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Cameroun : Ce qu’il faut retenir de l’atelier sur la nouvelle vision des Télécentres communautaires

lundi 1er novembre 2021

Télécentres/Cybercentres

Digital Business Africa vous propose le discours du fondateur de la JFN-IT lors du lancement officiel du partenariat entre Google Cloud et la JFN Institute of Technology ce 02 novembre 2021 à Douala au campus de cet institut de technologie situé au quartier Santa Barbara à Bonamoussadi.

Le ministre des postes et télécommunications, Minette Libom Li Likeng, a présidé la cérémonie de clôture des travaux, vendredi 29 octobre 2021. Le Palais de Congrès de Yaoundé était dédié à l’évènement. Y ont pris part, les administrations compétentes, les sociétés sous tutelles Minpostel, les régions, les collectivités territoriales décentralisées (CTD), l’Agence de coopération allemande pour le développement (GIZ), les startups ; les opérateurs de téléphonie, la société civile, pour un total de quelque 180 participants.

« L’idée est de développer une plateforme qui permette aux organisations gouvernementales privée et sociale d’intégrer leurs objectifs sociaux et commerciaux dans l’intérêt des populations rurales des localités les plus reculées du pays, grâce à une combinaison de services informatiques et non informatiques », a indiqué le ministre dans son discours d’ouverture des travaux. En d’autres termes, il est question de réduire la facture numérique entre les zones urbaines et les zones rurales. La réflexion s’est adossée sur deux articulations, notamment la plénière introductive et les travaux en ateliers.

En plénière l’inspecteur général des Services au Minpostel, Paul-Petit Ndongo dirigeait la présentation des différentes contributions par les experts de chaque administration représentée. De plus, il a donné lecture de la répartition et de la composition des quatre ateliers retenus dans le cadre de cette réflexion. Le premier atelier s’intitulait « Définition des stratégies de mise en œuvre et de Développement des capacités des acteurs de la nouvelle vision des TCP/DPEP. Le deuxième travaillait sur la « Définition du bouquet de services, contenus et applications à offrir dans les TCP/DPEP. Puis, le troisième abordait la question du « Cadre de pérennisation et de viabilisation et modèle économique de gestion des TCP/DPED, et enfin le quatrième atelier avait la charge de proposer le « Design de l’architecture IT des TCP (intégrateur, réseau, connectivité…) /DPED.

Résolutions adoptées, à l’issue des travaux en ateliers

L’atelier numéro I avait pour modérateur Nanga Ayissi. Les résolutions étaient les suivantes : la liste des projets inscrits dans le plan national de gouvernance électronique nécessitant une numérisation et une simplification des procédure, ainsi que les projets de PME camerounaises à l’intention des populations rurales ; l’ensemble des services digitaux offerts par les administrations publique ; la proposition d’un modèle précis de partenariat public privé pouvant aboutir à une approche innovante de développement socioéconomique et la présentation d’un schémas de restructuration et de mise en œuvre des TCP.

Richard Bitoma a modéré l’atélier numéro II. Les résolutions qui y ont découlées sont les suivantes : l’élaboration des éléments de contexte d’utilisation des TCP comme guichet uniques de services gouvernementaux en zones rurales ; la matrice des besoins éventuels des populations rurales, une proposition de schémas commenté des infrastructures avec les fournisseurs de services , à savoir les administrations, dans la perspective de répondre aux besoins des citoyens ; une proposition de classification de services et l’identification de la liste de services dont requiert la communauté.

Le troisième atelier a connu la modération de Norbert Monkam. La fourniture d’une contribution documentée du panier de services à offrir et la nouvelle configuration des TCP et la proposition des modèles de gestion économique nouveaux dans le cadre des TCP en étaient les recommandations. Le quatrième atelier avait comme modérateur, Dr Raphael Nlend. Onze résolutions sont de mises. Au nombre desquelles, la réalisation des études de faisabilité, afin de déterminer les besoins spécifiques des populations, leur pouvoir d’achat, ainsi que les aspects techniques et sécuritaires qui vont guider la mise en œuvre de la nouvelle vision.

Aussi avons-nous le développement d’une stratégie de communication et sa mise en œuvre, autour du projet en vue de susciter l’adhésion des principaux acteurs, y compris les populations bénéficiaires. Autres résolutions : l’évaluation de tous les risques afférents à la mise en œuvre de la nouvelle vision ; l’évaluation de l’état de préparation de tous les acteurs préalablement à la mise œuvre de cette nouvelle vision ; le démarrage de la mise en œuvre de la nouvelle vision par une phase pilote ; la mobilisation des administrations publics , des entreprises du secteur privé ,les organisations sociales ainsi que les ONG, dans l’optique d’étoffer l’offre des contenus des services et applications de TCP.

La question énergétique était attendue, tant les délestages récurrents étaient cités parmi les entraves aux TCP antérieurs. Ainsi l’atelier IV a-t-il offert de prioriser comme source primaire, le réseau Enéo (où il existe) et comme source secondaire, le groupe électrogène et l’énergie solaire. A cela s’ajoutent : l’adoption d’une plateforme sécurisée de fourniture des services par une solution data center ; la formation continue dans le domaine de la maintenance informatique, réseau et énergétique au profit des agents des TCP ; la mise en place d’un cadre juridique devant réguler le fonctionnement des TCP par les CTD ; la mise en réseau des TCP pour favoriser l’émulation, le partage d’expérience, de la mutualisation des ressources. Cependant, un débat a émergé, lors de la plénière de clôture : amender la dénomination du projet TCP. Et à ce sujet, il n’y a matière à aucune espèce de modification de nom. Le projet garde sa dénomination Télé centres communautaires polyvalents.

Ecrit par Jean Materne Zambo

(Source : Digital Business Africa, 1er novembre 2021)

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