OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2018 > Février 2018 > Africa STEM Alliance : une plateforme pour appuyer la transformation (…)

Africa STEM Alliance : une plateforme pour appuyer la transformation technologique du Continent

lundi 19 février 2018

Formation

Parrainée par la présidente mauricienne Ameenah Gurib-Fakim et lancée en marge du dernier Forum de Davos, Africa STEM Alliance est la nouvelle plateforme qui sera désormais dédiée au renforcement des compétences et du savoir-faire dans les domaines de la science et des technologiques, à l’échelle du Continent.

Pour accélérer son émergence, l’Afrique devrait s’impliquer davantage dans les progrès technologiques et scientifiques. C’est ce que pense la présidente mauricienne Ameenah Gurib-Fakim, pour qui il devient indispensable d’investir davantage dans les domaines de la science et des technologies. Pour promouvoir cette idée, la présidente mauricienne a profité de sa présence fin janvier dernier au Forum économique de Davos pour annoncer le lancement de l’Alliance africaine pour les disciplines science, technologie, ingénierie et mathématiques (Africa STEM Alliance-ASA).

« A l’origine de l’ASA se trouve un double constat : d’abord, nous devons rapidement combler le retard africain en matière scientifique et technique, sans quoi notre continent ne pourra plus faire jeu égal avec les autres régions du monde ; mais nous devons surtout capitaliser sur nos succès à date pour déployer les secteurs d’avenir », a expliqué Gurib-Fakim. Citant l’exemple de solutions Fintech développées au Kenya ou au Nigeria, les capacités de production de médicaments en Afrique du Sud, et les centres de formation dans le domaine des énergies renouvelables en Zambie ou au Burkina Faso, la présidente mauricienne a ajouté que ces initiatives sont les preuves tangibles que l’Afrique peut connaître du succès dans les STIM. « Il faut maintenant une ambition clairement affichée sur tout le Continent pour multiplier ces initiatives afin de rendre l’Afrique de nouveau attractive pour ses jeunes », a-t-elle déclaré.

D’après ces initiateurs, le projet de l’Africa STEM Alliance-ASA devra permettre de renforcer les connaissances et compétences africaines dans les sciences et techniques, l’ingénierie et les mathématiques, « afin de créer un écosystème d’acteurs technologiques et industriels capables d’accélérer le développement de l’Afrique ».

Pour Edem Adzogenu, conseiller spécial de l’Initiative AfroChampions qui soutient le projet, il s’agit même d’un défi urgent. « L’industrialisation est le principal défi de l’Afrique [...] Nous devons créer des outils pour faire avancer l’Afrique et en faire un moteur de croissance mondiale. Et parmi ces outils, figure aussi la création de champions industriels africains », a-t-il précisé.

Trois chantiers prioritaires

L’initiative répond à trois chantiers importants. Le premier porte sur le développement des talents et des compétences dans les sciences et l’ingénierie, alors que le second vise le renforcement des industries reposant sur les disciplines STIM en Afrique et l’accompagnement de leur croissance, grâce à des partenariats public-privé efficaces en matière de recherche et développement. « Sur ce plan, l’objectif est notamment d’offrir aux jeunes africains diplômés des opportunités dans leur pays d’origine afin d’endiguer la fuite des cerveaux, tout en encourageant l’innovation locale au profit des économies africaines », ajoute un communiqué publié à l’occasion du lancement du projet ASA.

Concernant le troisième point, le projet ASA devrait servir de plateforme pour mobiliser les gouvernements, les bailleurs de fonds et les multinationales et accroître les investissements dans la recherche, les centres d’expertise ou les grands projets industriels requérant des compétences techniques.

Emmanuel Atcha

(Source : La Tribune Afrique, 19 février 2018)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2062/2263 Régulation des télécoms
  • 173/2263 Télécentres/Cybercentres
  • 1561/2263 Economie numérique
  • 808/2263 Politique nationale
  • 2263/2263 Fintech
  • 253/2263 Noms de domaine
  • 844/2263 Produits et services
  • 694/2263 Faits divers/Contentieux
  • 362/2263 Nouveau site web
  • 2157/2263 Infrastructures
  • 816/2263 TIC pour l’éducation
  • 90/2263 Recherche
  • 121/2263 Projet
  • 1395/2263 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 877/2263 Sonatel/Orange
  • 805/2263 Licences de télécommunications
  • 132/2263 Sudatel/Expresso
  • 465/2263 Régulation des médias
  • 599/2263 Applications
  • 494/2263 Mouvements sociaux
  • 761/2263 Données personnelles
  • 61/2263 Big Data/Données ouvertes
  • 295/2263 Mouvement consumériste
  • 181/2263 Médias
  • 322/2263 Appels internationaux entrants
  • 700/2263 Formation
  • 49/2263 Logiciel libre
  • 874/2263 Politiques africaines
  • 408/2263 Fiscalité
  • 83/2263 Art et culture
  • 284/2263 Genre
  • 720/2263 Point de vue
  • 480/2263 Commerce électronique
  • 699/2263 Manifestation
  • 156/2263 Presse en ligne
  • 62/2263 Piratage
  • 102/2263 Téléservices
  • 437/2263 Biométrie/Identité numérique
  • 150/2263 Environnement/Santé
  • 157/2263 Législation/Réglementation
  • 167/2263 Gouvernance
  • 884/2263 Portrait/Entretien
  • 72/2263 Radio
  • 340/2263 TIC pour la santé
  • 133/2263 Propriété intellectuelle
  • 29/2263 Langues/Localisation
  • 503/2263 Médias/Réseaux sociaux
  • 966/2263 Téléphonie
  • 95/2263 Désengagement de l’Etat
  • 487/2263 Internet
  • 57/2263 Collectivités locales
  • 188/2263 Dédouanement électronique
  • 498/2263 Usages et comportements
  • 512/2263 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 275/2263 Audiovisuel
  • 1349/2263 Transformation digitale
  • 191/2263 Affaire Global Voice
  • 76/2263 Géomatique/Géolocalisation
  • 146/2263 Service universel
  • 330/2263 Sentel/Tigo
  • 87/2263 Vie politique
  • 744/2263 Distinction/Nomination
  • 17/2263 Handicapés
  • 338/2263 Enseignement à distance
  • 319/2263 Contenus numériques
  • 292/2263 Gestion de l’ARTP
  • 90/2263 Radios communautaires
  • 822/2263 Qualité de service
  • 212/2263 Privatisation/Libéralisation
  • 66/2263 SMSI
  • 224/2263 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1274/2263 Innovation/Entreprenariat
  • 653/2263 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 23/2263 Internet des objets
  • 85/2263 Free Sénégal
  • 232/2263 Intelligence artificielle
  • 100/2263 Editorial
  • 9/2263 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous