Le président de la commission électorale kenyane, Wafula Chebukati a déclaré officiellement dans un communiqué que le Kenya envisage appliquer la technologie du blockchain dans les procédures électorales à venir.
Au Kenya, les contestations du dernier scrutin électoral qui s’est déroulé en octobre dernier qui, portait le président Uhurru Kenyatta au pouvoir pour un autre mandat, avait entraîné un lot considérable de victimes. Ce blockchain qui est une technologie de stockage et de transmission d’informations sera l’élément pour garantir l’intégrité du processus électoral dans son ensemble. Certes, le système de vote électronique n’est pas à l’abri de défaillances techniques mais, la technologie de la Blockchain semble faire l’exception puisqu’il n’est doté d’aucun organe de contrôle ; c’est à dire qu’il est impossible de modifier les informations qui y sont enregistrées. Il devrait donc permettre de sauvegarder toutes les informations concernant les votes à une échelle locale et par ricochet permettre aux candidats à la présidentielle d’accéder et de suivre en toute sécurité l’avancée du scrutin.
Notons que le système de Blockchain est très nouveau en Afrique mais déjà commence par être expérimenter.
Maryse Atsé
(Source : ICT4Africa, 23 août 2018)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000