L’impact des réseaux sociaux sur l’élection présidentielle de 2012 au Sénégal
jeudi 16 février 2012
Il était une fois… Facebook , Twitter…
A l’origine, on les avait crée pour permettre aux gens de communiquer, de retrouver d’anciens amis, d’échanger sur des sujets etc.
Maintenant ces réseaux sociaux sont devenus des bombes atomiques silencieuses.
Avec l’ampleur des révolutions et la vitesse de transmission des informations, on constate que plus jamais ça ne sera pareil.
L’information est le nerf de la guerre et celui qui la maîtrise a un précieux avantage sur son adversaire.
Lors du Printemps arabe, le peuple a usé du pouvoir des réseaux sociaux et… il a gagné.
C’est incontournable. Au delà de la visibilité des candidats, des mouvements, groupes, pages etc. Ils pèseront lourd sur la balance électorale.
Et nos candidats le savent ou du moins commencent à le savoir.
Ils créent leurs pages sponsorisées, leurs sympathisants/militants créent des groupes d’échanges et de discussions pour attirer les internautes, futurs électeurs.
Maintenant reste t-il à savoir s’ils offrent des programmes stratégiques et opérationnels concrets pour le Sénégal.
Créer un personnage politique sur les réseaux sociaux est facile, encore faut-il pouvoir convaincre avec de réels arguments.
Parce qu’au 3e Millénaire, le sénégalais 2.0 n’est pas ou dirais-je n’est plus dupe.
Il exigera des garanties tangibles à ces leaders d’opinions et hommes politiques car…Nul vent n’est favorable pour celui qui ne sait où il va !!!
(Source : Rewmi, 16 février 2012)