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Radiodiffusion en Afrique : Le basculement au numérique en débat

vendredi 29 mars 2019

Télévision/Radio numérique terrestre

La 12e assemblée générale de l’Union africaine de radiodiffusion, ouverte mercredi dernier à Marrakech, est l’occasion de faire le point de la mise en œuvre de ce projet sur le continent.

Pour la douzième fois depuis sa création, l’Union africaine de radiodiffusion (UAR), que dirige le Camerounais Grégoire Ndjaka, a réuni tous ses membres en Assemblée générale depuis mercredi 27 mars à Marrakech au Maroc.

Objectif, faire le bilan des activités annuelles de l’institution panafricaine qui rassemble les chaines de télévision publiques, mais aussi quelques privées à vocation panafricaines, et évaluer la mise en œuvre du basculement de la radiodiffusion de l’analogique vers le numérique.

Pour cette session, les participants planchent sur le thème « Les nouveaux médias et leur influence sur l’industrie audiovisuel africain ». Un thème d’actualité quand on sait sous le ciel africain, il subsiste une bataille entre les médias traditionnels et les médias sociaux, les premiers pensant que les seconds pourraient leur ravir la vedette. Mais comme a tenu à la préciser Marc Sakaili, directeur de France 24 et partenaire de l’UAR, « dans la mouvance actuelle, tout va ensemble. Il n’y a pas un média qui soit contre un autre. Tous les médias doivent juste être capables de mettre des contenus certifiés et vérifiables à la portée de tous les publics et en temps réel, tant ceux qui choisissent les canaux linéaires que ceux qui vont sur les réseaux sociaux. Chacun doit avoir le choix », a-t-il déclaré.

Différents autres intervenants ont été d’accord sur le fait que chaque acteur doit donner du sien pour que tous les médias vivent ensemble et de façon complémentaire. Mais pour que les médias traditionnels suivent le cours de l’évolution technologique le basculement de l’analogique vers le numérique est indispensable.

C’est ainsi durant la cérémonie d’ouverture que présidait Mohamed Al Aaraj, ministre marocain de la Culture et de la Communication, en présence de ministres de plusieurs autres pays ou des représentants, l’état d’avancement du basculement a été présenté par quelques-uns. Et beaucoup reste à faire, surtout pour de nombreux pays au sud du Sahara.

Au Cameroun, quatre ans après la mise sur pied du projet de Télévision numérique terrestre (TNT), seules Yaoundé et Douala sont concernées par la phase pilote. « Ces villes sont alimentées par un centre de multiplexage d’une capacité de 50 programmes », a indiqué Charles Atangana Manda, chef de la division de l’observatoire des médias et de l’opinion publique, représentant le ministre de la Communication.

Si on peut déplorer la lenteur dans la réalisation de ce projet, il faut noter que de l’avis des experts, l’infrastructure TNT est assez onéreuse. Au Niger par exemple, cela a nécessité environ 30 milliards de F. D’ailleurs, en prélu à l’Assemblée générale, il s’est tenu, le 26 mars, un forum sur l’apport des régulateurs dans le processus du passage de l’analogique au numérique.

Toujours pour rester dans l’air du temps, les dégâts des fake news ou infox ont été abordés. Les participants ont également réfléchi sur les droits de retransmission des événements sportifs.

(Source : Ccmeroon Tribune, 29mars 2019)

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