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Pour conquérir le marché ouest-africain : Nokia installe ses quartiers À Dakar

samedi 2 septembre 2006

Economie numérique

La firme mondiale spécialisée dans la fabrication de téléphones portables, Nokia, a ouvert hier, vendredi 1er septembre 2006, son bureau pour l’Afrique de l’Ouest, à Dakar. Son objectif est d’investir le marché sous-régional et y devenir le leader.

Le fabriquant de téléphones portables, Nokia, a dévoilé ses ambitions dans la sous-région. Il a installé ses quartiers à Dakar, un lieu jugé stratégique, pour espérer conquérir le reste. Le vice-président de la firme, Timo Toikkenen, assimile à l’ouverture de ce nouveau bureau à Dakar à un moyen de renforcer la présence de la firme dans la sous-région. Le bureau va ainsi gérer les opérations dans 13 pays notamment le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Bénin, le Togo, le Sierra Leone, la Gambie, le Cap-Vert, la Mauritanie, le Niger, le Mali, le Burkina Faso, la Guinée et la Guinée Bissau. Timo Toikkenen pense ainsi que « ce nouveau siège renforcera la présence de l’entreprise dans la région en fournissant une interface centralisée d’approvisionnement pour soutenir l’énorme potentiel de cet espace géographique qui figure parmi les marchés en plein essor dans le monde ». Pour le vice-président de Nokia Moyen-Orient et Afrique, du fait que le développement du taux d’abonnés Gsm dans ces deux continents est l’un des plus rapide au monde, la firme compte sur eux pour conforter sa place parmi les leaders mondiaux. Selon lui : « Il y a actuellement 2 milliards d’abonnés au téléphone portable à travers le monde et nous espérons atteindre les 3 milliards d’ici 2010 avec les 20 % qui viendront d’Afrique. Nous nous développons à travers le Moyen-orient et l’Afrique afin de satisfaire cette demande en partageant notre expérience et notre avance technologique dans les produits et solutions avec nos clients » ajoute-il.

Yannick Debaupte, directeur régional clients et opérateurs Nokia Afrique de l’Ouest, pour sa part, juge le choix du Sénégal normal. Il pense ainsi que « le pays a atteint une maturité suffisante pour devenir un des marchés les plus intéressants et les plus dynamiques de la région ». A l’en croire, « nous sommes confiants du succès à long terme de notre activité au Sénégal, et d’une manière plus large à travers l’Afrique de l’ouest ». Malgré l’expansion des téléphones portables dans la sous-région, les responsables de Nokia jugent très faible le taux de pénétration de la téléphonie mobile. Parmi leurs premiers objectifs, ils aimeraient ainsi contribuer à l’accessibilité du Gsm dans les localités les plus reculés de la région. Par la même occasion, les responsables de Nokia ont rappelé la nécessité d’une disponibilité du réseau pour rendre cette mission possible. Jarmo Santala, directeur général, Nokia Afrique du Nord et de l’Ouest Clients et opérations, juge Dakar comme étant un point stratégique du fait « du niveau avancé des infrastructures au Sénégal qui offrent une possibilité d’opérer sur le plan international ainsi que sa stabilité politique ». Le directeur régional clients et opérateurs Nokia Afrique de l’Ouest y a ajouté que « l’installation à Dakar va permettre de créer des emplois et contribuer au renforcement des ressources fiscales du pays avec l’importation de téléphone au Sénégal ».

Le ministre des Postes, des Télécommunications et des Nouvelles technologies de l’Information et de la Communication, Joseph Ndong, estime que « l’installation de Nokia à Dakar va beaucoup contribuer dans la lutte contre la fracture numérique ». Par cette occasion, il a rappelé le choix fait par les autorités en faisait des Ntic une grappe de convergence dans la stratégie de croissance accélérée.

Bacary DABO

(Source : Sud Quotidien, 2 septembre 2006)

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