

Le Sénégal ne compte pas rester en marge de la révolution numérique mondiale. Avec le New Deal technologique, sa nouvelle Stratégie Nationale du Numérique, le gouvernement affiche des ambitions claires : accélérer la transformation digitale du pays et positionner le Sénégal comme un acteur majeur de l’économie numérique en Afrique.

Parmi les piliers stratégiques de ce plan, l’intelligence artificielle (IA) occupe une place centrale. Loin d’être un simple enjeu technologique, l’IA est perçue comme un levier clé pour booster la compétitivité du pays, moderniser ses services publics et privés et favoriser l’innovation locale.

L’IA : un moteur de transformation pour tous les secteurs

Dans un monde où les données sont devenues une ressource stratégique, l’IA joue un rôle fondamental dans l’optimisation des processus, l’automatisation des tâches et l’analyse des données massives.

Le New Deal technologique reconnaît cette importance et inscrit l’IA dans l’Axe 3 de sa stratégie, dédié au Développement de l’Économie Numérique. L’Objectif Stratégique OS-3.3 vise ainsi à structurer un écosystème national performant, qui permette de :

• Développer des solutions IA adaptées aux besoins locaux : en matière d’agriculture, pour anticiper les conditions climatiques et améliorer les rendements ; en santé, pour renforcer le diagnostic médical et la prise en charge des patients ; ou encore dans la digitalisation du secteur informel, qui représente une part essentielle de l’économie nationale.

• Faciliter le passage “From Lab to Market”, en encourageant les startups, les chercheurs et les industriels à travailler en synergie pour transformer les innovations en produits et services concrets.

• Déployer des infrastructures stratégiques comme des datacenters et des supercalculateurs, indispensables pour soutenir la recherche et l’expérimentation.

L’objectif est clair : faire du Sénégal un hub africain de l’intelligence artificielle, en exploitant son potentiel local tout en s’ouvrant aux collaborations internationales.

Un cadre réglementaire et éthique pour une IA souveraine

Toutefois, le développement de l’IA ne peut se faire sans un cadre de gouvernance robuste. L’un des défis majeurs du New Deal technologique est donc de garantir un usage responsable et sécurisé de l’intelligence artificielle.

Le gouvernement prévoit ainsi l’élaboration d’un cadre réglementaire et éthique national, assurant :

• La transparence des algorithmes, pour éviter les biais et garantir une IA équitable.

• La protection des données personnelles, afin de préserver la vie privée des citoyens.

• La souveraineté numérique, en limitant la dépendance aux technologies étrangères et en développant des solutions locales.

En structurant un cadre réglementaire solide, le Sénégal entend créer un climat de confiance propice à l’innovation, tout en se protégeant des dérives potentielles liées à l’IA.

Le Sénégal, futur leader africain de l’IA ?

Avec cette approche intégrée, le Sénégal ne se contente pas d’adopter l’intelligence artificielle, il veut en être un acteur influent sur la scène mondiale.

Le New Deal technologique prévoit notamment de positionner le pays comme un interlocuteur clé dans la gouvernance internationale de l’IA. Cela passe par :

• Des alliances stratégiques avec des centres de recherche et des entreprises internationales, pour renforcer les compétences locales et accélérer le transfert de technologies.

• La promotion des intérêts africains dans la régulation de l’IA, afin d’adapter les normes mondiales aux réalités du continent.

L’enjeu est de taille : l’Afrique ne doit pas seulement être consommatrice d’intelligence artificielle, elle doit aussi en devenir un producteur.

Le Sénégal ne compte pas rester en marge de la révolution numérique mondiale. Avec le New Deal technologique, sa nouvelle Stratégie Nationale du Numérique, le gouvernement affiche des ambitions claires : accélérer la transformation digitale du pays et positionner le Sénégal comme un acteur majeur de l’économie numérique en Afrique.

Parmi les piliers stratégiques de ce plan, l’intelligence artificielle (IA) occupe une place centrale. Loin d’être un simple enjeu technologique, l’IA est perçue comme un levier clé pour booster la compétitivité du pays, moderniser ses services publics et privés et favoriser l’innovation locale.

L’IA : un moteur de transformation pour tous les secteurs

Dans un monde où les données sont devenues une ressource stratégique, l’IA joue un rôle fondamental dans l’optimisation des processus, l’automatisation des tâches et l’analyse des données massives.

Le New Deal technologique reconnaît cette importance et inscrit l’IA dans l’Axe 3 de sa stratégie, dédié au Développement de l’Économie Numérique. L’Objectif Stratégique OS-3.3 vise ainsi à structurer un écosystème national performant, qui permette de :

• Développer des solutions IA adaptées aux besoins locaux : en matière d’agriculture, pour anticiper les conditions climatiques et améliorer les rendements ; en santé, pour renforcer le diagnostic médical et la prise en charge des patients ; ou encore dans la digitalisation du secteur informel, qui représente une part essentielle de l’économie nationale.

• Faciliter le passage “From Lab to Market”, en encourageant les startups, les chercheurs et les industriels à travailler en synergie pour transformer les innovations en produits et services concrets.

• Déployer des infrastructures stratégiques comme des datacenters et des supercalculateurs, indispensables pour soutenir la recherche et l’expérimentation.

L’objectif est clair : faire du Sénégal un hub africain de l’intelligence artificielle, en exploitant son potentiel local tout en s’ouvrant aux collaborations internationales.

Un cadre réglementaire et éthique pour une IA souveraine

Toutefois, le développement de l’IA ne peut se faire sans un cadre de gouvernance robuste. L’un des défis majeurs du New Deal technologique est donc de garantir un usage responsable et sécurisé de l’intelligence artificielle.

Le gouvernement prévoit ainsi l’élaboration d’un cadre réglementaire et éthique national, assurant :

• La transparence des algorithmes, pour éviter les biais et garantir une IA équitable.

• La protection des données personnelles, afin de préserver la vie privée des citoyens.

• La souveraineté numérique, en limitant la dépendance aux technologies étrangères et en développant des solutions locales.

En structurant un cadre réglementaire solide, le Sénégal entend créer un climat de confiance propice à l’innovation, tout en se protégeant des dérives potentielles liées à l’IA.

Le Sénégal, futur leader africain de l’IA ?

Avec cette approche intégrée, le Sénégal ne se contente pas d’adopter l’intelligence artificielle, il veut en être un acteur influent sur la scène mondiale.

Le New Deal technologique prévoit notamment de positionner le pays comme un interlocuteur clé dans la gouvernance internationale de l’IA. Cela passe par :

• Des alliances stratégiques avec des centres de recherche et des entreprises internationales, pour renforcer les compétences locales et accélérer le transfert de technologies.

• La promotion des intérêts africains dans la régulation de l’IA, afin d’adapter les normes mondiales aux réalités du continent.

L’enjeu est de taille : l’Afrique ne doit pas seulement être consommatrice d’intelligence artificielle, elle doit aussi en devenir un producteur.

(Source : Social Net Link, 26 février 2025)

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