OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2015 > Novembre 2015 > Cheikh Bakhoum Directeur de l’ADIE : « nous répondons à une problématique (…)

Cheikh Bakhoum Directeur de l’ADIE : « nous répondons à une problématique essentielle de notre administration… »

lundi 30 novembre 2015

Transformation digitale

Cheikh Bakhoum, directeur de l’Adie était l’invité de l’émission « Grand oral » de la radio Rewmi fm (97.5) ce samedi. Avec les journalistes Fatou Thiam Ngom Kane et Youssouf Mané, il a décliné la mission de la structure, la situation actuelle de l’agence qu’il dirige mais aussi les perspectives à court et moyen terme.

Situation de l’Adie

« L’Adie est une agence d’exécution pour le gouvernement sénégalais. Nous gérons pour l’État du Sénégal un réseau de type opérateur. Nous sommes chargés de tout ce qui est modernisation de l’administration. Tout ce qui est dématérialisation des procédures. En effet, l’Agence de l’informatique de l’État (Adie) est une structure transversale. Nous travaillons non seulement avec l’administration centrale mais aussi, avec les Collectivités locales. Pour revenir sur ce que nous sommes en train de faire depuis plus d’un an, c’est de répondre à une problématique essentielle de notre administration. C’est-à-dire d’avoir des services de qualité. L’autre chose, c’est tout ce qui est dématérialisation des procédures administratives. Vous savez tous que notre administration a une certaine façon de fonctionner. C’est pourquoi, l’Adie a une mission de changer un peu, simplifier et innover dans l’administration notamment par la digitalisation des procédures. Parce que dans l’administration sénégalaise, il y a des procédures qui datent depuis la colonisation et qui n’ont jamais connu de changements. Du coup, avec d’autres structures comme le Bureau organisationnel méthode (Bom), nous sommes en train d’impulser dans l’administration une dynamique qui nous permettra non seulement de simplifier les procédures et de permettre à ce que ces procédures soient complètement dématérialisées. C’est le cas du permis de conduire qui a complètement été dématérialisé dans la région de Dakar. Nous avons aussi dématérialisé la procédure du concours de l’ENA. Nous savons que jusqu’ici il y a beaucoup de candidats qui postulaient à ce concours là. Que ce soient des candidats qui sont sur le territoire national ou à l’étranger. En somme, nous quitterons une administration de commandement vers une administration de développement qui sera une administration au service du citoyen »

Audit physique et biométrique

« Il faut savoir que quand le Président est venu en 2012, il y avait beaucoup de problèmes dans la gestion de notre personnel. On ne savait pas sur quel fichier se fier. On ne savait pas forcément combien de fonctionnaires il y a au Sénégal. On ne savait pas forcément les avantages qui étaient imbus. Nous avons fait, depuis 2012, l’audit physique et biométrique qui a permis de compter l’ensemble des fonctionnaires de l’État. Que ce soient en général les fonctionnaires de la Fonction publique et aussi les secteurs militaires et paramilitaires. Tout le monde a été audité et tous sont présents dans la base de données de l’État. C’était la première phase et la seconde phase qui va démarrer au mois de janvier va s’étendre sur quelques autres structures notamment les agences et les universités qui vont aussi être intégrées dans la base de données. Même si ce ne sont pas des agences qui sont gérées par la Fonction publique, c’est quand même un personnel de l’État. Sur ce, on saura de manière exhaustive le nombre de personne qui travaille pour l’État. Ça sera une activité de la seconde phase et il y aura aussi un portail que nous mettrons à la disposition des agents de manière générale. Ce portail permettra à chaque agent de suivre son dossier. Parce que jusque là, les agents étaient obligés de se déplacer dans les structures concernées notamment au niveau du ministère de la Fonction publique pour pouvoir connaitre l’état d’avancement de leur dossier. Le ministère des Finances doit se fonder sur cette base de données pour payer les fonctionnaires »

(...)

Cheikh Moussa Sarr

(Source : Rewmi, 30 novembre 2015)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 4302/4975 Régulation des télécoms
  • 364/4975 Télécentres/Cybercentres
  • 3357/4975 Economie numérique
  • 1934/4975 Politique nationale
  • 4975/4975 Fintech
  • 522/4975 Noms de domaine
  • 1698/4975 Produits et services
  • 1487/4975 Faits divers/Contentieux
  • 745/4975 Nouveau site web
  • 4663/4975 Infrastructures
  • 1730/4975 TIC pour l’éducation
  • 220/4975 Recherche
  • 244/4975 Projet
  • 3418/4975 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1814/4975 Sonatel/Orange
  • 1587/4975 Licences de télécommunications
  • 267/4975 Sudatel/Expresso
  • 946/4975 Régulation des médias
  • 1265/4975 Applications
  • 1030/4975 Mouvements sociaux
  • 1599/4975 Données personnelles
  • 128/4975 Big Data/Données ouvertes
  • 603/4975 Mouvement consumériste
  • 361/4975 Médias
  • 649/4975 Appels internationaux entrants
  • 1647/4975 Formation
  • 90/4975 Logiciel libre
  • 2048/4975 Politiques africaines
  • 940/4975 Fiscalité
  • 185/4975 Art et culture
  • 584/4975 Genre
  • 1603/4975 Point de vue
  • 1021/4975 Commerce électronique
  • 1500/4975 Manifestation
  • 315/4975 Presse en ligne
  • 126/4975 Piratage
  • 205/4975 Téléservices
  • 924/4975 Biométrie/Identité numérique
  • 322/4975 Environnement/Santé
  • 325/4975 Législation/Réglementation
  • 337/4975 Gouvernance
  • 1746/4975 Portrait/Entretien
  • 150/4975 Radio
  • 782/4975 TIC pour la santé
  • 269/4975 Propriété intellectuelle
  • 58/4975 Langues/Localisation
  • 1050/4975 Médias/Réseaux sociaux
  • 1921/4975 Téléphonie
  • 190/4975 Désengagement de l’Etat
  • 1063/4975 Internet
  • 118/4975 Collectivités locales
  • 442/4975 Dédouanement électronique
  • 1062/4975 Usages et comportements
  • 1041/4975 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 557/4975 Audiovisuel
  • 3042/4975 Transformation digitale
  • 388/4975 Affaire Global Voice
  • 155/4975 Géomatique/Géolocalisation
  • 323/4975 Service universel
  • 667/4975 Sentel/Tigo
  • 175/4975 Vie politique
  • 1524/4975 Distinction/Nomination
  • 34/4975 Handicapés
  • 757/4975 Enseignement à distance
  • 873/4975 Contenus numériques
  • 589/4975 Gestion de l’ARTP
  • 181/4975 Radios communautaires
  • 1718/4975 Qualité de service
  • 435/4975 Privatisation/Libéralisation
  • 133/4975 SMSI
  • 497/4975 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 2769/4975 Innovation/Entreprenariat
  • 1348/4975 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 48/4975 Internet des objets
  • 172/4975 Free Sénégal
  • 519/4975 Intelligence artificielle
  • 200/4975 Editorial
  • 25/4975 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous