OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2020 > Mars 2020 > Le community manager : Nouveau métier à l’ère des reseaux sociaux

Le community manager : Nouveau métier à l’ère des reseaux sociaux

lundi 2 mars 2020

Economie numérique

Apparu en France en 2003, c’est à partir de mars 2009 que le métier de Community Manager commence à faire l’objet de recherches significatives sur Google. En effet, Animateur de Communautés web, le Community Manager est un expert des communautés en ligne. Son rôle est de fédérer une communauté d’internautes autour d’un intérêt commun et d’animer les échanges sur ce thème, tout en veillant au respect des règles de bonne conduite au sein de la communauté. Il a pour mission principale de développer la présence de l’organisation dont il se fait le porte-parole (marque, association, personnalité publique ou politique... ) sur les médias sociaux.

Le métier de Community Manager est encore très récent, mais il s’est progressivement imposé avec l’émergence des médias sociaux, très vite devenus incontournables pour les entreprises et les marques. C’est une profession très hétérogène et les fonctions sont très variées. Elles dépendent de la taille de l’entreprise, de son imprégnation sociale et bien sûr de son secteur d’activité. Un gestionnaire de communauté dans une grande enseigne de luxe n’aura pas le même rôle que dans une petite société qui vend localement ses produits. Son rôle diffère également, s’il est intégré à l’entreprise, s’il travaille en agence ou en freelance.

Les entreprises recrutent un Community Manager pour trois raisons principales : accroître la notoriété de l’entreprise, acquérir de nouveaux clients et fidéliser les leurs. Au Québec, il est appelé Porte-parole engagé pour intervenir dans une communauté, par l’intermédiaire des réseaux sociaux, afin de promouvoir les services d’une entreprise ou les produits d’une marque et d’en préserver la renommée. Après le développeur web et le chef de projet web, c’est au Community Manager de tout passer sous la loupe.

Si le métier de Community Manager est accessible avec un niveau Bac+2, les recruteurs demandent de plus en plus des niveaux Bac+3 et Bac+5, avec une spécialisation dans la communication digitale. Ses missions diffèrent selon son entreprise et les besoins de celle-ci. En agence ou chez l’annonceur, elles ne seront pas toujours exactement les mêmes, mais certaines tâches incombent à tous les Community Managers, quel que soit leur poste.

Ainsi, ils sont chargés de la veille informationnelle et concurrentielle. Cette veille s’accompagnera d’une constante vigilance sur ce qui se dit sur la marque ou l’entreprise sur les réseaux ; sans occulter l’animation des communautés : les comptes Facebook, Twitter, Google+ ou Pinterest... qu’il aura à alimenter. Il cherche constamment à « créer » de l’engagement et susciter de l’interaction avec les fans. Cette tâche comprend aussi, parfois, une part de modération et la rédaction de contenu en relation avec la présence en ligne de l’entreprise. Une démarche qui passe généralement par la rédaction de billets de blog.

Le Community Manager est aussi en contact avec les blogueurs qui exercent sur son secteur d’activité pour s’informer et, parfois, relayer de leur information ou opérations spéciales. Il est aussi l’interface entre les consommateurs et la marque qu’il représente et, parfois, crée un événement, allant d’un concours, à la retranscription en live d’une conférence.

Mariame Djigo

(Source : Sud Quotidien, 2 février 2020)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 4839/5739 Régulation des télécoms
  • 374/5739 Télécentres/Cybercentres
  • 4268/5739 Economie numérique
  • 2070/5739 Politique nationale
  • 5739/5739 Fintech
  • 559/5739 Noms de domaine
  • 1936/5739 Produits et services
  • 1576/5739 Faits divers/Contentieux
  • 798/5739 Nouveau site web
  • 5392/5739 Infrastructures
  • 1859/5739 TIC pour l’éducation
  • 205/5739 Recherche
  • 263/5739 Projet
  • 3760/5739 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1979/5739 Sonatel/Orange
  • 1803/5739 Licences de télécommunications
  • 293/5739 Sudatel/Expresso
  • 1178/5739 Régulation des médias
  • 1572/5739 Applications
  • 1393/5739 Mouvements sociaux
  • 1840/5739 Données personnelles
  • 135/5739 Big Data/Données ouvertes
  • 715/5739 Mouvement consumériste
  • 392/5739 Médias
  • 713/5739 Appels internationaux entrants
  • 1880/5739 Formation
  • 101/5739 Logiciel libre
  • 2221/5739 Politiques africaines
  • 1181/5739 Fiscalité
  • 179/5739 Art et culture
  • 633/5739 Genre
  • 1843/5739 Point de vue
  • 1185/5739 Commerce électronique
  • 1602/5739 Manifestation
  • 344/5739 Presse en ligne
  • 133/5739 Piratage
  • 228/5739 Téléservices
  • 966/5739 Biométrie/Identité numérique
  • 329/5739 Environnement/Santé
  • 488/5739 Législation/Réglementation
  • 497/5739 Gouvernance
  • 1987/5739 Portrait/Entretien
  • 158/5739 Radio
  • 857/5739 TIC pour la santé
  • 314/5739 Propriété intellectuelle
  • 64/5739 Langues/Localisation
  • 1149/5739 Médias/Réseaux sociaux
  • 2178/5739 Téléphonie
  • 208/5739 Désengagement de l’Etat
  • 1232/5739 Internet
  • 122/5739 Collectivités locales
  • 417/5739 Dédouanement électronique
  • 1181/5739 Usages et comportements
  • 1145/5739 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 597/5739 Audiovisuel
  • 3708/5739 Transformation digitale
  • 422/5739 Affaire Global Voice
  • 170/5739 Géomatique/Géolocalisation
  • 334/5739 Service universel
  • 735/5739 Sentel/Tigo
  • 197/5739 Vie politique
  • 1812/5739 Distinction/Nomination
  • 35/5739 Handicapés
  • 745/5739 Enseignement à distance
  • 749/5739 Contenus numériques
  • 646/5739 Gestion de l’ARTP
  • 205/5739 Radios communautaires
  • 1915/5739 Qualité de service
  • 475/5739 Privatisation/Libéralisation
  • 174/5739 SMSI
  • 522/5739 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 3161/5739 Innovation/Entreprenariat
  • 1503/5739 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 47/5739 Internet des objets
  • 183/5739 Free Sénégal
  • 612/5739 Intelligence artificielle
  • 269/5739 Editorial
  • 26/5739 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous