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Paiements électroniques le Gouverneur de la BCEAO préconise « un cadre de régulation léger et rigoureux »

vendredi 1er novembre 2019

Fintech

L’évolution des entreprises de technologie financière communément appelées « Fintech », exige désormais la création d’un cadre de régulation léger et rigoureux pour permettre de faire les progrès nécessaires dans ce domaine avec l’émission de monnaies électroniques et les paiements digitaux, soutient le gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).

« Il faut un cadre à la fois léger et rigoureux et permettant d’éviter toutes les erreurs et les dérives qui peuvent non seulement amener à remettre en cause le système mais aussi exposer inutilement les populations pour lesquelles ces innovations sont faites et ne pas arriver aux résultats escomptés », a-t-il dit.

Tiémoko Meyliet Koné prenait part à la table ronde des gouverneurs de Banques centrales qui a clôturé jeudi dans l’après-midi la conférence internationale de deux jours sur les entreprises de technologie financière sur le thème « Fintech : Défis, opportunités et perspectives pour les pays en développement ».

Selon le gouverneur de la BCEAO, la banque centrale des Etats membres de l’Union économique et monétaire ouest africaine, la régulation « est un élément important qui permet d’avancer dans ce domaine ».

« Dans la mise en place de cette régulation, l’expérimentation est également essentiel, parce que ce n’est pas toujours facile dans le domaine de la technologie », a-t-il ajouté.

« C’est seulement les échanges et le partage d’expériences qui va nous permettre d’approcher autant que faire se peut et d’atteindre les objectifs visés », a indiqué Tiémoko Meyliet Koné.

La technologie et la finance sont toujours allées de pair, mais l’ampleur de "l’impact disruptif des FinTech sur le système financier a surpris les régulateurs et les acteurs de la finance classique dans le monde’’, avait souligné le gouverneur de la BCEAO à l’ouverture de cette rencontre.

Cette mutation, qui pourrait bouleverser l’équilibre du système financier, est également « porteuse de risques pour la stabilité financière, notamment en matière de cyber-sécurité, de blanchiment de capitaux et d’exercice illégal d’activités réglementées », selon M. Koné.

Le gouverneur de la Banque centrale de la Mauritanie, Abdoul Aziz Ould Dahi, a lui évoqué « une révolution qui, si elle est maîtrisée, pourrait offrir une formidable opportunité de développement à nos pays ».

« Il faut à un moment ou à un autre faire progresser nos populations dans le sens de l’utilisation de services financiers », a-t-il dit.

Au cours des dernières années, l’industrie des FinTech a montré sa capacité à répondre efficacement à ces besoins, à travers l’utilisation de nouvelles technologies, notamment le Big Data, l’intelligence artificielle, la Blockchain ou la biométrie, ont souligné les intervenants à cette table ronde.

Les thématiques abordées portait sur l’application de la technologie blockchain au secteur financier, l’évolution du crédit digital les monnaies virtuelles et les monnaies digitales émises par les banques centrales.

Les différentes approches de régulation et de supervision des FinTech ont été également évoquées au cours de la conférence.

(Source : APS, 1er novembre 2019)

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