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Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2004 > Octobre > Partenariat : Microsoft s’engage à réduire la fracture numérique à l’école

Partenariat : Microsoft s’engage à réduire la fracture numérique à l’école

mardi 26 octobre 2004

C’est pour contribuer à briser la fracture numérique à l’école que la multinationale Microsoft a signé un partenariat avec le ministère de l’Éducation. Grâce à cet accord, trois millions d’élèves et étudiants vont bénéficier de l’accès à un ordinateur.

Le responsable pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique, de Microsoft, M. Jean Philippe Courtois et M. Moustapha Sourang, ministre de l’Education ont signé hier un accord de partenariat éducatif. Dénommé en Anglais « Partners In Learning », il symbolise l’appui de cette multinationale à l’éducation aux nouvelles technologies pour le système éducatif sénégalais.

Lors de la rencontre d’hier, M. Courtois a rappelé les termes de ce programme de partenariat, après avoir félicité le président de la République pour sa posture « visionnaire » quant au rôle des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) dans le système éducatif et pour son engagement à réduire la « fracture numérique ».

C’est afin de résorber ce fossé qui sépare les pays du Nord des pays du Sud que Microsoft a manifesté un intérêt pour le développement via l’éducation aux TIC. Dans ce cadre, le plan « Partners In Learning » (PIL) se décline en quatre objectifs prioritaires : la formation des enseignants, la gestion du système éducatif par le biais de progiciels adaptés, la mise en commun des ressources et des savoirs grâce à un portail pour les enseignants et la création des « IT Academies ».

Celles-ci sont des structures qui vont être mises en place au niveau de l’Enseignement supérieur, afin de délivrer aux étudiants un certificat attestant de leur parfaite utilisation des logiciels de Microsoft. Ainsi, ils pourront aisément faire valoir leurs qualifications tant sur le marché national de l’emploi que sur le marché international. Former les enseignants et les élèves, les ancrer dans le monde des TIC pour leur permettre de participer au développement de leur pays, tel est un autre objectif de ce partenariat qui va avoir lieu de la petite école à l’université.

M. Moustapha Sourang a ainsi tenu à remercier Microsoft des efforts faits en direction du système éducatif, et qualifié cet accord « d’acte fondateur pour l’école sénégalaise ». C’est donc dire qu’il fonde beaucoup d’espoir dans cet engagement pour cinq ans, signé avec cette multinationale du logiciel.

Les avantages induits par le « PIL » sont les suivants : mise à disposition d’ordinateurs et de logiciels à des prix intéressants, création d’un portail permettant aux enseignants d’échanger donc de progresser, etc.

Dans le cadre de l’Université du Futur, un nouvel accord est possible

Compte tenu de toutes ces possibilités, Moustapha Sourang souhaite faire des TIC un facteur d’éducation, de modernité et de citoyenneté. Il a indiqué que des projets d’école ou d’établissements seront rapidement étudiés et financés, s’ils s’orientent dans le secteur des nouvelles technologies.

Avec la mise en œuvre de cet accord et les autres avantages du système éducatif, le ministre Sourang veut atteindre l’objectif de 10.000 ordinateurs utilisables dans toutes les écoles. 60 % des bacheliers pourront exercer un métier lié à l’Informatique, a dit Moustapha Sourang.

Il a par ailleurs souligné que, dans le cadre de l’Université du Futur Africain, qui formera les titulaires de Licence ou Maîtrise aux sciences de pointe, un nouvel accord était envisageable. M. Courtois a confirmé en soulignant les efforts qui ont été faits par le gouvernement pour aider les bacheliers littéraires à se familiariser avec l’outil informatique. Il s’est aussi défendu de tout accord commercial réalisé en contrepartie du programme « Partners In Learning », en rappelant qu’il ne concerne pas uniquement le Sénégal mais aussi dix autres pays d’Afrique, « preuve donc de la stratégie désintéressée et humaniste que mène Microsoft, qui, il faut le dire, espère cependant conquérir un marché en devenir », explique M. Courtois.

MADELINE MALHAIRE

(Source : Le Soleil, 26 octobre 2004)

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