Au Sénégal, la course à la digitalisation a donné naissance à beaucoup de projets numériques initiés par le gouvernement. C’est le cas du projet de la carte d’identité numérique, des permis de conduire biométrique, la carte bancaire biométrique, le dossier médical digitalisé.
Face à cette grande révolution numérique, des inquiétudes se posent : la sécurité des sénégalais quand des sociétés privées étrangères collectent et gèrent nos données. Pour Ndiaga GUEYE, Président des Utilisateurs des TIC au Sénégal, “la non maîtrise de ces bases de données qui, même hébergées dans des data center logés au Sénégal, mais mise entre les mains de sociétés étrangères, constitue un danger”.
C’est pour cette raison qu’ il adresse des questions au gouvernement afin de savoir pourquoi des sociétés étrangères doivent contrôler les bases de données de sénégalais dans la révolution numérique ? Comment peut-on mettre entre les mains de sociétés étrangères les bases de données des sénégalais ? c’est une question de survie.
Au-delà de l’État, l’expert interpelle la Commission des Données Personnelles car pour lui, la donnée constitue une matière économique.
(Source : Social Net Link, octobre 2019)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000