OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2011 > Septembre > Pour une meilleure productivité grâce aux tics : Abdoul Mbaye invite les (…)

Pour une meilleure productivité grâce aux tics : Abdoul Mbaye invite les banquiers à plus d’audace

mardi 13 septembre 2011

Economie numérique

Parce qu’elles sont synonymes d’efficacité, de productivité, de sécurité contre la défaillance humaine, de justice contre les traitements discriminatoires, entre autres, Abdoul Mbaye, banquier à la retraite, pousse les décideurs à être plus audacieux en matière de Tics.

Face aux exigences fortes des clients et à l’environnement concurrentiel de leur secteur d’activité, les banques et institutions financières doivent s’appuyer davantage sur les possibilités qu’apportent les nouvelles technologies de l’information et de la communication pour relever les défis futurs. C’est pourquoi, Abdoul Mbaye, banquier à la retraite, ancien administrateur directeur général de la Compagnie bancaire de l’Afrique occidentale (Cbao), conseille aux banquiers de faire preuve de plus d’audace avec les Tics qui, selon lui, peuvent être synonymes de ‘productivité, et donc d’efficacité, de sécurité contre la défaillance humaine, de justice contre les traitements discriminatoires, de reporting fiable et rapide pour assurer le contrôle interne d’une part, et aussi préparer la décision future d’autre part’. Mbaye qui s’exprimait hier au cours d’un séminaire sur ‘La Banque de demain : enjeux et perspectives’, organisé par Cresus Afrique, estime, en effet, qu’au-delà de tous ces avantages, la technologie reste le moyen par lequel la mise à niveau mondial d’une entreprise ayant fait ce choix, dans un contexte de concurrence planétaire, est le plus facilement réalisable. ‘La seule qualité des ressources humaines que l’on peut s’adjoindre n’y suffit plus. La qualité des outils mis entre leurs mains est devenu l’essentiel’, ajoute le banquier à la retraite.
Qui, se gardant de disputer aux décideurs de demain ni chaussures ni siège, se permet néanmoins de leur conseiller d’être plus audacieux en matière de technologie. ‘Le seul conseil que je me permettrai de donner est que, en matière technologique, un dirigeant doit savoir être audacieux. Il faut certes se soucier des conditions de mise en œuvre et de maintenance d’une technologie complexe, mais toujours se souvenir que la technologie complexe simplifie traitement et procédures dans leurs parties assurées par l’homme. Vous devrez retenir que la technologie repousse à l’infini vos ambitions, et que seuls les moyens financiers à leur consacrer peuvent constituer une contrainte majeure’, dit Mbaye. Pour qui, la contrainte est certes majeure mais non absolue. Car, pense-t-il, sous contrainte financière ou souci de réduction de coûts, la technologie permet également la solution délocalisée ou ‘outsourcing’.

Selon l’ancien Dg de la Banque de l’habitat du Sénégal, le décideur ambitieux pour son entreprise doit se mettre en situation de veille vis-à-vis de la technologie, de ce qu’elle permet déjà, de ce qu’elle pourrait permettre demain dans un futur plus ou moins proche. ‘Il doit être en situation de recherche des applications auxquelles la technologie peut donner lieu dans le domaine d’activité particulier au sein duquel il évolue’, plaide-t-il.

Président de Cresus Afrique et spécialiste en informatique bancaire, Moustapha Sarr pense que la banque de demain changera fondamentalement avec ce qui existe aujourd’hui. Cela, argue-t-il, parce que les technologies de l’information et de la communication (Tics) apportent d’énormes possibilités. ‘Je pense qu’il est très important de traiter de questions aussi pointues pour préparer nos dirigeants à réduire la fracture numérique par le sommet. Le président de la République parle toujours de réduire la fracture numérique mais en passant par le bas. Moi, je pense que les dirigeants doivent d’abord être assez informés de ce que peuvent apporter les nouvelles technologies de l’information et de la communication’, soutient-il.

Seyni Diop

(Source : Wal Fadjri], 13 septembre 2011)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 4790/5213 Régulation des télécoms
  • 421/5213 Télécentres/Cybercentres
  • 3614/5213 Economie numérique
  • 1964/5213 Politique nationale
  • 5213/5213 Fintech
  • 599/5213 Noms de domaine
  • 1927/5213 Produits et services
  • 1693/5213 Faits divers/Contentieux
  • 868/5213 Nouveau site web
  • 5113/5213 Infrastructures
  • 2018/5213 TIC pour l’éducation
  • 231/5213 Recherche
  • 311/5213 Projet
  • 3524/5213 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 2089/5213 Sonatel/Orange
  • 1777/5213 Licences de télécommunications
  • 366/5213 Sudatel/Expresso
  • 1089/5213 Régulation des médias
  • 1394/5213 Applications
  • 1166/5213 Mouvements sociaux
  • 1726/5213 Données personnelles
  • 170/5213 Big Data/Données ouvertes
  • 690/5213 Mouvement consumériste
  • 439/5213 Médias
  • 781/5213 Appels internationaux entrants
  • 1904/5213 Formation
  • 141/5213 Logiciel libre
  • 2381/5213 Politiques africaines
  • 1031/5213 Fiscalité
  • 225/5213 Art et culture
  • 674/5213 Genre
  • 1643/5213 Point de vue
  • 1149/5213 Commerce électronique
  • 1844/5213 Manifestation
  • 468/5213 Presse en ligne
  • 179/5213 Piratage
  • 255/5213 Téléservices
  • 1021/5213 Biométrie/Identité numérique
  • 363/5213 Environnement/Santé
  • 434/5213 Législation/Réglementation
  • 425/5213 Gouvernance
  • 1973/5213 Portrait/Entretien
  • 185/5213 Radio
  • 836/5213 TIC pour la santé
  • 334/5213 Propriété intellectuelle
  • 90/5213 Langues/Localisation
  • 1206/5213 Médias/Réseaux sociaux
  • 2231/5213 Téléphonie
  • 251/5213 Désengagement de l’Etat
  • 1122/5213 Internet
  • 169/5213 Collectivités locales
  • 543/5213 Dédouanement électronique
  • 1311/5213 Usages et comportements
  • 1202/5213 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 647/5213 Audiovisuel
  • 3691/5213 Transformation digitale
  • 429/5213 Affaire Global Voice
  • 198/5213 Géomatique/Géolocalisation
  • 371/5213 Service universel
  • 757/5213 Sentel/Tigo
  • 252/5213 Vie politique
  • 1670/5213 Distinction/Nomination
  • 73/5213 Handicapés
  • 814/5213 Enseignement à distance
  • 889/5213 Contenus numériques
  • 696/5213 Gestion de l’ARTP
  • 234/5213 Radios communautaires
  • 1963/5213 Qualité de service
  • 509/5213 Privatisation/Libéralisation
  • 183/5213 SMSI
  • 582/5213 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 3024/5213 Innovation/Entreprenariat
  • 1583/5213 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 77/5213 Internet des objets
  • 195/5213 Free Sénégal
  • 702/5213 Intelligence artificielle
  • 436/5213 Editorial
  • 26/5213 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous