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Signature de convention de partenariat : Bicis, Ccbm et Sonatel Orange à l’assaut de la fracture numérique à l’université

En vue de réduire la fracture numérique en milieu universitaire et de promouvoir la bancarisation des étudiants du Sénégal, la Bicis, Ccbm Electronics et la Sonatel Orange ont mis en place le Pack Nebook. Une convention de partenariat entre ces trois structures a été signée lundi dernier.

La Bicis, Ccbm Electronics et Sonatel Orange ont mis en place le Pack Nebook, composé d’un netbook (ordinateur portable) Samsung et d’une clé de connexion internet 3G et financé par un crédit Bicis à hauteur de 150.000 francs Cfa à taux zéro, sans frais, sur 20 mois, soit un remboursement mensuel de 7.500 francs Cfa. Le président-directeur général de la Bicis, Amadou Kane, son homologue du groupe Ccbm, Serigne Mboup, et le directeur général adjoint de la Sonatel, Jérome Hénique, ont procédé, lundi dernier, à la signature de la convention de partenariat entre ces trois entreprises en vue de réduire la fracture numérique en milieu universitaire et de promouvoir la bancarisation des étudiants du Sénégal. Ce pack vise à permettre aux étudiants de travailler dans de meilleures conditions avec des outils informatiques performants, soulignent les trois partenaires. Pour M. Kane de la Bicis, il s’agit, dans ce partenariat, de procéder à une innovation qui entre, à la fois, dans le cadre de la réduction de la fracture numérique en milieu universitaire et dans l’amélioration du taux de bancarisation des étudiants du Sénégal. Serigne Mboup de Ccbm note que cette initiative des partenaires de réduire le coût de ce pack à 150.000 francs Cfa est le résultat des efforts importants consentis par les partenaires dans le cadre de leur engagement citoyen pour réduire la fracture numérique au Sénégal. Pour sa part, le directeur général adjoint de la Sonatel Orange Sénégal, Jérome Hénique, estime que cette convention entre ces trois structures permettra aux étudiants d’avoir des outils de travail adaptés au besoin des clients subventionnés à 50 %.

Mamadou Sy

(Source : Le Soleil, 2 février 2012)