En matière de cybercriminalité, le Kenya a récemment marqué un pas significatif dans la répression du phénomène. Le Parlement kenyan a en effet adopté une nouvelle loi sur la cybercriminalité qui condamne toute personne déclarée coupable de partage de pornographie juvénile par Internet d’une amende maximale de 20 millions de shillings, soit environ 111,3 millions de F Cfa ou d’une peine d’emprisonnement maximale de 25 ans.
Selon le quotidien kenyan Daily Nation qui rapporte l’information, cette loi s’applique aux parents qui partagent des photos des parties génitales de leurs enfants ou de leurs corps nus sur les réseaux sociaux. Ainsi, publier une photo de l’érythème fessier d’un enfant ou la photo d’un enfant à l’heure du bain sur les médias sociaux pourrait vous attirer de sérieux problèmes.
Notons que selon la Constitution du Kenya, la pornographie juvénile est définie comme étant toute représentation visuelle impliquant l’utilisation d’un mineur ou d’une personne apparaissant comme tel à des fins sexuelles.
(Source : TIC Mag, 12 juin 2018)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000