Le premier Forum africain sur la Science, la Technologie et l’Innovation (STI) se tient depuis hier dimanche à Nairobi, au Kénya en présence de plus d’une centaine de représentants de gouvernement et d’experts internationaux.
La rencontre qui dure 03jours vise à développer une réflexion et à favoriser le partage d’expériences les plus porteuses en matière de sciences, de techniques et d’innovations. L’objectif final c’est de promouvoir de nouvelles politiques africaines sur l’innovation et l’entreprenariat, deux défis majeurs à relever par le continent pour se prémunir ou amortir les contrecoups de la mondialisation.
La rencontre est la première du genre qui se tient sur le continent africain axée sur la science, la technologie et l’innovation (STI), les trois pistes jugées idoines pour la solution au problème de l’emploi des jeunes, au développement du capital humain et la croissance inclusive.
Une préoccupation qu’a fait sienne déjà l’Union Africaine, à travers son université continentale, l’Université panafricaine (UPA) qui été lancée au mois de décembre dernier à Addis Abéba avec ses centres d’excellence qui seront implantés dans les cinq régions du continent.
Au cours des travaux les participants tenteront d’identifier des domaines concrets de collaboration et d’échange d’expériences, en encourageant les ministres africains chargés des secteurs en question à engager un dialogue avec les experts, notamment sur l’utilisation et l’investissement dans les sciences, les techniques et les innovations (STI ) pour le développement et promouvoir une politique en faveur de l’intégration des STI dans les programmes de développement des pays.
Ceci est d’autant plus important que « la compétitivité de chaque pays sur le marché international dépend de plus en plus de son aptitude à innover et à appliquer la technologie pertinente aux industries et aux secteurs productifs ». Il est ainsi prévu dans le cadre des discussions entre participants à la rencontre sur comment les sciences, les techniques et les innovations peuvent favoriser la création de richesse en Afrique et réduire la pauvreté tout en améliorant la qualité de vie des populations.
Toutes choses qui ne peuvent certainement pas se réaliser sans la satisfaction de certains besoins fondamentaux comme la sécurité alimentaire et la fourniture en eau potable, en quantité suffisante. La rencontre est organisée par l’UNESCO, la Banque africaine de développement (BAD), l’Union africaine (UA), la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (UNECA), et l’Association pour le développement de l’éducation en Afrique (ADEA).
Le représentant de la BAD et de l’Union africaine – le Commissaire pour les ressources humaines, les sciences et la technologie, M. Jean-Pierre Ezin, entre autres, vont participer à la rencontre.
Mamadou Mika Lom (avec Adea)
(source : Sud Quotidien, 2 avril 2012)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000