L’organe national de prévention et de lutte contre les infractions liées aux technologies de l’information et de la communication est désormais sous tutelle du ministère de la Défense nationale de la République algérienne.
L’établissement public à caractère administratif, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière, précédemment placé sous le contrôle du ministère de la Justice, a changé de main suite au décret présidentiel n° 19-172 du 3 Chaoual 1440 correspondant au 6 juin 2019.
L’information qui est passée sous licence a été mise en lumière par la presse algérienne. La nouvelle est fortement critiquée par les défenseurs des libertés individuelles.
Approché par le site d’informations inter-lignes.com, Said Salhi, le vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), s’est inquiété du fait que le ministère de la Défense nationale ait « récupéré tous les organes de surveillance et de contrôle, notamment les renseignements, les écoutes et les organes des TIC ».
Selon lui, sous la configuration actuelle, « il n’y a pas de garantie de protection des données personnelles, du secret des correspondances et de la vie privée des gens, qui sont tous des droits individuels à protéger ».
(Source : Agence Ecofin, 28 juin 2019)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000