Sonatel tient à préciser qu’en tant que groupe coté en bourse, elle ne s’oppose pas au contrôle des communications entrantes pourvu que ce contrôle n’entraine pas une hausse des tarifs de terminaison et des prix.
Par ailleurs Sonatel précise qu’un tel contrôle peut être fait à un coût, investissement et maintenance, inférieure à 2 milliards sur 5 ans, en lieu et place des 150 milliards annoncés.
Dakar, jeudi 19 août 2010
(Source : Sonatel)