OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2013 > Octobre 2013 > Case des tout-petits : dix nouveaux sites d’initiation à l’informatique (…)

Case des tout-petits : dix nouveaux sites d’initiation à l’informatique annoncés à Matam

jeudi 3 octobre 2013

TIC pour l’éducation

La Directrice de l’Agence de la petite enfance et de la case des tout-petits, Thérèse Diouf Faye, a annoncé, jeudi, à Dakar, la création, en 2014, de dix nouveaux sites dans la région de Matam dans le cadre du Programme d’initiation des enfants âgés de 4 à 6 ans à l’informatique et à l’anglais.

Il s’agit de faire bénéficier les zones rurales de ce Programme connu en anglais sous l’appellation de Waterford early learning (WEL), a-t-il précisé, lors d’un séminaire consacré au sujet.

‘’Nous comptons décentraliser cette initiation en informatique vers les zones les plus reculées. Le Programme sera délocalisé hors de Dakar’’, a indiqué Mme Faye, qui présidait, jeudi, un séminaire de partage du rapport général du WEL.

Selon elle, l’introduction des technologies de l’information et de la communication (TIC) est une innovation de taille dans le processus d’apprentissage des jeunes enfants.

‘’Partout dans le monde, l’initiation des enfants en informatique et à la langue anglaise est devenue un besoin impératif, pour répondre à une demande de plus en plus croissante des parents et des éducateurs mais aussi de l’environnement scolaire et pédagogique’’, a expliqué Mme Faye.

‘’J’invite, à l’occasion, les partenaires techniques, financiers et sociaux, les collectivités locales, à soutenir l’Agence dans la formation et l’équipement en matériels informatiques afin de démocratiser l’accès des TIC dans les zones défavorisées’’, a-t-elle ajouté.

Cette rencontre, a-t-elle déclaré, permettra d’échanger les points de vue, sur l’apport des TIC dans l’éducation des jeunes. Elle a estimé que ‘’l’heure n’est plus à la démonstration de la pertinence de l’introduction des technologies dans l’éducation’’.

Selon elle, la formation des formateurs, des superviseurs et des éducateurs, à travers la coordination régionale et les points focaux, constitue une difficulté clé pour la réussite du Programme.

‘’En prenant en compte les différents facteurs dans une approche systématique, de meilleurs stratégies pourraient être mises en œuvre pour une pérennisation du Programme’’, a jugé Thérèse Diouf Faye.

Il en va de même pour sa continuité à l’élémentaire ainsi que le suivi des performances des enfants appelés à séjourner dans les structures de développement intégré de la petite enfance.

Conformément aux axes stratégiques définis par la Politique nationale de développement intégré de la petite enfance (PNDIPE), les programmes TIC, qui ont été déroulés, ont connu plusieurs étapes, qui vont de la familiarisation à l’outil informatique à l’exploitation de contenus digitaux, a-t-elle expliqué.

Après une phase pilote démarrée à la case des tout-petits de Ouest-Foire, entre 2010 et 2011, les résultats encourageants obtenus ont permis à l’Agence d’entreprendre une première phase d’extension aux cases des HLM et de Ouakam, en 2012.

Ils ont aussi rendu possible la deuxième phase, qui a concerné la case de la VDN, l’école maternelle de Ngor et l’école El Hadji Ibrahima Guèye de Fatick, en 2013.

Thérèse Diouf Faye précise que WEL fonctionne en ligne ou en réseau. Il est, selon elle, fondé sur deux curricula digitaux : ‘’early reading program’’ destiné à l’initiation à la lange anglaise et ‘’early and science program’’, qui vise le renforcement en mathématiques et en sciences.

Cependant, des difficultés ont été relevées dans l’exécution du programme durant l’année 2013.

Il s’agit notamment de l’insuffisance du matériel informatique, de l’absence d’accès à internet, du coût élevé de la licence Waterford pour les comités de gestion, de l’absence de continuité du Programme à l’élémentaire, de l’absence de plages horaires pour les TIC dans l’emploi du temps, mais aussi de l’absence de moyens pour le suivi.

(Source : APS, 3 octobre 2013)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2984/3348 Régulation des télécoms
  • 255/3348 Télécentres/Cybercentres
  • 2223/3348 Economie numérique
  • 1230/3348 Politique nationale
  • 3348/3348 Fintech
  • 365/3348 Noms de domaine
  • 1249/3348 Produits et services
  • 1045/3348 Faits divers/Contentieux
  • 542/3348 Nouveau site web
  • 3300/3348 Infrastructures
  • 1316/3348 TIC pour l’éducation
  • 152/3348 Recherche
  • 196/3348 Projet
  • 2193/3348 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1313/3348 Sonatel/Orange
  • 1121/3348 Licences de télécommunications
  • 266/3348 Sudatel/Expresso
  • 669/3348 Régulation des médias
  • 885/3348 Applications
  • 755/3348 Mouvements sociaux
  • 1074/3348 Données personnelles
  • 116/3348 Big Data/Données ouvertes
  • 431/3348 Mouvement consumériste
  • 279/3348 Médias
  • 487/3348 Appels internationaux entrants
  • 1252/3348 Formation
  • 98/3348 Logiciel libre
  • 1581/3348 Politiques africaines
  • 698/3348 Fiscalité
  • 145/3348 Art et culture
  • 420/3348 Genre
  • 971/3348 Point de vue
  • 735/3348 Commerce électronique
  • 1198/3348 Manifestation
  • 287/3348 Presse en ligne
  • 122/3348 Piratage
  • 168/3348 Téléservices
  • 678/3348 Biométrie/Identité numérique
  • 224/3348 Environnement/Santé
  • 275/3348 Législation/Réglementation
  • 259/3348 Gouvernance
  • 1241/3348 Portrait/Entretien
  • 116/3348 Radio
  • 518/3348 TIC pour la santé
  • 210/3348 Propriété intellectuelle
  • 64/3348 Langues/Localisation
  • 788/3348 Médias/Réseaux sociaux
  • 1420/3348 Téléphonie
  • 169/3348 Désengagement de l’Etat
  • 697/3348 Internet
  • 113/3348 Collectivités locales
  • 343/3348 Dédouanement électronique
  • 863/3348 Usages et comportements
  • 775/3348 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 417/3348 Audiovisuel
  • 2340/3348 Transformation digitale
  • 266/3348 Affaire Global Voice
  • 114/3348 Géomatique/Géolocalisation
  • 238/3348 Service universel
  • 482/3348 Sentel/Tigo
  • 156/3348 Vie politique
  • 1037/3348 Distinction/Nomination
  • 56/3348 Handicapés
  • 513/3348 Enseignement à distance
  • 588/3348 Contenus numériques
  • 437/3348 Gestion de l’ARTP
  • 157/3348 Radios communautaires
  • 1260/3348 Qualité de service
  • 328/3348 Privatisation/Libéralisation
  • 121/3348 SMSI
  • 381/3348 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1918/3348 Innovation/Entreprenariat
  • 1026/3348 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 44/3348 Internet des objets
  • 120/3348 Free Sénégal
  • 547/3348 Intelligence artificielle
  • 301/3348 Editorial
  • 14/3348 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous