OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2024 > Mars 2024 > En Afrique, 50% des entreprises ont déjà adopté le cloud dans la plupart de (…)

En Afrique, 50% des entreprises ont déjà adopté le cloud dans la plupart de leurs opérations

lundi 4 mars 2024

Produits et services

Le rapport souligne que plus de 80% des entreprises africaines qui ont déjà migré totalement ou partiellement vers le cloud envisagent d’augmenter leurs investissements dans cette technologie, au regard de ses impacts positifs sur leurs activités.

La moitié des entreprises africaines ont déjà adopté le cloud dans la totalité ou la majeure partie leurs opérations, et 61% d’entre elles prévoient de faire migrer l’ensemble de leurs actifs numériques vers cette technologie flexible et évolutive durant les deux prochaines années, selon un rapport publié ce mois de février par le cabinet d’audit et de conseil PricewaterhouseCoopers (PwC).

Intitulé « Africa Cloud Business Survey 2023 – Unlocking the transformational power of cloud in Africa », le rapport se base sur un sondage réalisé auprès de 154 chefs d’entreprise africains dans le cadre de l’enquête menée auprès de 2209 dirigeants dans la région EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique).

Dans le détail, 12% des entreprises africaines ont opéré une migration totale (données, services, applications et diverses ressources informatiques) vers le cloud alors que 38% ont adopté la technologie dans la plupart de leurs opérations.

32% des entreprises actives en Afrique ont également commencé à déplacer certaines de leurs opérations vers le cloud, et 19% sont en train de l’explorer.

Sur le continent, une bonne partie des entreprises vont d’ores et déjà au-delà de l’approche « lift and shift », qui consiste à déplacer une application et les données associées vers une plateforme cloud sans remanier l’application. Appelée aussi « réhébergement », cette approche présente un moyen pour les entreprises de protéger leurs investissements dans le workflow, la logique et les données métier confinés dans le matériel sur site. En effet, plus de 40 % des entreprises opérant sur le continent se concentrent sur une combinaison de la migration, de la modernisation des applications et sur le développement d’applications « cloud-native » permettant d’accélérer la création des nouvelles applications spécifiques, d’optimiser les anciennes et de les connecter les unes aux autres.

Une amélioration de la productivité et de la rentabilité

Environ 90% des chefs d’entreprise africaines sondés affirment par ailleurs qu’ils tirent déjà une valeur mesurable du cloud, et s’attendent à continuer à le faire au cours des douze prochains mois.

Au regard des dividendes déjà visibles de la technologie, plus de 80% des entreprises africaines qui ont déjà migré totalement ou partiellement vers le cloud envisagent d’augmenter leurs investissements dans ce domaine. Dans ce cadre, les cinq domaines prioritaires d’investissement dans le cloud concernent l’expérience client (CRM, portails clients numériques, applications, Chat Bots) ; le lancement de nouveaux produits et services numériques ; la définition d’une stratégie cloud ; la numérisation de la chaîne d’approvisionnement ; et la transformation de processus industriels et de la gestion financière (modernisation des systèmes ERP et des progiciels de gestion intégré).

Les principaux facteurs qui favorisent l’adoption du cloud par les entreprises africaines sont l’augmentation de la productivité (49%), l’amélioration de la rentabilité (48%), la réduction des coûts (43%), le renforcement de la confiance des actionnaires (38%) et l’amélioration de l’expérience client (37%).

Le rapport révèle d’autre part que les principaux obstacles à l’adoption du cloud cités par les chefs d’entreprise africains interrogés sont les contraintes budgétaires (39%), le manque de fournisseurs de services cloud de qualité (39%), les défis liés à la cybersécurité et à la protection des données critiques, les capacités technologiques limitées (32%) et les pénuries de compétences (26%).

(Source : Agence Ecofin, 4 mars 2024)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 4365/4930 Régulation des télécoms
  • 372/4930 Télécentres/Cybercentres
  • 3302/4930 Economie numérique
  • 1735/4930 Politique nationale
  • 4930/4930 Fintech
  • 591/4930 Noms de domaine
  • 1698/4930 Produits et services
  • 1458/4930 Faits divers/Contentieux
  • 767/4930 Nouveau site web
  • 4834/4930 Infrastructures
  • 1711/4930 TIC pour l’éducation
  • 186/4930 Recherche
  • 261/4930 Projet
  • 3092/4930 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1775/4930 Sonatel/Orange
  • 1610/4930 Licences de télécommunications
  • 280/4930 Sudatel/Expresso
  • 967/4930 Régulation des médias
  • 1253/4930 Applications
  • 1051/4930 Mouvements sociaux
  • 1581/4930 Données personnelles
  • 125/4930 Big Data/Données ouvertes
  • 601/4930 Mouvement consumériste
  • 369/4930 Médias
  • 666/4930 Appels internationaux entrants
  • 1756/4930 Formation
  • 105/4930 Logiciel libre
  • 1856/4930 Politiques africaines
  • 1091/4930 Fiscalité
  • 174/4930 Art et culture
  • 603/4930 Genre
  • 1577/4930 Point de vue
  • 1015/4930 Commerce électronique
  • 1497/4930 Manifestation
  • 337/4930 Presse en ligne
  • 146/4930 Piratage
  • 214/4930 Téléservices
  • 920/4930 Biométrie/Identité numérique
  • 315/4930 Environnement/Santé
  • 330/4930 Législation/Réglementation
  • 354/4930 Gouvernance
  • 1742/4930 Portrait/Entretien
  • 157/4930 Radio
  • 736/4930 TIC pour la santé
  • 281/4930 Propriété intellectuelle
  • 61/4930 Langues/Localisation
  • 1072/4930 Médias/Réseaux sociaux
  • 2062/4930 Téléphonie
  • 202/4930 Désengagement de l’Etat
  • 995/4930 Internet
  • 117/4930 Collectivités locales
  • 426/4930 Dédouanement électronique
  • 1077/4930 Usages et comportements
  • 1057/4930 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 573/4930 Audiovisuel
  • 2954/4930 Transformation digitale
  • 396/4930 Affaire Global Voice
  • 164/4930 Géomatique/Géolocalisation
  • 375/4930 Service universel
  • 692/4930 Sentel/Tigo
  • 180/4930 Vie politique
  • 1586/4930 Distinction/Nomination
  • 36/4930 Handicapés
  • 693/4930 Enseignement à distance
  • 677/4930 Contenus numériques
  • 600/4930 Gestion de l’ARTP
  • 186/4930 Radios communautaires
  • 1818/4930 Qualité de service
  • 429/4930 Privatisation/Libéralisation
  • 141/4930 SMSI
  • 465/4930 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 2644/4930 Innovation/Entreprenariat
  • 1347/4930 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 49/4930 Internet des objets
  • 187/4930 Free Sénégal
  • 382/4930 Intelligence artificielle
  • 209/4930 Editorial
  • 22/4930 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous