Le projet de loi portant nouveau code des communcations électroniques du Sénégal adopté mercredi dernier à l’Assemblée nationale n’en finit pas de susciter des réactions. Après la sortie de Cheikh Bamba Dièye, ancien ministre des télécommunications et la réponse du DG de l’ARTP, Abdou Karim Sall, voici qu’au autre acteur du secteur fait entendre son point de vue. Il s’agit de Moustapha Guirassy, ancien ministre – lui aussi – de la communication, des télécommunications et des TIC, mais sous Abdoulaye Wade.
« Le projet de loi portant sur les restrictions sur les réseaux sociaux est indigne d’un pays démocratique », attaque d’emblée le candidat déclaré à la prochaine élection présidentielle. « C’est un projet malencontreux, néfaste et indigne », poursuit Monsieur Guirassy, qui limite l’accès à internet pourtant reconnu comme « un droit de l’homme », « indispensable pour rendre possible et effectif l’exercice de beaucoup d’autres droits humains ». Dans une interview reprise sur son profil LinkedIn, le fondateur de l’Institut Africain de Management (IAM) évoque une « question qui me tient particulièrement à coeur ».
Elimane
(Source : CIO Mag, 3 décembre 2018)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
17 227 783 abonnés Internet
Liaisons louées : 4 420
Taux de pénétration des services Internet : 97,12%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
297 046 abonnés
256 076 résidentiels (86,21%)
40 970 professionnels (13,79%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
20 854 830 abonnés
Taux de pénétration : 117,57%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000