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Farid Yandouz Directeur Général du cabinet international iCompetences « Les entreprises ont à gagner en qualité avec les médias sociaux »

vendredi 22 mars 2013

Manifestation

Dans le cadre de la 3e édition de la Conférence Internationale sur l’Impact des Médias Sociaux sur les Entreprises et les Organisations qui se tiendra les 28 et 29 Mars 2013 au Radisson Blu de Dakar, nous avons pu joindre le premier responsable Afrique et Moyen du cabinet international www.icompetences.com pour parler de ce qu’on appelle désormais le SMI, Social Media Impact. Farid Yandouz revient sur les deux éditions précédentes de ce grand rendez – vous sur les médias sociaux. Découvrez plutôt notre entretien.

Quel est l’objectif premier que vous vous êtes assigné en organisant cette 3ème édition ?

Comme vous le savez bien, le « Social Media Impact » est un sujet que nous avons choisi au niveau de notre cabinet iCompetences pour ressortir la force de ces nouveaux médias qui ont, de façon incontestable démontré leurs influences sur notre société et nos modes de vie. Souvenez – vous du fameux printemps arabe qui a pris l’essentielle de sa force sur les médias sociaux. C’est pour vous dire qu’il y a bien là une grande potentialité qui peut profiter aux organisations et entreprises, pour cette fois révolutionner dans la stratégie de communication. Pour revenir à votre question, nous voulons faire de cette 3e édition, une opportunité pour les entreprises et organisations Subsahariennes d’opter pour cette nouvelle donne et de mieux s’outiller pour parer à toute éventualité.

M. Farid Yandouz, que gagneraient concrètement les entreprises publiques et privées qui participeront à cette troisième édition du SMI ?

En voulant délocaliser cette 3e édition à la suite de Marrakech 2011 et 2012 qui ont connu un grand succès, nous voulons mettre à la disposition des entreprises ouest africaine nos éminents experts qui ne font l’objet d’aucun doute dans leur domaine respectif. Les entreprises ont donc à gagner en qualité. Nous n’avons rien laissé au hasard pour cette conférence car il s’agit de donner de la matière adaptable à chaque entreprise dans son développement et son épanouissement via les réseaux sociaux. C’est pourquoi elles auront des thèmes sur le ROI ou Retour sur Investissement, le Benchmarking, l’eRepuration la communication de crise, les Etudes de cas spécifiques pour ne citer que ceux – ci…

De nos jours, est-ce qu’une firme publique ou privée peut se passer de l’e-réputation ?

Cela serait très compliqué du moment où l’image ou le visuel compte beaucoup dans l’appréciation des uns et des autres. Vous constaterez que même dans le domaine personnel les gens tiennent beaucoup à une image responsable d’eux. C’est donc un niveau plus élevé pour une entreprise ou une organisation qu’elle soit publique ou privée, de savoir prendre soin de son « attitude » sur le web en général et les réseaux sociaux en particulier.

En matière de l’e-réputation, quelle place occupe l’Afrique et ses entreprises sur l’esplanade mondiale ?

En dépit de ce qu’on peut croire sur l’Afrique, n’oublions pas que la mondialisation se concrétise par l’Internet. L’Afrique évolue constamment dans ce domaine. Nous ne sommes pas en marge du perfectionnement à ce niveau. Il suffit de faire un tour sur les sites Internet des grandes entreprises du continent pour se rendre compte qu’il y a de l’évolution dans ce sens. C’est vrai qu’il y a des gens qui continuent de croire que le continent est frappé par la fracture numérique et un taux d’alphabétisation faible mais ce n’est pas pour autant que nous ne faisons pas de merveilleuses choses à l’échelle des entreprises. Je crois humblement que l’Afrique tire et tirera son épingle du jeu avec des initiatives comme la notre que vos lecteurs pourront mieux découvrir sur notre site http://www.smiconference.com/.

Jean Louis Djiba

(Source : Pressafrik, 21 mars 2013)

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