OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2018 > Juin 2018 > Pourquoi Google ouvrira un Centre de recherche en intelligence artificielle (…)

Pourquoi Google ouvrira un Centre de recherche en intelligence artificielle à Accra au Ghana

lundi 18 juin 2018

Intelligence artificielle

Après Paris, Zurich, Tokyo, Tokyo, Beijing, Montréal, Toronto, Seattle, Cambridge/Boston, Tel Aviv/Haifa, New York, et bien évidemment San Francisco (Siège social de Mountain View), le géant américain du numérique Google a annoncé le 13 juin 2018 la création imminente cette année dans la capitale ghanéenne Accra d’un Centre de recherche en intelligence artificielle baptisé Google AI. Dans ce centre dédié à la recherche sur l’IA et ses applications, le moteur de recherche réunira les meilleurs chercheurs et ingénieurs en apprentissage automatique.

Il faut dire que Google s’intéresse à l’Afrique depuis quelques années. En 2016 déjà, Google avait annoncé son intention de former un million de jeunes africains afin de leur donner les moyens de maitriser le monde numérique dans le cadre de son programme de formation aux techniques numériques. Un an plus tard, l’objectif a été atteint. Aujourd’hui, ils sont deux millions d’Africains ayant déjà bénéficié des formations de Google. Et le géant de Mountain View accompagne 100 000 développeurs africains et plus de 60 start-ups technologiques dans le cadre de son programme Launchpad Accelerator Africa

Mais le géant américain ne s’arrête pas là. Il entend poursuivre son programme de formation offline destiné aux étudiants, aux demandeurs d’emploi et aux chefs d’entreprise en proposant des formations en face à face assurées par ses partenaires, ainsi que l’organisation régulière des rencontres afin d’encourager la participation sur le thème de la valeur d’Internet au niveau communautaire. Il revoit même ses ambitions à la hausse.

A présent, l’ambition est de former 10 millions d’Africains aux technologies numériques. Tout ceci en gardant garder son objectif en termes d’égalité des sexes en veillant à ce qu’au moins 40 % des personnes formées soient des femmes.

Forte expansion des chercheurs africains

Mais pourquoi cet intérêt pour la formation dans le domaine de l’intelligence artificielle ? « Nous avons constaté depuis quelques années que la recherche sur l’apprentissage automatique suscitait un intérêt croissant à travers le continent. Les événements tels que Data Science Africa 2017 en Tanzanie, le 2017 Deep Learning Indaba en Afrique du Sud et les différents IndabaX qui se sont tenus en 2018 dans plusieurs pays, ont montré que la communauté des chercheurs en informatique était en pleine expansion en Afrique », répondent Jeff Dean, Senior Fellow, Google AI, et Moustapha Cissé, Staff Research Scientist et responsable du Google AI Center Accra, dans une note d’information. D’où la création de ce centre de recherche à Accra.

« Nous nous engageons à travailler en collaboration avec les universités et les centres de recherche locaux, ainsi qu’avec les décideurs, sur les applications possibles de l’IA en Afrique », promettent Jeff Dean et Moustapha Cissé. Ces deux experts ont en commun un lien personnel avec l’Afrique : Jeff a passé une partie de son enfance en Ouganda et en Somalie et Moustapha a grandi au Sénégal. « Nous sommes ravis de conjuguer notre intérêt pour la recherche sur l’IA et l’apprentissage automatique, avec notre expérience personnelle en Afrique. Nous voulons ainsi repousser les limites de l’IA et contribuer à relever des défis dans des domaines tels que la santé, l’agriculture et l’éducation », s’engagent-ils.

Les chercheurs africains en apprentissage automatique qui souhaitent rejoindre ce nouveau centre de recherche en IA au Ghana sont invités à postuler en tant que chercheur scientifique ou chercheur ingénieur logiciel.

(Source : TIC Mag, 18 juin 2018)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2051/2205 Régulation des télécoms
  • 173/2205 Télécentres/Cybercentres
  • 1553/2205 Economie numérique
  • 805/2205 Politique nationale
  • 2205/2205 Fintech
  • 262/2205 Noms de domaine
  • 814/2205 Produits et services
  • 691/2205 Faits divers/Contentieux
  • 360/2205 Nouveau site web
  • 2148/2205 Infrastructures
  • 789/2205 TIC pour l’éducation
  • 90/2205 Recherche
  • 121/2205 Projet
  • 1413/2205 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 862/2205 Sonatel/Orange
  • 773/2205 Licences de télécommunications
  • 132/2205 Sudatel/Expresso
  • 461/2205 Régulation des médias
  • 599/2205 Applications
  • 494/2205 Mouvements sociaux
  • 768/2205 Données personnelles
  • 60/2205 Big Data/Données ouvertes
  • 295/2205 Mouvement consumériste
  • 179/2205 Médias
  • 321/2205 Appels internationaux entrants
  • 690/2205 Formation
  • 45/2205 Logiciel libre
  • 857/2205 Politiques africaines
  • 410/2205 Fiscalité
  • 83/2205 Art et culture
  • 284/2205 Genre
  • 711/2205 Point de vue
  • 482/2205 Commerce électronique
  • 697/2205 Manifestation
  • 156/2205 Presse en ligne
  • 62/2205 Piratage
  • 102/2205 Téléservices
  • 437/2205 Biométrie/Identité numérique
  • 153/2205 Environnement/Santé
  • 155/2205 Législation/Réglementation
  • 167/2205 Gouvernance
  • 850/2205 Portrait/Entretien
  • 72/2205 Radio
  • 337/2205 TIC pour la santé
  • 133/2205 Propriété intellectuelle
  • 29/2205 Langues/Localisation
  • 501/2205 Médias/Réseaux sociaux
  • 929/2205 Téléphonie
  • 95/2205 Désengagement de l’Etat
  • 485/2205 Internet
  • 57/2205 Collectivités locales
  • 188/2205 Dédouanement électronique
  • 499/2205 Usages et comportements
  • 511/2205 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 275/2205 Audiovisuel
  • 1359/2205 Transformation digitale
  • 191/2205 Affaire Global Voice
  • 75/2205 Géomatique/Géolocalisation
  • 146/2205 Service universel
  • 330/2205 Sentel/Tigo
  • 87/2205 Vie politique
  • 726/2205 Distinction/Nomination
  • 17/2205 Handicapés
  • 336/2205 Enseignement à distance
  • 319/2205 Contenus numériques
  • 293/2205 Gestion de l’ARTP
  • 89/2205 Radios communautaires
  • 804/2205 Qualité de service
  • 212/2205 Privatisation/Libéralisation
  • 66/2205 SMSI
  • 225/2205 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1280/2205 Innovation/Entreprenariat
  • 652/2205 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 23/2205 Internet des objets
  • 85/2205 Free Sénégal
  • 194/2205 Intelligence artificielle
  • 97/2205 Editorial
  • 8/2205 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous