Le blocage des logiciels de communication Viber et WhatsApp par l’opérateur de téléphonie mobile Orange au Sénégal, ces derniers jours, n’est pas du goût des consommateurs.
Momar Ndao, président de l’Association des consommateurs du Sénégal (Ascosen), pour sa part, a dénoncé, avec la dernière énergie, ce blocage.
Interpellé sur cette situation, le défenseur des consuméristes estime que c’est anormal de bloquer ces applications du fait qu’elles ne sont pas gratuites.
« Vous ne pouvez pas avoir Viber et WhatsApp si vous n’avez pas la connexion internet. Et, pour avoir cette connexion, il faut payer », a-t-il soutenu. Avant d’ajouter que l’utilisation de ces applications ne sont pas gratuites, il n’y a pas de raison que l’on puisse les bloquer.
Le président de l’Ascosen a aussi souligné qu’il a été saisi par des consuméristes par rapport à ce blocage, il y a quelques jours. En ce sens, Momar Ndao estime qu’il faut remédier à cette situation.
Mais avant d’engager une quelconque action, Momar Ndao, dit attendre les résultats de l’instruction que l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp) a donné à la Société nationale des télécommunications (Sonatel).
(Source : Seneweb, 4 mars 2015)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000