Le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies de l’information et de la communication (RESTIC) salue la promotion du Directeur des télécommunications nouvellement nommé à la tête de l’Unité. En effet , l’ancien directeur occupe désormais le poste de Directeur des télécommunications à la tête de l’Unité de Coordination et de Gestion du Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications ( UCG / FDSUT).
Selon le RESTIC, aujourd’hui trois défis majeurs doivent être rapidement pris en compte urgemment. Il s’agit selon l’organisation, de la convergence des télécoms et des médias. « C’est un vrai défi. le sujet est sensible, car il pose clairement l’hypothèse de la fusion des deux autorités de régulation : celle des télécoms et celle de l’audiovisuel, dans les pays où ces régulations sont séparées comme au Sénégal », note le Restic dans un communiqué de presse.
L’autre défi, c’est l’importance de trouver du spectre pour les applications haut débit : le nombre d’abonnés mobiles en augmentation et les services offerts sur les réseaux télécoms exigent plus en plus de bande passante sur les réseaux télécoms. Le troisième défi est lié au respect de la neutralité du net pour plus de diffusion de contenus locaux. « Le Sénégal présente un panorama numérique et digital à fort potentiel et l’Artp doit veiller à un contrôle des prix et tarifs des opérateurs.
Le coût de la connectivité fixe et mobile peut beaucoup baisser au Sénégal. L’Afrique juste après l’Asie sera le prochain grand marché en termes d’usages des Tic dont le mobile, ainsi le continent doit impérativement prendre en compte les besoins spécifiques du genre féminin pour un secteur des Tic inclusif et équitable », note le RESTIC. L’Artp doit accompagner cette tendance lourde. Enfin le RESTIC espère une approche participative et inclusive du nouveau directeur général avec tous les acteurs et parties prenantes.
Le RESTIC de rappeler le défi de la Convergence des télécoms et des médias. « Le sujet est sensible, car une question se pose clairement sur l’hypothèse de la fusion des deux autorités de régulation : celle des télécoms et celle de l’audiovisuel, dans les pays où ces régulations sont séparées comme au Sénégal. L’importance de trouver du spectre pour les applications haut débit : le nombre d’abonnés mobiles en augmentation et les services offerts sur les réseaux télécoms exigent de plus en plus de bande passante sur les réseaux télécoms. À cet effet, l’UIT et les régulateurs doivent trouver des fréquences adéquates pour faire face à cette évolution. Il y a lieu d’instaurer le principe de la neutralité des fréquences mobiles, quelle que soit la technologie utilisée ».
(Source : Rewmi, 17 septembre 2023)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000