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Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2019 > Novembre 2019 > Mouhamadou Al Aminou Lo, Directeur National de la BCEAO : « La technologie à (…)

Mouhamadou Al Aminou Lo, Directeur National de la BCEAO : « La technologie à travers la téléphonie mobile et l’internet offre des perspectives prometteuses pour atteindre les objectifs d’inclusion financière

jeudi 21 novembre 2019

Fintech

La deuxième édition de la Semaine nationale de l’inclusion financière bat son plein. Au troisième jour, un atelier national organisé par l’Agence national de la Bceao et United Nations Capital Development Fund s’est tenu avec comme thème : « La digitalisation au service de l’inclusion financière : les enjeux de la digitalisation des paiements de l’Etat et des chaînes de valeurs agricoles ».

Prenant part à la rencontre, Mouhamadou Al Aminou Lo, directeur national de la Bceao, a rappelé l’importance de la technologie dans le développement de l’inclusion financière.

Selon M. Lo, la technologie notamment à travers la téléphonie mobile et l’internet offre des perspectives prometteuses pour atteindre les objectifs d’inclusion financière fixés dans la stratégie régionale.

« Toutefois, des défis majeurs apparaissent au fur et à mesure que l’écosystème de la finance digitale se développe au Sénégal.

Le groupe de travail sur la finance digitale créé depuis 2015 offre un cadre de dialogue et d’échanges appropriés entre les différentes parties prenantes du secteur dans le but de lever les barrières relatives au développement de la finance digitale pour le bénéfice de l’inclusion financière dans l’Umoa à titre général et au Sénégal en particulier », a-t-il ajouté.

Il a indiqué que l’avènement de la digitalisation dans l’Umoa a entrainé de profondes mutations dans l’écosystème financier, caractérisé par l’avènement d’acteurs non bancaires notamment les émetteurs de monnaies électroniques et les fintechs, également le développement de plateformes de paiements électronique ainsi que la multiplication des services financiers à distance.

La prise en charge des ces mutations nécessite à son avis, des décisions pragmatiques allant dans le sens de l’accompagnement de toutes initiatives utiles au développement de cet écosystème.

Dans ce cadre, il a rappelé que la Bceao a organisé la conférence internationale de haut niveau sur les entreprises de technologies financières, Fintechs les 30 et 31 octobre afin de recueillir des contributions et recommandations, dans le but de promouvoir et de lever tout obstacle à leur développement.

Il a relevé que deux grands projets ont été lancés par la Banque centrale depuis 2017 et qui seront fortement utiles au développement de la finance digitale : l’interopérabilité des services financiers numériques et l’accès des institutions de micro finance au système paiement régional.

Le premier projet vise la mise en place d’une infrastructure permettant de faciliter les échanges de compte à compte quelque soient le type de compte entre tous les acteurs de l’écosystème financier de l’Union à l’horizon 2020.

Le second projet permettra d’appuyer les institutions de micro finance pour l’amélioration de la qualité de leur offre de services financiers ainsi que l’utilisation des moyens de paiements électroniques.

A côté de ces différentes initiatives, Mouhamadou Al Aminou Lo affirme que plusieurs défis restent à relever pour renforcer l’impact des services financiers numériques sur l’inclusion financière.

Parmi ces défis, il cite notamment la supervision des activités et des acteurs au regard de la forte composante technologique des nouvelles solutions de paiements offertes aux populations.

L’adaptation continue du cadre réglementaire aux évolutions constantes de l’environnement dans le but de préserver la stabilité du système financier et d’assurer la protection des usagers.

Le renforcement de l’éducation financière particulièrement celle des jeunes et de ceux qui ont le moins accès aux services afin qu’ils puissent à l’avenir faire de meilleurs choix et de pleinement profiter des innovations technologiques pour la réduction des coûts des services financiers.

Adou Faye

(Source : Le Journal de l’Economie sénégalaise, 21 novembre 2019)

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