Ils sont tous unanimes à apprécier l’apport déterminant du CTIC dans la concrétisation de leur projet et son développement. Ils, se sont les 7 membres de la cohorte du Buntuteki 2016 présentés lors du Demo Day.
Dithyrambiques, c’est le qualificatif qui se rapproche le plus des témoignages des 7 membres de la cohorte 2016 du Buntuteki du TCIC Dakar lors du Demo Day organisé dans un restaurant de la place. Tour à tour, ils ont présenté leur projet pendant un speech assez court avant d’arriver à cet instant. « Je ne dirai pas qu’ils sont des super-héros mais ils nous ont aidé à mieux ordonné nos idées et à y coller un business modèle assez solide pour convaincre les gens d’y mettre leur sous », a déclaré Baye Fily Mbengue de SAMASKULL, une plateforme d’E Learning basée au Sénégal qui permet aux internautes de suivre à distance des cours et formations et d’apporter un soutien pédagogique à ses différents segments clientèle. Un projet qui d’ailleurs a été lauréat du concours « Slush » à Dakar durant sa phase d’accélération.
De son côté Djibril Guéye développeur de MCERP, un logiciel qui permet une gestion des stocks, des ventes et achats et des dettes clients et fournisseurs a souligné l’importance de l’encadrement du CTIC. Il a très apprécié l’ouverture d’esprit des membres du CTIC qui peuvent te permettre d’anticiper sur certains problèmes cachés pour le jeune entrepreneur, mais qui se présenteront inéluctablement face à eux dans un avenir proche.
Très gênée par ces marques d’estime et de reconnaissance, l’équipe du CTIC a juste fait savoir à travers Karine Vavasseur qu’ils sont « heureux d’aider à la création d’un environnement TIC favorable aux membres de cette communauté ».
Partenaire du CTIC pour cette édition, Tigo Sénégal aspire à accompagner des projets d’entreprises TIC à fort impact social. Son représentant, Lamine Diallo, a affirmé que Tigo souhaite « encourager l’entrepreneuriat social au Sénégal et en faire un pilier important du développement socio-économique des populations : mettre le digital life style au service des communautés ».
Amayi Badji
(Source : Réussir business, 27 février 2016)