Kaolack / 1er salon africain de la géomatique et de l’intelligence artificiel : Les universitaires engagent un processus de rentabilité disciplinaire
vendredi 5 juillet 2024
L’Université du Sine Saloum El Hadji Ibrahima Niasse (USSEIN) de Kaolack, en partenariat avec l’Ambassade de France, le Projet Service spatial et d’autres partenaires nationaux, a démarré hier, jeudi 4 juillet 2024, au campus de Khelcom Birane, le premier Salon Africain de la Géomatique et de l’Intelligence artificielle (GEO/IA).
Ce grand rendez-vous de professeurs d’Universités, d’étudiants, de partenaires étrangers et d’acteurs du secteur privé, a pour objectif de montrer toutes les applications engendrées par ces deux disciplines universitaires, mais aussi de rassembler l’ensemble des acteurs susceptibles d’être impactés par l’utilité de la Géomatique et l’Intelligence artificielle (IA) dans leurs activités socioéconomiques.
Outre la volonté de montrer à la face du monde ce que le Sénégal est en train de faire en matière de géomatique et Intelligence artificielle à travers diverses thématiques, cette tribune d’échanges et de partages a aussi été aménagée pour bâtir un écosystème prometteur tout autour de ces deux disciplines pour se lancer dans de nouvelles perspectives d’avenir.
Outre le paquet de combinaisons possibles prévues d’être mises en place, les enjeux et autres perspectives recherchés à travers ce salon, l’idée pour ces universitaires c’est aussi de préparer les jeunes étudiants sénégalais en Licence et Master Géomatique et leurs camarades en Intelligence artificielle afin d’être mieux outillés pour l’avenir et surtout d’entrer en contact avec les acteurs privés, leurs futurs employeurs, pour ensemble connaître les besoins du marché de l’emploi, les métiers, les débouchées, l’emploi et l’insertion des jeunes.
Ainsi pendant les deux (2) jours que va durer le conclave, plusieurs panels ont été présentés, sous le regard attentif des centaines de participants. Et ceci suivant des thèmes différents axés le plus souvent sur les méthodes et demandes scientifiques autour de ce même concept.
Abdoulaye Fall
(Source : Sud Quotidien, 5 juillet 2024)