« Attaque surprise et massive contre le gouvernement du Gabon (…) Les dictateurs auraient dû s’attendre à nous !… Nous ne pardonnons pas ». C’est par ces mots que le collectif Anonymous a annoncé sur Twitter avoir lancé avec succès une cyber-attaque massive contre des sites officiels du gouvernement gabonais. De manière générale, le collectif revendique avoir réussi à paralyser 70 sites Internet institutionnels, afin de punir le régime de Libreville qu’il considère comme étant une dictature. On note tout de même que le collectif a épargné le site Internet de la présidence de la République, ainsi que celui du Trésor public.
Dans la foulée de cette annonce, les autorités gabonaises ont réagi, par la voix de l’Agence nationale des infrastructures numériques et des fréquences (ANINF), l’organe en charge de la gestion des réseaux informatiques du pays. Dans un communiqué, l’Aninf reconnait que 60 des 102 sites institutionnels ont été victime de la cyber-attaque lancée depuis samedi. Dans la foulée, elle confirme que les sites visés sont à nouveau accessibles, seulement à partir du Gabon. Par ailleurs, l’organe annonce la possibilité d’engager des poursuites judiciaires contre les auteurs de la cyber-attaque.
(Source : Digital Business Africa, 29 septembre 2018)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000