Le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies de l’information et de la communication (Restic) n’est pas surpris par les conclusions du rapport d’audit de l’Inspection générale des finances (Igf) sur les irrégularités de tous ordres qui entourent le contrat de Sécuriport. Cela aussi bien pour le déploiement d’un système de pointage biométrique aux portes d’entrée du Sénégal que sur l’exécution du contrat.
Dans une déclaration rendue publique hier, au lendemain de la publication de cette affaire qui épingle plusieurs autorités, le Restic de souligner que ce contrat de Sécuriport et le contrat des passeports biométriques sont « léonins et engendrent d’énormes pertes » pour les Sociétés d’ingénierie informatique du Sénégal et des professionnels du secteur des Technologies de l’information et de la communication.
D’après le Bureau exécutif du Restic, c’est en effet, le décret numéro 2011-652 du 26 mai 2011 instituant une redevance de sécurité pour l’exploitation d’un système intégré de contrôle de l’immigration qui est frappé d’irrégularités. D’ailleurs le Restic rappelle avoir déposé depuis décembre 2012 des recours auprès de la Commission des données personnelles (Cdp) sur ce qu’elle considérait en ce temps comme des manquements dans les filtres pour une protection effective des données recueillies.
(Source : Dakar Actu, 9 aout 2015)
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3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
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