OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2010 > Janvier > Formation professionnelle supérieure privée : La folle course à l’argent (…)

Formation professionnelle supérieure privée : La folle course à l’argent dénoncée

vendredi 29 janvier 2010

Formation

Le président directeur général du groupe Sup De Co Dakar a déploré l’attitude des dirigeants de certaines écoles de formation professionnelle supérieure privée, consistant à ne rechercher que de l’argent au détriment des besoins de l’entreprise.

Le président directeur général du groupe Ecole supérieure de commerce (Sup De Co) de Dakar a exprimé, avant-hier, son opposition aux formations non valorisantes, c’est-à-dire qui n’apportent rien aux étudiants. ‘Il faut qu’on repense à la formation de nos jeunes étudiants. Il ne sert à rien de former pour former. Il faut former pour répondre aux besoins de l’entreprise. Dans beaucoup d’écoles supérieures de formation professionnelle, on forme pour le simple plaisir d’empocher de l’argent au détriment des étudiants qui sont les grands perdants. Cela est contraire à notre déontologie’, a déploré Aboubacar Sédikj Sy, au cours de la cérémonie de lancement du master en monétique et certification numérique organisée en partenariat avec le Groupement interbancaire monétique de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Gim-Uemoa).

Pour M. Sy, l’innovation et l’anticipation doivent être mises en avant par les dirigeants de ces écoles pour mieux répondre aux besoins de l’entreprise. A cet effet, il a cité l’exemple de son établissement qui a eu à faire preuve d’anticipation, en lançant un master en finance islamique à l’époque où on s’interrogeait sur l’utilité de cette formation. Mais l’histoire semble lui avoir donné raison puisque cette question a récemment occupé le devant de l’actualité au Sénégal avec la conférence internationale sur cette thématique tenue à Dakar et également en France.

A son avis, c’est dans ces conditions que les étudiants, à l’issue d’une bonne formation, pourront trouver un emploi rémunérateur et dans un délai très court. Dans cet ordre d’idées, Aboubacra Sédikh Sy prédit un avenir radieux à cette nouvelle discipline de la monétique et certification numérique.‘Il va y avoir de l’explosion de la monétique dans les deux à trois ans à venir car c’est la modernité qui l’exige’, a-t-il indiqué. A travers cette déclaration, il a voulu inviter les étudiants qui ont participé massivement à la cérémonie, à investir ce créneau pour trouver des débouchés dans les banques et assurances qui ont des besoins énormes dans ce domaine.

Dans le même sillage, le directeur de Sup De Co Technologie, une autre institution du groupe qui va abriter cette formation de haut niveau, estime que ce master en monétique est plus qu’un diplôme. ‘C’est un métier’, dira Habibou Gaye. Mais pour être opérationnels, les étudiants doivent prouver leur sérieux dans leurs études et leur compétence. Et c’est là où réside tout le sens de l’appel du directeur du Gim-Uemoa. ‘Les étudiants compétents et sérieux auront la chance d’être recrutés. D’où leur intérêt de bien travailler et de prendre au sérieux les différents modules de la formation. Il faut s’en approprier et en faire un outil de carrière’, a indiqué Blaise Ahountchendé. Ce dernier d’ajouter que ‘cette formation va créer un énorme marché pour les entreprises et les institutions financières dans la mesure où les paiements se dématérialisent de plus en plus et se font par carte bancaire’. La balle est donc dans le camp des étudiants, comme l’a si bien dit le directeur de Gim-Uemoa.

Ndakhté M. Gaye

(Source : Wal Fdajri, 29 janvier 2010)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 6151/6690 Régulation des télécoms
  • 492/6690 Télécentres/Cybercentres
  • 4527/6690 Economie numérique
  • 2442/6690 Politique nationale
  • 6690/6690 Fintech
  • 728/6690 Noms de domaine
  • 2425/6690 Produits et services
  • 2020/6690 Faits divers/Contentieux
  • 1068/6690 Nouveau site web
  • 6592/6690 Infrastructures
  • 2389/6690 TIC pour l’éducation
  • 277/6690 Recherche
  • 348/6690 Projet
  • 4391/6690 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 2455/6690 Sonatel/Orange
  • 2226/6690 Licences de télécommunications
  • 403/6690 Sudatel/Expresso
  • 1320/6690 Régulation des médias
  • 1756/6690 Applications
  • 1430/6690 Mouvements sociaux
  • 2252/6690 Données personnelles
  • 244/6690 Big Data/Données ouvertes
  • 845/6690 Mouvement consumériste
  • 506/6690 Médias
  • 918/6690 Appels internationaux entrants
  • 2344/6690 Formation
  • 195/6690 Logiciel libre
  • 2914/6690 Politiques africaines
  • 1342/6690 Fiscalité
  • 239/6690 Art et culture
  • 809/6690 Genre
  • 2240/6690 Point de vue
  • 1412/6690 Commerce électronique
  • 2206/6690 Manifestation
  • 449/6690 Presse en ligne
  • 179/6690 Piratage
  • 288/6690 Téléservices
  • 1245/6690 Biométrie/Identité numérique
  • 428/6690 Environnement/Santé
  • 483/6690 Législation/Réglementation
  • 466/6690 Gouvernance
  • 2705/6690 Portrait/Entretien
  • 212/6690 Radio
  • 1064/6690 TIC pour la santé
  • 387/6690 Propriété intellectuelle
  • 88/6690 Langues/Localisation
  • 1638/6690 Médias/Réseaux sociaux
  • 2799/6690 Téléphonie
  • 281/6690 Désengagement de l’Etat
  • 1473/6690 Internet
  • 160/6690 Collectivités locales
  • 687/6690 Dédouanement électronique
  • 1613/6690 Usages et comportements
  • 1453/6690 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 786/6690 Audiovisuel
  • 4312/6690 Transformation digitale
  • 548/6690 Affaire Global Voice
  • 218/6690 Géomatique/Géolocalisation
  • 564/6690 Service universel
  • 929/6690 Sentel/Tigo
  • 252/6690 Vie politique
  • 2417/6690 Distinction/Nomination
  • 50/6690 Handicapés
  • 969/6690 Enseignement à distance
  • 961/6690 Contenus numériques
  • 825/6690 Gestion de l’ARTP
  • 256/6690 Radios communautaires
  • 2433/6690 Qualité de service
  • 591/6690 Privatisation/Libéralisation
  • 192/6690 SMSI
  • 652/6690 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 3905/6690 Innovation/Entreprenariat
  • 1865/6690 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 69/6690 Internet des objets
  • 245/6690 Free Sénégal
  • 982/6690 Intelligence artificielle
  • 281/6690 Editorial
  • 32/6690 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous