Côte d’Ivoire : Initiation précoce à l’entreprenariat dans les TIC, une plateforme se distingue
mardi 6 février 2018
Succès assuré est un des leaders du soutien scolaire en ligne et via mobile. Au delà de ce rôle précurseur, qui l’a révélé au grand public en Côte d’Ivoire, se cache l’ambition inavouée d’initier très tôt les jeunes élèves à l’entreprenariat à travers le projet « challenge génération numérique ». Éclairages.
Challenge Génération Numérique est un concours entre écoles. Passé la première étape du quizz révision, vient cette du « Projet TIC ». Les projets soumis par les apprenants doivent intégrer les nouvelles technologies et apporter une solution en relation directe avec leur environnement éducatif, social ou économique. Chaque groupe concurrent fait une video de son peach d’une durée maximale de 3minutes et le transmet à l’équipe de Succès assuré qui en retiendra 5 finalistes.
À la vue du lien internet dont la rédaction a obtenu copie, les élèves des lycées et collèges ivoiriens font monstre d’une imagination fertile digne de staruppers de la sillicon valley Des idées de génie y sont présentées à travers des sketchs plutôt bien travaillés. Du carnet de santé électronique de collège à la création d’un réseau social de révision, les propositions d’innovations ne manquent pas.
Ce qui est frappant tout de suite, c’est la capacité avec laquelle les élèves font le montage de leurs propres éléments filmés à partir de leurs smartphones. Pour certains, on aurait dit qu’ils ont été tout simplement montés par des professionnels malgré ces équipements amateurs. Les explications sont claires avec un rapport aux TIC simplifié, le cadrage est impeccable et l’agencement des séquences est maitrisée.
Petit à petit, travers cette initiative bien pensée, on voit de futures vocations d’entrepreneurs se créer et une meilleure pénétration des TIC dans les écoles. Avec les nouvelles technologies, on peut faire des sauts qualitatifs notamment dans l’entreprenariat et c’est ce que l’équipe de Succès-assuré entend démontrer.
(Source : ICT4Africa, 6 février 2018)