La détermination affichée par les différents acteurs de l’écosystème numérique sénégalais de promouvoir les start-up commence à payer. Au lendemain du Dakar Policy Hackathon, plusieurs séances de travail ont été tenues avec la Banque Mondiale, le ministère de la communication, des télécommunications, des postes et de l’économie numérique, la Délégation à l’Entrepreneuriat Rapide, le ministère de l’économie, des finances et du plan, Sen Sartup, Jokkolabs, plusieurs start-up entre autres.
D’après le communiqué parvenu à notre rédaction, ces différentes rencontres ont permis de « définir le processus final, identifier de nouvelles parties prenantes à inviter autour du projet, recueillir des recommandations des acteurs clés de l’écosystème sur l’avant-projet du Sen Start-up Act ».
Les initiateurs ont fait part de tout leur enthousiasme quant à l’aboutissement du projet. A lire le communiqué, « le Sénégal Startup Act contient un nombre des législations qui ont pour objectif de promouvoir l’innovation et l’entrepreneuriat. Le Startup Act couvre des domaines tels que les politiques fiscales, le financement des start-up ou encore une labellisation des start-up, la promotion de la collecte et le partage des données pour que les entrepreneurs puissent développer des meilleurs business plans », expliquent Eva Sow Ebion, la Chief Coordinator du Dakar Policy Hakathon et son équipe.
Celle qui faisait partie des responsables l’incubateur CTIC Dakar aux côtés de Régina Mbodj assure que l’une des priortés, c’est la promotion de l’esprit d’entreprise « en créant un environnement plus favorable pour les entrepreneurs qui souhaitent lancer des start-up au Sénégal » non sans faire comprendre que « nous pouvons changer et améliorer notre écosystème et faciliter la naissance, le développement et la réussite de nos talents ».
De son côté, Abdoul Aziz Sy, Hub Manager d’Impact Dakar, estime qu’il est crucial « pour les autorités politiques de mieux comprendre les difficultés et les attentes des entrepreneurs » et « pour la société civile, d’avoir une meilleure idée d’où en sont les réformes et où va l’écosystème entrepreneurial ». Chez Bassirou Bâ, responsable à la Délégation à l’Entrepreneuriat Rapide, ce sont d’abord le cadre réglementaire et les aspects liés à la fiscalité qui devraient être revus, de toute urgence.
Elimane
(Source : CIO Mag, 31 août 2018)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
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Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
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