Un atelier sur les systèmes d’information géographique participatifs dans la gestion des ressources naturelles et la sécurité alimentaire en Afrique, organisé par le Groupe d’études et de recherches genre et sociétés (Gestes) de l’université Gaston Berger, a regroupé hier divers experts du monde universitaire (Ucad, Ugb, CIRAD), des structures d’accompagnement (Saed, Projet de développement agricole de Matam, Projet d’appui au développement rural en Casamance), des conseillers ruraux et des représentantes des groupements féminins de Mbane.
Selon Alpha Bâ, membre du Gestes, cet atelier, qui s’inscrit dans une dynamique de recherche sur la problématique foncière entamée depuis deux ans par le Gestes sous la direction du professeur Mme Fatou Diop Sall, a été un cadre de réflexion sur les expériences déjà capitalisées au Sénégal sur les systèmes d’information géographique (Sig). Ce séminaire, a-t-il rappelé, est organisé dans le cadre du projet Ictad financé par le Crdi, coordonné à la base par Enda/Lead et se déroule dans 6 pays africains. Le Gestes qui pilote ce projet au Sénégal, réfléchit sur la mise en place d’un Sig dans la communauté rurale de Mbane, comme outil d’aide à la décision dans une perspective d’autosuffisance alimentaire. Selon le professeur Daha Dieng, qui a ouvert cet atelier, un Sig, c’est d’abord un outil malheureusement souvent réduit à une cartographie.
Par indulgence, a-t-il précisé, cela peut se comprendre, puisque l’une des finalités de l’outil est de produire un document cartographique pour mieux aider à décider, même s’il est l’aboutissement de traitements souvent complexes, et l’utilisation d’éléments, d’instruments, de logiciels faisant appel à des compétences et spécialités très diversifiées (la géodésie, la topographie, la cartographie, les bases de données, l’informatique). Après cet atelier, a souligné le professeur Dieng, une synthèse permettra de choisir la formule la meilleure pour la mise en place d’un Sig ayant comme thématique principale, la gestion des ressources naturelles et avec comme entrées, la sécurisation foncière et la sécurité alimentaire.
Mbagnick Kharachi Diagne
(Source : Le Soleil, 14 octobre 2010)
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