Au Kenya, les autorités ont annoncé que les textes devant servir à taxer les activités des fournisseurs étrangers de contenu à la demande sont en phase de finalisation.
D’après les autorités, les entreprises comme Netflix et YouTube devront bientôt déclarer les revenus générés par les consommateurs se trouvant sur le territoire kenyan, pour qu’ils soient taxés.
Pour Francis Wangusi (photo), directeur général de l’autorité des communications, les fournisseurs de contenu à la demande exploitent l’industrie kenyane, alors que ni le gouvernement ni les acteurs locaux n’en tirent profit.
« De nombreux pays ont spécialement développé des politiques qui régulent et taxent les services de streaming et de vidéo à la demande, et c’est là où nous nous dirigeons », a-t-il déclaré.
Le nouveau règlement devrait, selon les premières informations, toucher, en plus des services de streaming et de vidéo à la demande, les autres services over the top. Ainsi, les applications comme Whatsapp et Telegram devraient également être taxées.
Servan Ahougnon
(Source : Agence Ecofin, 19 août 2019)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000