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Les NTIC pour booster les affaires :Pub en ligne et services gratuits ont la cote

lundi 30 novembre 2009

Contenus numériques

Les entrepreneurs et développeurs sénégalais ont suivi une formation de deux jours devant leur permettre de tirer un meilleur profit des possibilités du Net et développer leurs affaires. L’atelier organisé par Google pose comme condition une présence durable sur le Net.

Comment faire fructifier ses affaires grâce à Internet et aux Tic ? C’est à cet exercice d’explication que s’attelle Google, le géant mondial de la recherche sur le Net, à travers un atelier de formation organisé à l’endroit des entrepreneurs et développeurs de contenus sénégalais.

Cet atelier constitue un « échange dans les deux sens » entre la communauté des développeurs et entrepreneurs et des experts de Google venus de France, de la Suisse, des Etats-Unis, d’Argentine, etc.

« Nous essayons de développer Internet sur le continent et de travailler avec les développeurs pour qu’il y ait plus de contenus africains dans le Net », explique Tidjane Dème, chargé du bureau de Google à Dakar et chargé de développer les activités de la firme dans l’Afrique francophone. C’est donc, un travail de renforcement de capacités techniques pour montrer aux développeurs comment mettre du contenu en ligne et, ensuite, déclencher un « business model » derrière ce contenu. Pour cela, il faut réunir les trois acteurs-clé que sont : les possesseurs de contenus (dont les journalistes), les entrepreneurs et les développeurs, explique Tidjane Dème.

C’est toute l’ambition de Google Africa. Selon M. Dème, l’Afrique n’est pas encore un terrain propice au web business, mais il faut préparer l’environnement pour que les Africains soient présents en ligne, condition préalable pour en tirer profit. Mais d’après l’expérience même de cette firme qui, jusqu’en 2004, ne gagnait pratiquement pas d’argent, à en croire M. Dème, la recette consiste à être présent sur le Net, être utile à un maximum de personnes pour récolter les fruits après. Des conditions qui, pour le moment, ne sont pas réunies en Afrique. Au Sénégal, par exemple, même si la bande passante est assez développée et que le Net coûte moins cher par rapport à d’autres pays du continent, le nombre d’usagers reste faible et il y a très peu de contenus qui répondent spécifiquement à leurs besoins de tous les jours.

Etre d’abord présent sur le Net

De l’avis de Christian Miccio, « product manager » venu de Suisse, pour les entrepreneurs africains, il s’agira, donc, d’atteindre les gens dans des domaines qui les intéressent directement, où ils sont prêts à payer pour utiliser un certain nombre de services. En fait, il y a plusieurs manières de gagner de l’argent à travers le web, explique M. Muccio.

Le moyen le plus courant, c’est la pub en ligne. Un autre moyen très à la mode dans les pays développés, consiste à créer, en ligne, des services en partie gratuits, en partie payants. Il y a également la vente en ligne combinée avec un système de livraison. « Dans ce cas, explique M. Muccio, le site web qui donne toutes les informations sur le produit ne fait pas lui-même de l’argent, mais il permettra de réaliser plus de vente ».

Pour le moment, c’est uniquement avec les bannières publicitaires insérées dans les sites, comme l’explique Mamadou Mbengue, un participant à l’atelier, que les développeurs locaux gagnent de l’argent « au clic ».

Il faudrait aller plus loin, semble dire Ousmane Blé Mbaye, un autre participant. Pouvoir commander de la nourriture, obtenir une adresse ou un papier administratif sur Internet, par exemple. Mais pour cela, il faut d’abord et avant tout être présent sur le Net, comme l’a si bien expliqué Tidjane Dème.

Depuis un an, Google dispose d’un bureau à Dakar, le septième sur le continent. Entre autres activités, ce bureau a lancé un portail d’informations dédié à l’actualité sénégalaise.

Seydou Ka

(Source : Le Soleil, 30 novembre 2009)

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