Ce vendredi 1er juillet, à 12h GMT, sera mis en ligne, si Dieu le veut, dakaractu.com. Ce site internet dernière génération est conçu suivant les normes de la dernière technologie html 5. Il est doté de modules audio et vidéo de qualité numérique et de très haute définition. Ses serveurs peuvent supporter jusqu’à une charge de 25 000 connections simultanées. Il est interactif : vous y trouverez une fenêtre où vous inscrire pour recevoir dans votre boîte électronique tous les éléments publiés. Et une autre rubrique où vous pourrez nous envoyer, confidentiellement, informations et documents que nous recouperons pour les publier.
Dakaractu.com sera le premier site bilingue d’informations générales sur le Sénégal. Tous les articles qui montent en « une » peuvent être lus en versions française et anglaise. Ce choix couteux a été dicté par un constat cruel : les Chinois, les Indiens, les Américains, les diplomates et employés des organismes internationaux, les Sénégalais de la diaspora formés dans des pays anglophones... n’ont aujourd’hui aucun moyen d’accéder à une information électronique sur le Sénégal. Le site vient corriger cette anomalie dans un monde dominé par l’anglais et les nations qui le parlent. Mais pas seulement. Inspiré du modèle anglo-saxon, dakaractu.com va, à l’image du site américain huffingtonpost, devenu leader en cinq ans, publier des dizaines d’éléments par jour, ce qui implique des mises à jour récurrentes.
Dakaractu.com est un redoutable défi technologique et éditorial, un défilé ininterrompu d’articles et de textos, d’images et de sons. Ce n’est pas un site de plus, encore moins un site de trop. Dans sa conception et sa philosophie, il ne ressemble à rien de ce qui s’est jusqu’ici fait en la matière au Sénégal. Avec des rubriques inédites, une charte graphique moderne, et un contenu régulièrement mis à jour, dakaractu.com est un journal d’investigation en ligne. Il va offrir à lire des enquêtes, des dossiers, des portraits, des éditos... que je vais me charger moi-même de rédiger et qui seront postés dans la rubrique « yerimpost ». Cette fenêtre se veut un condensé de révélations exclusives, d’analyses poussées et de bien d’autres surprises.
Dakaractu.com va couvrir au quotidien l’actualité sénégalaise par le biais d’articles-maison qui tranchent d’avec le copier-coller, marque de fabrique de beaucoup d’enseignes de notre web national. Le traitement de l’actualité sera complet, poussé, équilibré, neutre et objectif. C’est d’ailleurs pour garantir une information impartiale que le site va fonctionner comme une plateforme internationale animée par des intervenants installés au Sénégal, aux Etats-Unis, au Canada et en France. Quoique directeur de publication, je n’animerai et ne déterminerai que ce qui figure dans yerimpost. La plateforme est intrinsèquement inadaptée à la censure. Les nombreuses personnes de par le monde qui vont y publier sont tenues par une seule obligation : respecter les règles déontologiques régissant la fonction de journaliste.
Ce site multimédia, qui comprendra textes, photos, vidéos et sons, n’insultera ni ne diffamera, mais ne transigera pas avec la vérité. Il ambitionne d’être l’espace électronique de référence pour tous ceux qui sont désireux de s’informer juste et vrai. Il y en aura pour tout le monde, pour tous les goûts et pour tous les centres d’intérêt : politique, économie, culture, vie sociale, chroniques judiciaires, people, musique, art, littérature, culture générale...
Notre site qui se veut un instrument d’éducation de la jeunesse sera hors de portée du vulgaire, de la pornographie, de contenus immoraux de toutes sortes... Il se gardera des fautes d’orthographe et de grammaire qui malmènent la langue et influencent négativement élèves et étudiants. A vos pianos, chers amis internautes ! Ce vendredi 1er juillet, dès midi, nous vous offrirons d’un coup plus de cents éléments à lire. Et cela ne fait que commencer. Il en sera toujours ainsi : vous recevrez textes, images, sons et photos à flux tendus, à feux nourris, à cadence ininterrompue...
Cheikh Yérim Seck
(Source : Dakaractu, 1er juin 2011)