E-commerce : opportunité de développement économique pour le Sénégal
dimanche 15 février 2015
2014 : Année du e-commerce au Sénégal » ont décrété journalistes et spécialistes des questions TIC. Compétences internationales ou locales, les sociétés d’e-commerce ont investi le territoire national. Avec un taux de pénétration d’internet d’environ 22 % et plus de 3 millions d’utilisateurs, le marché de l’e-commerce offre de nombreuses possibilités pour créer de la richesse.
Avec la montée des classes sociales moyennes et par concomitance l’augmentation du pouvoir d’achat, les modes de vie des populations évoluent. Auparavant l’utilisation d’internet se cantonnait à la consultation des emails, des sites d’information et des réseaux sociaux. Aujourd’hui de nouvelles offres de services naissent par le canal du Web, transformant ainsi les habitudes physiques de consommation en habitudes virtuelles. Pour se vêtir, choisir un appareil mobile ou électroménager, nul besoin de se déplacer. L’offre vient à nous par l’intermédiaire de plateformes mettant en relation l’offre et la demande.
Les retombés de ces transactions commerciales sur internet sont nombreuses : développement des microentreprises, formalisation des marchands du secteur informel vers le formel, augmentation du pourcentage des ventes en ligne et par conséquent augmentation de la contribution d’internet au PIB national.
Le rapport « Lions go digital… » de McKinsey estime à 75 milliards de chiffre d’affaire les ventes liées au e-commerce, à l’orée 2025 en Afrique. Des données encore difficilement chiffrables au Sénégal où le marché du E-commerce est quasi vierge ; attirant ainsi des entreprises étrangères à l’instar de celles propulsées par Africa Internet Group comme Kaymu.sn.
Il relève donc du devoir des acteurs du secteur, d’attirer les projecteurs sur eux afin de susciter l’intérêt des pouvoirs publiques et étatiques que sont les Ministères de l’économie, du commerce et des finances, dans l’optique de déployer des stratégies qui permettront d’accompagner le développement du E-commerce au Sénégal.
2014 : Année du e-commerce au Sénégal » ont décrété journalistes et spécialistes des questions TIC. Compétences internationales ou locales, les sociétés d’e-commerce ont investi le territoire national. Avec un taux de pénétration d’internet d’environ 22 % et plus de 3 millions d’utilisateurs, le marché de l’e-commerce offre de nombreuses possibilités pour créer de la richesse.
Avec la montée des classes sociales moyennes et par concomitance l’augmentation du pouvoir d’achat, les modes de vie des populations évoluent. Auparavant l’utilisation d’internet se cantonnait à la consultation des emails, des sites d’information et des réseaux sociaux. Aujourd’hui de nouvelles offres de services naissent par le canal du Web, transformant ainsi les habitudes physiques de consommation en habitudes virtuelles. Pour se vêtir, choisir un appareil mobile ou électroménager, nul besoin de se déplacer. L’offre vient à nous par l’intermédiaire de plateformes mettant en relation l’offre et la demande.
Les retombés de ces transactions commerciales sur internet sont nombreuses : développement des microentreprises, formalisation des marchands du secteur informel vers le formel, augmentation du pourcentage des ventes en ligne et par conséquent augmentation de la contribution d’internet au PIB national.
Le rapport « Lions go digital… » de McKinsey estime à 75 milliards de chiffre d’affaire les ventes liées au e-commerce, à l’orée 2025 en Afrique. Des données encore difficilement chiffrables au Sénégal où le marché du E-commerce est quasi vierge ; attirant ainsi des entreprises étrangères à l’instar de celles propulsées par Africa Internet Group comme Kaymu.sn.
Il relève donc du devoir des acteurs du secteur, d’attirer les projecteurs sur eux afin de susciter l’intérêt des pouvoirs publiques et étatiques que sont les Ministères de l’économie, du commerce et des finances, dans l’optique de déployer des stratégies qui permettront d’accompagner le développement du E-commerce au Sénégal.
(Source : Social Net Link, 15 février 2015)