Ce n’est plus un secret pour personne que l’Etat du Sénégal et Orange ne sont pas en odeur de sainteté. Et la sortie des cadres de cette société hier en est la preuve. Cependant les raisons de cette mésententes pourraient ne pas être les mêmes qu’on nous a servi, si l’on en croit nos confrères de « l’As ».
Les vraies raisons de la brouille entre Orange et l’Etat du Sénégal seraient liées au désir de ce dernier d’installer une sonde qui va mesurer le flux des appels téléphoniques. Malgré l’accord du Consortium de Matam, Expresso et Tigo, Orange campe sur sa position, arguant l’illégalité de cette mesure.
Cette sonde devrait permettre à l’Etat se tout savoir sur Orange et surtout son chiffre d’affaire, afin de pouvoir vérifier « la véracité des chiffres souvent avancés par Orange », selon l’As. Avec l’annulation du contrat de Global Voice par le président Macky Sall, c’est l’Autorité de régulation des télécommunications et postes qu’il incombe de contrôler le volume des appels. Et c’est la raison pour laquelle l’Etat veut exécuter le décret d’application du Code des télécommunications de 2011. Ce dont Orange ne veut pas entendre parler.
Ousmane Demba Kane
(Source : Pressafrik, 9 avril 2015)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000