OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2003 > Janvier > Coopération technique : Les compétences sénégalaises s’affichent sur un site (…)

Coopération technique : Les compétences sénégalaises s’affichent sur un site Internet

mercredi 15 janvier 2003

Nouveau site web

Depuis le mois dernier, la direction de l’Assistance technique (DAT) est en train de doter le pays d’une « base de données sur l’expertise humaine et les centres d’excellence ». L’initiative découle d’abord d’un constat. Celui que « le Sénégal a hérité d’un ensemble d’infrastructures de formation d’une très grande qualité, renforcée au lendemain de son indépendance, par des politiques nationales d’éducation et de formation ciblée ». C’est justement à cause de la qualité de cette expertise que le PNUD, Programme des Nations unies pour le développement, à travers son Unité spéciale de coopération technique entre pays en développement (CTPD), a conféré au Sénégal, et ce depuis 1997, le statut de pays pivot de la coopération technique entre pays en voie de développement.

Le Sénégal est ainsi l’un des seize pays choisis dans le monde pour dynamiser la coopération technique. En Afrique, nous précise M. Papa Birama Thiam, directeur de l’Assistance technique, seuls quatre autres Etats demeurent dans ce lot : la Tunisie, l’Egypte, le Ghana et le Nigeria.

La base de données des compétences sénégalaises devra non seulement permettre de mieux résoudre nos problèmes internes de développement, mais aussi servir de moteur de la coopération avec d’autres pays de la sous-région qui pourraient avoir besoin d’expertise ciblée. « Si l’Etat, par exemple, a un besoin d’une expertise dans un domaine particulier, il sera facile de vérifier dans la base si celle-ci existe, avant d’aller chercher ailleurs », explique en substance M. Papa Birama Thiam. En outre, ajoute-t-il, la base de données permettra de constater nos propres faiblesses sur ce plan et de les corriger, à travers les programmes de formation par exemple.

Les inscriptions à la base qui ont débuté le 15 décembre devaient en principe s’arrêter aujourd’hui (15 janvier), mais la DAT a décidé de les poursuivre jusqu’en mars, aussi bien sur Internet (www.senexpertise.gouv.sn) que sur les formulaires imprimés. A ce jour, entre 600 et 700 personnes se sont inscrites via le site. Parmi elles, un grand nombre de Sénégalais de l’extérieur où, selon M. Thiam, « nous avons beaucoup de compétences ». Des coopérants sénégalais, révèle-t-il d’ailleurs, sont dans nombre de pays qu’on n’imaginerait même pas, Djibouti, l’Algérie, les Seychelles, entre autres.

La base de données en gestation concernera aussi bien les personnes physiques que les personnes morales, privées ou publiques, qui disposent d’une expertise avérée. Pour M. Thiam, le Sénégal a un certain nombre de centres d’excellence qui peuvent beaucoup apporter dans le cadre de la coopération africaine. Et de citer en exemple, le Centre de suivi écologique, l’Institut de technologie alimentaire et l’Institut de recherche agricole qui, tous, avec d’autres structures, seront intégrés à cette base.

Quid d’éventuelles inscriptions fantaisistes sur Internet, lorsque l’on sait qu’il existe toutes sortes de surfeurs du web ? Cela n’émeut nullement le directeur de l’Assistance technique. Les données recueillies, explique-t-il, sont soigneusement examinées par une commission qui statue sur l’ensemble des données sur la base de critères bien définis. Bref, ne va pas faire partie de la base de données des compétences qui veut… Dans ce travail sélectif, la DAT est aidée par le cabinet Eco-Afrique, conseil en ressources humaines et organisation Une fois constituée, cette base des compétences disposera d’un portail web qui permettra les inscriptions futures ainsi que les mises à jour par les experts eux-mêmes directement dans le site (les corrections de profil et mises à jour sont déjà possibles sur l’accès web actuel). Il est aussi prévu de mettre en place, plus tard, une agence sénégalaise de coopération technique.

La Direction de l’assistance technique est une structure administrative rattachée au secrétariat général du Gouvernement dont les principales missions sont de gérer l’assistance technique étrangère et nationale.

ALAIN JUST COLY

(Source : Le Soleil 15 janvier 2003)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2070/2229 Régulation des télécoms
  • 181/2229 Télécentres/Cybercentres
  • 1546/2229 Economie numérique
  • 843/2229 Politique nationale
  • 2229/2229 Fintech
  • 262/2229 Noms de domaine
  • 823/2229 Produits et services
  • 702/2229 Faits divers/Contentieux
  • 370/2229 Nouveau site web
  • 2155/2229 Infrastructures
  • 796/2229 TIC pour l’éducation
  • 100/2229 Recherche
  • 130/2229 Projet
  • 1394/2229 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 871/2229 Sonatel/Orange
  • 783/2229 Licences de télécommunications
  • 140/2229 Sudatel/Expresso
  • 466/2229 Régulation des médias
  • 600/2229 Applications
  • 497/2229 Mouvements sociaux
  • 778/2229 Données personnelles
  • 70/2229 Big Data/Données ouvertes
  • 299/2229 Mouvement consumériste
  • 184/2229 Médias
  • 331/2229 Appels internationaux entrants
  • 700/2229 Formation
  • 55/2229 Logiciel libre
  • 841/2229 Politiques africaines
  • 412/2229 Fiscalité
  • 93/2229 Art et culture
  • 287/2229 Genre
  • 706/2229 Point de vue
  • 492/2229 Commerce électronique
  • 703/2229 Manifestation
  • 162/2229 Presse en ligne
  • 72/2229 Piratage
  • 103/2229 Téléservices
  • 423/2229 Biométrie/Identité numérique
  • 151/2229 Environnement/Santé
  • 156/2229 Législation/Réglementation
  • 169/2229 Gouvernance
  • 820/2229 Portrait/Entretien
  • 82/2229 Radio
  • 342/2229 TIC pour la santé
  • 143/2229 Propriété intellectuelle
  • 33/2229 Langues/Localisation
  • 514/2229 Médias/Réseaux sociaux
  • 918/2229 Téléphonie
  • 95/2229 Désengagement de l’Etat
  • 484/2229 Internet
  • 60/2229 Collectivités locales
  • 192/2229 Dédouanement électronique
  • 506/2229 Usages et comportements
  • 521/2229 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 279/2229 Audiovisuel
  • 1362/2229 Transformation digitale
  • 199/2229 Affaire Global Voice
  • 78/2229 Géomatique/Géolocalisation
  • 153/2229 Service universel
  • 333/2229 Sentel/Tigo
  • 87/2229 Vie politique
  • 736/2229 Distinction/Nomination
  • 27/2229 Handicapés
  • 348/2229 Enseignement à distance
  • 322/2229 Contenus numériques
  • 298/2229 Gestion de l’ARTP
  • 91/2229 Radios communautaires
  • 810/2229 Qualité de service
  • 212/2229 Privatisation/Libéralisation
  • 75/2229 SMSI
  • 225/2229 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1281/2229 Innovation/Entreprenariat
  • 668/2229 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 24/2229 Internet des objets
  • 95/2229 Free Sénégal
  • 173/2229 Intelligence artificielle
  • 106/2229 Editorial
  • 20/2229 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous